Connexion

l'autre LIVRE

Daniel ZIV

Ce n'est rien

de Daniel ZIV

Z4 Editions (Z4 EDITIONS) | Paru le 18/04/2020 |

Il souffla sur un tableau :  « ceci n’est pas un rêve ». Il avait raison, c’était la peinture d’un rêve. Ceci n’est pas un livre, pour ne pas l’écrire, elle ne prend pas ton ordinateur mais son stylo plume. C’est un manuscrit par défaut. Il devra retranscrire. Le manuscrit d’une vie où le vrai est faux, le faux parfois vrai. Il fut un temps où écrire avait une fin. Perte de l’insignifiant. Tant de plaisirs. On s’en fout de vos plai-sirs. Où êtes-vous ? Enfouis dans les traces ?

Placé sous Jean Tardieu mais aussi sous le Robert Desnos de l’écriture automatique,  sous le  Poisson soluble d’André Breton  et sous le Man Ray  de la Femme coulante, « Ce n’est rien » est  un texte  fascinant. Ce texte d’ailleurs (aux deux sens de ce dernier mot)   pose une autre question. Qu’est-ce qu’un texte qui dure  et qui, de ce fait, appartient à la « littérature » ?  Les errances de Daniel Ziv sont après tout comparables,  mutatis mutandi  quant au style, aux Confessions de Rousseau. 

Jean-Claude Pecker, Professeur honoraire au Collège de France

Ce n'est rien

de Daniel ZIV

Z4 Editions (Z4 EDITIONS) | Paru le 26/07/2019 | 14,00 €

Il souffla sur un tableau :  « ceci n’est pas un rêve ». Il avait raison, c’était la peinture d’un rêve. Ceci n’est pas un livre, pour ne pas l’écrire, elle ne prend pas ton ordinateur mais son stylo plume. C’est un manuscrit par défaut. Il devra retranscrire. Le manuscrit d’une vie où le vrai est faux, le faux parfois vrai. Il fut un temps où écrire avait une fin. Perte de l’insignifiant. Tant de plaisirs. On s’en fout de vos plai-sirs. Où êtes-vous ? Enfouis dans les traces ?

Placé sous Jean Tardieu mais aussi sous le Robert Desnos de l’écriture automatique,  sous le  Poisson soluble d’André Breton  et sous le Man Ray  de la Femme coulante, « Ce n’est rien » est  un texte  fascinant. Ce texte d’ailleurs (aux deux sens de ce dernier mot)   pose une autre question. Qu’est-ce qu’un texte qui dure  et qui, de ce fait, appartient à la « littérature » ?  Les errances de Daniel Ziv sont après tout comparables,  mutatis mutandi  quant au style, aux Confessions de Rousseau. 

                                       Jean-Claude Pecker, Professeur honoraire au Collège de France

C'était Champagnole... Avant l'an 2000

de Constance RAMEAUX, Daniel ZIV

Z4 Editions (Z4 EDITIONS) | Paru le 20/05/2019 | 18,00 €

Voilà le petit ouvrage que de nombreux Champagnolais attendaient : reposant entièrement sur les témoignages de ses habitants, il retrace l’histoire récente de la « Perle du Jura » – celle de la seconde moitié du siècle dernier. Tous les grands thèmes qui ont marqué notre petite cité y sont présents, depuis les beaux jours de la piscine de l’Angillon jusqu’aux colos de Boulouris, en passant par les galas d’athlétisme, la clinique Saint-Joseph, les Forges, les bains-douches, le lycée Javel ou les anciens bouchers…

       Le tout narré le plus simplement du monde – de la bouche même de « vrais gens », ceux que vous croisez tous les jours dans les rues de Champagnole. Et c’est ce qui fait toute la force émotionnelle de ce petit livre d’histoires.

Une vie : livre 1, les années soviétiques

de Daniel ZIV

Z4 Editions (Z4 EDITIONS) | Paru le 24/11/2018 | 14,00 €

« Une vie », c’est la (vraie) histoire de Galia Gourevitch, huit ans, et de son père Mikhaël, camarade de Lénine, qui doivent s’enfuir de Moscou sous la terreur stalinienne. Ce premier volume, Les années soviétiques, raconte le périple rocambolesque réalisé par Mikhaël et Galia depuis Moscou jusqu’à Harbin en Chine, un voyage effectué d’abord en train, puis à pied lorsqu’il fallut éviter les contrôles du KGB et des douaniers de Staline. Dans le second tome, Les années chinoises, Galia raconte les quatorze années qu’elle passera en Chine (jusqu’à l’avènement de Mao Ze Dong) avant de s’installer en France où elle deviendra la journaliste Jacqueline Dubois.

Une vie : Livre 2, les années chinoises

de Daniel ZIV

Z4 Editions (Z4 EDITIONS) | Paru le 25/09/2018 | 14,00 €

Le premier tome de cette trilogie (Les années soviétiques) racontait comment Mikhaël, camarade de Lénine, et sa fille Galia, alors âgée de huit ans, avaient dû fuir l’Union Soviétique pour échapper aux purges staliniennes. C’est en partie en train et en partie à pied qu’ils avaient pu s’évader jusqu’en Chine.
Dans cette seconde partie, Galia résume les quatorze années qu’elle passa ensuite à Tientsin, la vie de tous les jours en marge de la seconde guerre mondiale, l’invasion japonaise, sa rencontre avec un avocat français lui aussi d’origine russe – Greg dit « Bogart ». Dans son propre journal, Greg (qui de son côté avait dû fuir la France occupée par les nazis et se retrouve en Chine par le plus grand des hasards) relate à sa façon les mêmes événements.
Exilés par la force des choses, ces deux-là voient le monde et vivent leur histoire d’amour avec des sensibilités bien différentes : leurs témoignages sont souvent à l’opposé l’un de l’autre. En 1949, les jeunes gens devront à nouveau s’enfuir pour s’installer dans un autre pays – une aventure qui sera au centre du troisième et dernier volume de la trilogie : Les années françaises.