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l'autre LIVRE

Fiction

Et les rossignols chantent encore

de Gilles LA CARBONA

Fiction (5 SENS) | Paru le 01/03/2019 | 13,60 €

Un livre se rapprochant plus du conte philosophique que du roman, dans lequel les thèmes de l’homme, de la vie, de la destinée sont abordés de façon originale.

Des pistes sont entrevues, des hypothèses avancées. Au-delà de l’audace des thèmes, voire de la facétie de certaines situations, ce roman repose et propose une réflexion philosophique sur ce qui est essentiel à l’homme de ce qui ne l’est pas.

Un livre qui séduira tous ceux qui aiment se plonger dans le mystère de l’existence, dans ce qu’il a de plus beau et de plus troublant.

Gilles La Carbona

Né à Villeneuve les Avignon en 1963, l’auteur vit actuellement dans le Vaucluse. Auteur depuis plus de 20 ans, dramaturge depuis peu, il signe là son sixième roman.

Debussy pour toujours

de Zoran BELACEVIC

Fiction (5 SENS) | Paru le 17/12/2018 | 14,40 €

Au temps où l’art connaît son essor, à travers les mouvements qui forgeaient l’ouverture d’une époque inspiratrice, consacrée à l’art et à l’artiste, en musique, au théâtre, en poésie, en peinture ; de Satie, à travers De Renier, Maeterlinck, jusqu’à Mallarmé, Debussy créait son art, sous les toits impitoyables de la ville de Paris. C’est à cette époque-là qu’il composa ses œuvres les plus célèbres, dont le Prélude à l’après-midi d’un faune et Pelléas et Mélisande. En même temps, c’est dans l’amour qu’il trouvait son refuge pour fuir son âme solitaire, son inquiétude et le destin incertain de sa vie d’artiste. Une histoire d’amour se trouve donc au centre de ce récit, sous l’œil d’un narrateur à la fois omniscient et faisant preuve d’un réalisme subjectif, le point de vue se restreignant en alternance au champ de vision de ses personnages, laissant ainsi entrevoir l’amour passionné qu’éprouvait ce grand compositeur pour une femme, une courtisane attitrée autrefois, suivant sa métamorphose au fur et à mesure que leur amour se développe et les déchire. Un amour inspirateur et idéalisé se mêle à une passion déchaînée, des disputes, des caprices, des départs, des retours… Un roman qui démontre le caractère inséparable entre la vraie vie et les apparences, la passion et le désir, où l’amour devient torrent qui se détruit et s’apaise puis s’éternise dans le souffle soudé de deux êtres.

Zoran Belacevic

Zoran Belacevic est un écrivain serbe vivant entre Belgrade et Paris. Pendant un certain temps, il a vécu aux États-Unis. Il a, à ce jour, huit romans et un recueil de nouvelles publiés en Serbie. Deux de ses romans ont été traduits et publiés à l'étranger, « Amerika in », publié en Biélorussie et « Où est la fin de la voie » publié en France.

Quinqunet

de Stéphane GROBARCIK

Fiction (5 SENS) | Paru le 10/12/2018 | 11,90 €

Quinqunet

Quinqunet incarne un village fictif localisé dans la région du Berry et au sein duquel le personnage principal, récent quadragénaire répondant à l’identité de l’Intrus, fait son retour afin d’assister aux funérailles du dernier maître d’école à avoir officié dans la commune.

L’intrigue s’étend sur la période d’une seule journée d’été, dominée par un soleil de plomb, dans le cadre de laquelle il y est question de l’impact émotionnel généré par le retour aux sources, la confrontation à une partie de son passé et les retrouvailles avec des amitiés perdues. Sept années se sont effectivement écoulées depuis sa dernière visite et, de cet endroit, l’Intrus en conserve des souvenirs plutôt sombres que joyeux, mais saura rapidement y retrouver certains réflexes d’antan. Il sera également confronté à la redécouverte d’individus qui font partie de son histoire, qu’il avait appris à apprécier ou non, ainsi qu’à l’évolution de leur personnalité et de leur situation.

