Nous avons tous un côté enfant et un côté animal, Un côté tendre et un côté diable, Un côté heureux et un côté coupable.
Chacun de nous peut se reconnaître dans l’un de ces portraits. Ou dans plusieurs, pourquoi pas ? Chacun peut trouver dans son histoire un peu plus que ce qui apparaît au premier regard. Ou pas.

Mais que vont bien faire Quentin, Arthur et leur nouvelle camarade de classe, Anne, au sous-sol de cette maison mal famée ?
Qu’en pensera leur professeur d’histoire, en cette dernière année de collège avant le lycée ?
Pourquoi certaines horloges tournent-elles à l’envers ?

Et si toutes les légendes avaient pour point de départ une vérité historique ?
Et si tous les contes qu’on imaginait devenaient la réalité ?
Quentin, Arthur et Anne vont faire face cette fois à une histoire imaginaire qui va devenir plus réelle que le temps et l’espace. Un conte d’amour et de meurtres, entre tribus celtiques et Egypte des pharaons.
Ils devront s’en sortir par leurs propres moyens, face à un monde qui leur échappe.
Et ils découvriront que chacun vit le temps qui passe à sa propre vitesse.

Le conte de Perrault fut aussi celui d’Andersen, et une tradition orale bien plus ancienne.
Il est ici l’histoire d’une jeune fille toute douce qui, bien sûr, aura le dessus. Car, comme dans toutes les belles histoires de chevaliers et de bonnes fées, la future princesse est belle, calme, soumise… elle est ici, aussi, ingénieuse, très adaptée à la presse « people »… et assez pragmatique quand il s’agit de ses belles-sœurs.

Le chat du Théâtre Français est chez lui partout, de la scène à la salle, des cintres aux loges des jolies artistes.
Mais lorsqu’il découvre une porte dérobée et s’y glisse, que va-t-il lui arriver ?
L’aventure est-elle assez belle pour ce chat décidément très cabot ?