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l'autre LIVRE

D'une fiction, l'autre

Les ailes brulées

de Dalila AZZI

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 03/07/2014 | 15,00 €

Je suis El hadja, née le 6 octobre 1979, j’ai quitté ce monde le 13 septembre 2000, brûlée vive par TOI, mon propre frère.
 

Ce roman est une tragédie où se croisent deux formes d’écriture, littéraire et théâtrale.
 

Quelques années après sa mort, l’esprit de la jeune comédienne revient à Mostaganem en Algérie. Elle convoque sa famille et sa meilleure amie sur la scène du petit théâtre où elle s'est épanouie et nous fait assister au vrai procès que la justice n'a pas rendu.
 

Un témoignage poignant qui donne la parole à la victime qui a souffert une triple injustice, le crime, le silence et l’oubli en hommage à cette comédienne prometteuse.

Totémisés

de Nic SIRKIS

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 05/06/2014 | 15,00 €

Une question chahute sur quatre décennies, Charles, Catherine et Estéban, dans ce conte contemporain : Qu’est-ce que la norme… et comment se situer dans un monde en perpétuel mouvement ? Leur histoire d’amour/s, au sein de cette chronique familiale sillonnant l’Île de Ré, le port de Gênes, le lac de Côme, Toulouse et la Cerdagne, les confronte aux phénomènes de notre société, intrusive et exclusive à la fois… Des rites initiatiques du scoutisme aux performances des FEMEN, via les expériences de Milgram, ce trio – et le clan Ramires qui l’accompagne – s’interroge… Subir ou réagir ? Obéir ou désobéir ?

On dirait qu'elle danse

de Maïssa BEY

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 02/05/2014 | 6,00 €

Que peut-il bien se passer dans la tête d'une petite fille qui, un soir, après une colère, ouvre la fenêtre et saute dans le vide ? L’auteure se glisse dans la peau de cette fillette et, le temps d'une représentation, trouve les mots justes pour tenter de dire les peurs, les rêves, la douloureuse lucidité de ces enfants passés de l'autre côté de l'enfance. « Non, je ne veux pas grandir Je ne veux plus avoir peur Parce que tout au bout de l’enfance, il y a le monde. Le monde des adultes. De ceux qui ont peur Peur pour nous. Peur pour eux. Peur de tout.... écrit superbement Maïssa Bey prêtant sa voix à cette enfant de neuf ans qui a délibérément préféré rejoindre les étoiles à (bout de) force d’entendre la pensée raisonnable et raisonnante des adultes.

Non !

de Janine TEISSON

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 02/05/2014 | 5,00 €

Dans NON ! il n’y a qu’une seule voix : celle d’une jeune fille de dix-sept ans. Internée dans un hôpital psychiatrique. Engluée dans des engagements qu’elle croit ne pas pouvoir rompre, elle est devenue ano-rexique. Incapable de dire NON ! Elle est emprisonnée dans le silence. Dans un long monologue interrompu parfois par la mère ou l'interne, la jeune fille prend conscience de ce qui l'a amenée là. Réussira-t-elle à faire basculer sa vie du bon côté ? On peut l'espérer.

Le bus pour Drancy

de Dominique GODFARD

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 13/03/2014 | 15,00 €

Léa, jeune immigrée juive de Bessarabie, arrive à Paris avec sa mère et ses deux sœurs en 1929. Le 16 juillet 1942, elle assiste à la rafle de sa mère et de sa sœur aînée. Toute sa vie, elle s’est demandé pourquoi elle et sa cadette ont été épargnées. Dans ce livre, Dominique Marie Godfard tente de répondre à cette question tandis qu'elle recueille­ les souvenirs de Léa, âgée aujourd'hui de 92 ans. Une amitié va naître entre les deux femmes mais l’auteure saura-t-elle éclairer toutes les zones d’ombre de ce drame ?

La femme de la mer ionienne

de jackeline VAN BRUAENE

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 24/10/2013 | 15,00 €

Elle avait regardé ses mains, ses mains de qui, à la maison, ils attendaient la confection de la purée, lorsqu'elle aurait trouvé le lait. Elle avait souri, comme ça dans le vide. Ses mains qui avaient fait tant de repas, de lessives, de ménages, pas un grain de poussière dans l'appartement, ses mains qui avaient porté, lavé, habillé ses enfants, ses mains qui les avaient tant cajolés, tant consolés, bichonnés, qui les avaient aidés à marcher, ses mains qui avaient dans le noir souvent caressé le corps de l'homme qui était à ses côtés, ses mains qui avaient soigneusement plié chemises, tee-shirts, pantalons, caleçons, chaussettes qu'il jetait là, à côté du lit quand il allait se coucher, soir après soir. En Italie, une femme au foyer sort un soir acheter du lait et... ne revient pas. À partir de cette décision prise sans préméditation, Maria Pia prend sa vie en main et la transforme au fur et à mesure de ses rencontres avec un milieu artistique et généreux. La femme de la mer ionienne,créatrice de bijoux, l'aidera à se réconcilier avec la vie. Avec ses longues phrases entrecoupées de virgules, l'auteure manie, avec jouissance, la langue française comme elle l'entend pour exprimer autrement ce que Virginia Woolf, a si douloureusement ressenti.Écris, continue à écrire, j'aime ce que tu écris, ça aide à construire la vie, lui disait Amos Kenan. Elle avait 20 ans, il était son ami.

