Vade retro satanas
de Luc FORI
Pavillon Noir (CORSAIRE) | Paru le 24/03/2017 | 14,00 €
Dans un contexte de Djihad et d’attentats, une enquête décapante dans le milieu des mosquées et de la mouvance salafiste qui prend à contre-pied bien des préjugés.
« Faut que tu changes, Will, faut que tu changes… », qu’elle répétait. Du coup, j’ai essayé de changer, de changer de femme… ça n’a évidemment pas fonctionné comme prévu et j’ai dû bientôt poser mes valises ailleurs, en face d’un immeuble peuplé de cas sociaux et de mahométans forcément inquiétants. J’avais tout perdu, Heike, mon fils et le fil de ma vie. Alors, pour m’occuper, j’ai dû accepter de boire du thé, et même d’aller à la mosquée. Et comme je ne sais pas dire non, je me suis bientôt retrouvé à suivre la trace de deux apprentis djihadistes… Une trace qui m’a conduit jusqu’à Bruxelles, avec pas mal de surprises, mais je n’en dirai pas plus sur cette histoire belge ! Pendant ce temps Heike -commissaire de police à Bourges- était aux prises avec un psychopathe pas piqué des hannetons. C’est mon pote Roger, lui qui n’est pourtant pas bavard, qui a eu le dernier mot.
La passion du langage et des belles lettres conduit Luc Fori à mener de front son métier d’enseignant et ses activités d’auteur de polars. Il a publié dans la même collection Choc Berry blues, Connexions tragiques, Si les petits cochons te mangent pas où l’on découvre le regard décalé et plein d’humour de son enquêteur atypique.