Connexion

l'autre LIVRE

Jean AZAREL

La voie est libre

de Jean AZAREL, Hélène DASSAVRAY, Jean AZAREL, Hélène DASSAVRAY

La Diagonale de l'écrivain (DOURO) | Paru le 15/06/2022 | 15,00 €

On peut y aller Jean, la voie est libre, les bagages consignés Sur des carnets empilés, les souvenirs ont pris le train. Hélène, la vie est une voie ferrée ; les rails s’y croisent pour converger vers le cœur de nos postes d’aiguillage. À l’intérieur, tout un chacun est chaque jour un survivant. De ces mondes disparus, l’enfance, la jeunesse, les fourvoiements et les grâces, la musique reste. Les mots roulent comme des pierres au rythme de nos histoires, vécues, interrompues, rêvées, dans un livre de voyages à deux

Portugal, un père et fils

de Jean AZAREL

12 x 21 (TARMAC) | Paru le 31/01/2022 | 12,00 €

Bien sûr le voyage est forcément réducteur dans ses révélations, il aurait pu être plus long, plus aventureux, mais que donner de plus d’un voyage une fois les alcools du pays fixés sur la langue ? Il manque toujours quelque chose, mais dans l’absence que nous fait suivre le sillon du hasard, on se dit que demain on reviendra, les grandes villes peuvent attendre, on comblera le vide, alors on pourra repartir vers d’autres pousse à vivre. Comment mieux dire l’onguent de l’oubli provisoire, notre condamnation à n’être qu’humain, finitude, fétu pensant, impérissable solitude, avec la beauté de le savoir, l’admettre, accouplée au doux sentiment d’en jouir jusqu’au bout de nos forces…..

Trans' Hôtel Express

de Jean AZAREL

12 x 21 (TARMAC) | Paru le 01/03/2018 | 10,00 €

L’amour, l’errance, la dépendance, d’hôtel en hôtel pour tenter d’oublier l’inoubliable jusqu’à ce que..., « Trans’ Hôtel Express »...

« La marque de mes chemises est sans importance. Toute ma vie, bercé par l’habileté de leurs mains, je me suis laissé habiller par les femmes autant que j’ai aimé les dévêtir. Il m’arrive de veiller tard pour échapper aux rêves. Les lieux transitoires où se nouent puis se dénouent l’espace d’une nuit des destins poignants sont pendus à mes lèvres. »