Ezistezistepa
de Georges RICHARDOT
Fiction (5 SENS) | Paru le 18/04/2020 | 18,70 €
« En ce qui concerne EZISTEZISTEPA, qui me paraît résumer l’essence de « l’inexistentialisme », bravo ! Vous y faites éclater les structures de la pensée, dans l’esprit et dans la lettre. A vous suivre aux quatre vents de l’absurde et de l’anarchie littéraire, je me suis bien amusé comme vous avez dû vous-même le faire à l’écrire, et je gage que Raymond Queneau et, pourquoi pas, Bobby Lapointe y auraient trouvé leur bonheur. »
René Reouven, Alias René Sussan
Grand prix de littérature policière, Grand-prix de la Science-Fiction française, Grand prix de l’imaginaire…
Georges Richardot
Georges Richardot, consommateur attentif d’huile d’olive vierge (en l’occurrence, non impliquée dans quelque martyrat autre que celui de la langue française) naquit dans la zone d’influence de l’imagerie Pellerin d’Epinal, il y a des lustres, lesquels, dit la légende, sur son passage, tour à tour s’allumaient puis s’éteignaient. Il décida à Vence à une date non encore décédée, prenant toute sa place d’Inexistant dans l’emblématique « Vie des saints, suivie d’une méditation pour chaque jour de l’année » du Père Jean-Etienne Grossez, tenue à jour à cette seule intention par la succession de S. J. chargés du suivi.
(A mon fils.)