Cet ouvrage, conçu comme un récit au caractère cru et humoristique, constitue à la fois une quête personnelle et collective, rythmée par le besoin d’éclaircir certaines zones d’ombre du passé et l’intention de ressouder les liens avec l’objectif de retrouver le plaisir d’être ensemble.

Stéphane Grobarcik 

Originaire de la région Centre, l’auteur réside actuellement dans la campagne nivernaise au sein de laquelle il profite de la tranquillité conférée par la ruralité. Juriste de profession, l’intérêt qu’il éprouve pour la culture le fait s’égarer, depuis l’enfance, dans les méandres des découvertes littéraires, cinématographiques et artistiques qui constituent une source constante d’épanouissement. Il aime l’humour, l’Intrus, Mathilde, les autres de Quinqunet et Chips, son chien.

Les loups de Thornwall

de Emily WOLF

Fiction (5 SENS) | Paru le 29/11/2018 | 17,00 €

Des inconnus qui meurent dans le feu, des loups, des cauchemars trop réalistes… Pour Gwern, un jeune noble anglais du début du XIXe siècle, la sortie du monastère se révèle compliquée. Orphelin, ruiné et détesté, il doit s'occuper des décombres de son manoir et de son domaine à l'abandon. Sa cousine Éléonore se méfie de lui, et le révérend qui l'a recueilli n'arrange rien. Mais les événements étranges se multiplient. Il peut soulever des pierres trop lourdes, entendre des bruits trop lointains. Et ses cauchemars deviennent réels… Il lui faudra toute sa raison, toute sa force de caractère pour comprendre ce qui lui arrive, et l'apprivoiser. Ce roman, inspiré de la mythologie scandinave, développe le thème du Double pour explorer l'âme humaine, les possibilités et les limites de l'être humain, sa capacité de violence et de bienveillance. Écrit dans un style à la fois incisif et poétique, travaillé à l'extrême, ce roman veut renouveler le mythe du loup-garou et faire pour lui ce que Bram Stocker et Anne Rice ont fait pour le vampire.

Emily Wolf

Emily Wolf est née en 1981 et vit en région parisienne. Après des études de lettres, elle travaille en bibliothèques et dans l'enseignement. Amoureuse de l'écriture depuis toujours, elle écrit quelques nouvelles au lycée avant de se lancer dans un projet ambitieux qui va durer 15 ans : un roman novateur sur le mythe du loup-garou. Amatrice de cinéma, Emily se diversifie maintenant vers les courts-métrages.

Que faudrait-il pour que tu meures ?

de Daniel LAPIERRE

Fiction (5 SENS) | Paru le 29/11/2018 | 17,00 €

Une ancienne maison de maître aussi peu entretenue que le parc qui la dévore… Deux êtres abordent la dernière étape de leur vie commune dans ce lieu sinistre. Elle, professeur à la retraite met sa brillante intelligence au service de sa détestation pour un mari officier de la Marine Marchande. Quelles sourdes raisons, quelle lie de l'existence empoisonnent leurs jours et les ont englués dans cette haineuse guerre de tranchées ? Lui, qui ne supporte plus les humiliations quotidiennes, entreprend de conjurer ses envies de meurtre et de retrouver sa dignité en confiant toute l'histoire de leur couple à une jeune femme de Lettres. Cette dernière, qui croit pouvoir jouer avec la vie, lui fait accepter de traiter ses confidences non comme de classiques mémoires, mais comme un roman dans lequel elle va impliquer sa jeune existence et celle des quelques êtres singuliers qui se croisent dans ce " manoir des mal-mariés ". Mais la vie n'est pas un jeu et l'atmosphère s'alourdit peu à peu…

Daniel Lapierre

Il écrit depuis son adolescence. Son amour des Lettres l'a introduit dans l'Enseignement, à la suite de quoi il partage sa retraite entre écriture et voyages. Plus d'une vingtaine d'ouvrages sont nés de ses deux passions. Souvenirs d'enfance au goût sauvage, évocations de voyages et de rencontres insolites, romans variés, tous ont pour point commun l'art de fouiller l'âme humaine et d'affiner des portraits saisissants d'hommes et de femmes souvent meurtris et qui tentent de redonner un sens à l'existence.