Tu vois c'que j'veux dire ?

de Maïssa BEY

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 24/10/2013 | 5,00 €

Deux jeunes gens courent vers le port où les attend le passeur à minuit pile... Mais dans cette nuit, au cours de ce chemin qui les mène vers le bateau dans lequel ils vont embarquer clandestinement, que va-t-il se passer ? Que vont-ils se dire ? Réussiront-ils à...? À partir d'un fait divers, Maïssa Bey interroge le pourquoi de l'immigration, le refus et l'espoir des jeunes, et là encore, avec subtilité, avec justesse, elle pointe du doigt – et de sa plume – ce qui lui semble inacceptable dans le monde qui est le nôtre aujourd'hui. "Elle donne, dans un entretien inédit, une explication de ce phénomène : « En Algérie, les passagers clandestins qui cherchent­ à gagner au péril de leur vie les rives nord de la Méditerranée sont appelés « Harraga­ » ou brûleurs de frontières. Ces aventuriers des temps modernes n’ont d’autres ressources que leurs rêves, d’autre bien que leur vie qu’ils n’hésitent pas à mettre en jeu. Au paradigme de la peur qui s’installe sur ces rives nord, peur des lendemains, peur de l’autre, peur de la perte de l’intégrité identitaire, peur d’être envahis, répond, sur les rives sud, le paradigme de la désespérance qui permet justement de s’affranchir de la peur, de la dépasser. » En ces heures de repli sur soi et de peur de l’autre, où l’Europe se transforme en forteresse, pour aller au-delà des idées reçues et déconstruire le discours qui fausse la réflexion sur l’émigration, le texte de Maïssa Bey nous propose une formidable occasion de réfléchir sur la désespérance de ces jeunes, sur leur capacité à donner corps à leurs rêves, au mépris du danger. Nous ne pouvons rester sourds à l’appel de ces jeunes qui rêvent d’une vie qu’ils espèrent plus digne. Si l’action se situe en Algérie pour ces « harraga », nous pensons qu’à travers les faits et les situations connues dans le monde entier, chaque tentative d’exil devient un drame universel." Jocelyne Carmichael, directrice de la Compagnie Théâtr’elles

Belle Lurette

de Hélène PRADAS-BILLAUD

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 03/05/2013 | 15,00 €

Elle s’appelle Anah. Elle a brûlé d’amour.
Elle peint son dernier tableau.
Du Maroc à la France, l'itinéraire d'une femme entre deux rives.
Le geste, celui que j’ai cherché, que je cherche encore.
Mon équilibre, le contre-poids. La toile blanche est mon commencement.Vouée, rivée, sans cesse revenue à elle.

Cette histoire qui allait naître, ce support qu’elle m’a donné.
Quatre-vingts ans aujourd’hui.

Mon âge, je l’ai longtemps tu, par élégance, parce qu’il ne m’enferme pas. Bien
sûr, les marques de mon corps, les ravins près des rondeurs d’avant. Les couleurs différentes, gris dans les cheveux, bleu granite à mes yeux. Mais mon élan échappe à la coulée du temps.
[...]
Mon geste, toujours, l’élan, encore. Mon désir vit d’un élan différent. Désir sédimenté, érodé, jaillissant. Mon désir élément.
Ce tableau est le dernier. Il sera la synthèse. L’inventé.http://www.chevre-feuille.fr/les-collections/d-une-fiction,-l-autre/397-belle-lurette.html

À fleurs de peau

de Carole MENAHEM LILIN

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 01/04/2013 | 15,00 €

 

Enfant d’un couple à fleur de peau, Enzo Titre collectionne les problèmes dermatologiques. 

Il n’en demeure pas moins poétiquement bondissant et « so marvellous », décide Opale Monika Louisiane Charleston. Fille de tatoueur, l’adolescente sait mieux qu’une autre lire ces « mots de peau »… 

Pourtant elle-même refuse de se laisser apprivoiser par la « fitchue » langue française qui aurait été celle de sa mère indigne, qu’elle a surnommée la sirène. 

Il arrive que le passé familial vous agrippe quand vous ne l’attendez pas.

Est-on pour autant obligé de devenir ce qu’il vous tatoue sur le front ?

Un premier roman détonnant !

ATTENTION !

de Nic SIRKIS

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 11/02/2013 | 0,15 €

Le 17 février 2011, Yann Orion, steward chez Air France, prend sa préretraite.

Période de retour sur soi qui réveille les cicatrices et les joies enfouies depuis l’enfance, sous le regard attentif et bienveillant de Guevara, le chat roux qui se charge de ramener son maître à la réalité. Il va réorganiser sa vie et quitter sa maison riche de précieux souvenirs, pour prendre un nouveau départ…

Un article découvert dans les pages du Canard Enchaîné, signalant la sortie d’un livre sur Van Gogh son peintre préféré, va bousculer l’existence de Yann Orion et l’entraîner en de rocambolesques aventures dans un jeu de l’oie parisien.

Au cours d’épisodes pleins d’humour, de tendresse, de suspense et d’effroi, Y. O. affrontera l’alter étrangère, « Insaisissable entre-deux », et, dans un récit en abyme, véritable work in progress, découvrira les affres de la création.http://www.chevre-feuille.fr/les-collections/d-une-fiction,-l-autre/398-attention.html

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