Le conte de Perrault fut aussi celui d’Andersen, et une tradition orale bien plus ancienne.
Il est ici l’histoire d’une jeune fille toute douce qui, bien sûr, aura le dessus. Car, comme dans toutes les belles histoires de chevaliers et de bonnes fées, la future princesse est belle, calme, soumise… elle est ici, aussi, ingénieuse, très adaptée à la presse « people »… et assez pragmatique quand il s’agit de ses belles-sœurs.

Le chat du Théâtre Français est chez lui partout, de la scène à la salle, des cintres aux loges des jolies artistes.
Mais lorsqu’il découvre une porte dérobée et s’y glisse, que va-t-il lui arriver ?
L’aventure est-elle assez belle pour ce chat décidément très cabot ?

Que fait-on quand la nostalgie nous submerge ? Ou pire : quand elle n'est pas là ? Nous avons tous eu une ou plusieurs anciennes adresses. Chaque page en raconte une histoire, avec tendresse, critique acerbe ou nostalgie.

Voici un roman d'aventures écrit pour les petits yeux comme pour les grosses lunettes. Nous sommes sous François Ier, en un temps où les pirates infestaient la Manche. On y apprend la géographie (limitée aux connaissances du moment), l'histoire (plus riche que ce qu'on raconte en classe), et surtout, comment décider de sa vie. On y apprend aussi que New York fut découvert par un italo-français, que le plus grand port de France était Dieppe, et qu'être une fille, c'était un combat de tous les jours. Il est écrit à la première personne, avec les ignorances et les oublis que peut faire une jeune fille de 15 ans, entre combats farouches et mariages forcés. Enfin, et malgré nos recherches, près de 400 pages manquent dans l'ouvrage : déchirées par sa narratrice, ou perdues pour une autre raison ? Seule la fin nous est restée. La fin, et un espoir intact de reprendre la mer.