Esmeralda n'aimait pas Quasimodo

de Francis LA CARBONA

Fiction (5 SENS) | Paru le 21/11/2018 | 14,40 €

"… Si Camille se sait déjà Esméralda, en revanche Alexandre s'ignore en Quasimodo…". Un homme et une femme se côtoient, avant de véritablement se rencontrer. Elle, épouse et mère, est installée dans la vie qu'elle dévore, s'accrochant à la jeunesse. Lui, idéaliste aux accents humanistes, n'a qu'un sac à dos qu'il dépose parfois aux pieds d'une douce amie en quête de sens à son existence. L'amour les cueille après qu'ils ont cru l'apercevoir ailleurs. Tandis qu'ils n'ont pas choisi de vivre, comment décideront-ils d'exister ? En cherchant longtemps leurs vérités, ils errent entre passion et raison. Laquelle l'emportera ? Sans le savoir, Camille et Alexandre s'engagent dans les pas de la belle gitane et du bossu de Victor Hugo, cinq cents ans plus tard. Ce faisant, leur trajectoire est-elle tracée d'avance ? En toile de fond, une interrogation immémoriale : L'âme survit-elle à l'organique ? Du premier au dernier mot, tout cela n'est que roman. Quoique… Il n'est pas impossible qu'il ressemble, çà et là, à des tranches de vie d'histoires vraies. Peut-être suffit-il de mettre bout à bout ces fragments, changer les noms des personnages et des lieux, pour que la fiction cède la place au récit d'un amour réellement vécu. Le hasard est si capricieux.

Francis La Carbona

Natif du Maroc, ce déraciné s'est façonné sous le ciel provençal qu'il a quitté à vingt ans, rêvant d'en retrouver le chemin, un jour… Bien des rencontres plus tard, c'est en Normandie que cet ancien DRH cultive quelques amitiés durables. Aimant la nature, "meilleur point d'observation de l'Humanité" dit-il, et fidèle à ses souvenirs, il laisse son imaginaire longtemps contenu s'évader dans un premier roman entremêlant sentiments, idéaux, et convenances.

Domestiquer la menace

de Gyslain NGUENO

Fiction (5 SENS) | Paru le 13/11/2018 | 12,70 €

Chaque jour, le monde lancé dans sa course folle, entre en collision avec des existences. Les êtres, qui habitent ces existences, tentent alors de faire face aux turbulences, échafaudent des stratégies, des techniques de survies, pour domestiquer la menace. Ici, ce sont sept vies qui se dessinent, dans un corps à corps avec le destin, au dénouement incertain.

 

Gyslain Ngueno

 

Gyslain Ngueno est né au cœur des années 80, a grandi entre l’Afrique et l’Alsace, vit à Lyon. Artiste protéiforme, son travail s’exprime autant en poésie, en fiction, qu’en chanson. Après un recueil de poésie nommé « souplesses » en 2016 et un premier album « Gaie-Gris » en 2017, Domestiquer la menace est sa première œuvre de fiction éditée. Site web de l’auteur : http://gyslain-n.com/

 

Elan nomade

de Bruno GOLOUBIEFF

Fiction (5 SENS) | Paru le 10/11/2018 | 12,00 €

Ce livre est d’abord une invitation au voyage. Tous celles et ceux qui ont fait l’expérience de l’aventure, de l’incertain, de l’errance s’y reconnaitront. Cette écriture par fragments dépose çà et là des morceaux de pensées à propos de l’existence. L’auteur marque de quelques traits de plume la surface d’un livre où se côtoient des tonalités donnant matière à questionner sur le sens de nos vies. Elan nomade se veut intimiste, à travers ses histoires imprégnées de poésie où l’imagination nous emporte vers un ailleurs réel ou symbolique. En parlant au singulier, l’auteur s’adresse pourtant à d’autres personnes que lui. Il donne à partager ce que chacun a pu ressentir dans des moments importants quand le doute submerge tout. Il y a cependant toujours un espoir et peut-être même une expérience à vivre pour en sortir grandi. Ce livre ne néglige pas de rire de lui-même. L’humour est très présent ainsi qu’un certain goût pour la provocation et le cynisme. En résumé, élan nomade invite le lecteur à faire halte et se poser sereinement pour prendre la mesure de ses chances à vivre le présent adossé au calme d’une belle journée.

