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l'autre LIVRE

Emilia PARDO BAZAN

Naufragées

de Emilia PARDO BAZAN

Littérature espagnole (LA REINE BLANCHE) | Paru le 31/08/2022 | 17,00 €

Dans ces 21 nouvelles, la grande nouvelliste espagnole s’interroge sur la violence contre les femmes sous toutes ses formes : physique, psychologique, morale, judiciaire, sociale. Sa plume directe et franche – teintée toutefois de l’humour et de l’ironie qui la caractérisent – évoque la jalousie et le despotisme, brosse le portrait de femmes victimes des hommes et d’une société leur offrant peu d’horizons, mais parfois aussi d’elles-mêmes.
Cette traduction a reçu le soutien de Acción Cultural Española.

La dentelle déchirée

de Emilia PARDO BAZAN

Les Petites Rivières (LA REINE BLANCHE) | Paru le 29/10/2021 | 4,00 €

Micaelita Aránguiz, jeune fille appartenant à la grande bourgeoisie galicienne, très amoureuse de son fiancé, répond pourtant « non » devant l’autel. Que s’est-il passé ? Lu et étudié dans les collèges et lycées, ce texte dénonçant de façon extrêmement subtile les violences faites aux femmes est en Espagne un grand classique. 

Cette nouvelle est extraite du recueil Contes d'amour.
 

Contes d'amour

de Emilia PARDO BAZAN

Littérature espagnole (LA REINE BLANCHE) | Paru le 15/10/2020 | 16,00 €

Dans la sélection du présent recueil, on retrouve la thématique amoureuse sous tous ses angles - illusions et désillusions - avec une vision très ample : amour-passion et amour-compassion, amour et désamour de jeunesse, amour et désamour conjugal, amour à tout âge, amour pour un inconnu, amour au-delà de la mort. Au milieu de contes qui mettent en évidence l’inégalité entre l’homme et la femme dans la société de l’époque, on trouve également des récits d’infidélité féminine. (…) Dans les dernières décennies de sa vie, Emilia Pardo Bazán, sans abandonner le roman, écrit un grand nombre de contes. Grâce à la presse périodique, il s’agit d’un genre au succès croissant auquel l’écrivaine réfléchit depuis longtemps. Elle sait que c’est un genre qui « requiert des dispositions spéciales » et elle reconnaît qu’elle les possède. Elle se sent à l’aise car, en ce qui concerne les thèmes et les sources, « il n’y a pas de genre plus vaste et libre que le conte. »  (Ana María Freire López)