Elan nomade est le troisième ouvrage de l’auteur. Il vient à la suite d’étreintes vagabondes,publié en 2016 chez 5 Sens éditions et de curiosités humaines, publié en 2014 aux éditions Mille plumes.

 

Bruno Goloubieff

Né en 1970, l’auteur est originaire du Jura où il a grandi. Après avoir exercé le métier d’éducateur spécialisé, il travaille actuellement en tant que formateur à l’université d’Aix-Marseille ainsi que dans d’autres institutions sanitaires et sociales. Il cultive l’amitié, la musique, le sport, le droit à l’originalité, l’humour et les discussions philosophiques. Marié, deux enfants, il vit au calme dans la campagne de Provence à Mérindol dans le Luberon.

Au bout du compte

de Marguerite DESTRE

Fiction (5 SENS) | Paru le 02/11/2018 | 17,00 €

La maladie de l’oubli la rongeait. Sa mémoire avait volé en éclats. Des images d’autrefois venaient parfois hanter la vieille femme. Remontant le cours du temps, Au bout du compte, roman initiatique relate une enfance et une jeunesse dans l’Espagne tourmentée de la première moitié du vingtième siècle. Née dans la pauvreté des années 1920, l’héroïne connaît l’instabilité du régime républicain, la guerre civile et la rigidité du premier franquisme.

Ayant quitté sa Castille natale pour suivre des études d’architecture à Barcelone, elle ne saura pas déjouer les pièges de la métropole. Naïve, la jeune fille à l’esprit romanesque tente de se frayer un chemin dans une société hiérarchisée et impitoyable. Des attitudes avenantes, des fréquentations agréables, miroirs trompeurs de l’amitié, la conduiront au drame. Victime de la répression politique, elle verra son parcours se terminer par l’échec. Au bout du compte ? Se répétera-t-elle souvent. Des chimères, la solitude et la mort.

Marguerite Destre

Marguerite Destre est professeur agrégée, docteur ès lettres. Elle a mené des travaux de recherche sur le roman espagnol de l’après-guerre civile. Intéressée par l’œuvre de Théodore de Foudras, romancier et feuilletoniste français du XIXe siècle, elle a publié des articles sur cet écrivain. D’un solstice à l’autre, son premier roman, est paru en 2011.

Variations sur le regard

de Dominique GODFARD

Fiction (5 SENS) | Paru le 15/10/2018 | 11,05 €

« Le regard est volontiers assimilé à une fenêtre sur la pensée, sur les sentiments ou sur l’âme. Mais gardons-nous d’approuver pleinement la métaphore dans la mesure où la maîtrise que nous en avons autorise bien des camouflages, voire des travestissements. », constate Dominique Godfard qui, au départ, voulait simplement écrire un billet sur les échanges et dérobades entre regards (par exemple, le sentiment d’être devenu transparent aux yeux du garçon de café alors qu’on voudrait passer sa commande ; ou bien, dans la rue, le contraire à l’approche d’un mendiant qu’on s’efforce d’effacer de son champ visuel). Puis ce premier billet en a suggéré d’autres, de plus en plus nombreux puisque parmi ses définitions (13 dans le Littré !) le regard, c’est aussi la manière dont on regarde. C’est ainsi que l’auteure, aidée de ses souvenirs et, parfois, de quelques belles citations, s’est laissée porter de regard en regard...

Dominique Godfard

Née à Casablanca, Dominique Marie Godfard a quitté le Maroc à 22 ans. Elle a vécu à Paris, à Londres, et habite depuis neuf ans la Basse-Normandie.  D’abord nouvelliste, elle s’est tournée en 1999 vers le roman (LA PAMPA) et vient de publier : Le bus pour Drancy (roman, 2014),  Une année percheronne (Journal, 2015) et Le bonheur passait, il a fui ! (Nouvelles, 2016). Elle a un site http://lamachineaecrirededominique.wordpress.com/ et nourrit de ses lectures son blog : http://des-livres-et-moi.blogs.nouvelobs.com/.