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l'autre LIVRE

La Foule Divinatoire des Rêves - Performance Catherine Gil Alcala

Éditeur : MAISON BRÛLÉE (LA)
Date : Du 26 mai 2018 à 18h00 au 26 mai 2018 à 19h30
Lieu :
Mairie du 5e - salle du Souvenir 5, place du Panthéon 75005 Paris
Détails :

Performance suivie d'une dédicace des livres de Catherine Gil Alcala publiés aux éditions La Maison Brûlée.

Dans le cadre de la Librairie éphémère - Festival Quartier du Livre

 

La Foule Divinatoire des Rêves - Performance Catherine Gil Alcala

 

"Je bois à la fontaine la drogue de jouvence.

Une joie mêlée d'effroi rejaillit du passé.

J'entends un cri aigu dans chaque goutte d'eau.


 

Un homme me scrute au fond d'une grotte.



Les coups de griffes de la destinée ont peint des larmes de sang

sur son visage d'étrusque.


 

Son regard se fige, il se transforme en statue de bois."

 

 

Et que l'on soit pris par le fantasme ou la poésie, on est attiré par la scène intérieure de l'artiste, par son théâtre mental, par son théâtre du rêve, où l'auteur se voit en miroir, lequel sert à saisir une personnalité complexe et particulière. D. Ayres, Reflets du Temps

 

 

La presse en parle :

 

Cosmogonie individuelle, l'inspiration de Catherine Gil Alcala est de ces aérolithes mentaux où notre réalité se retrouve métamorphosée par le souffle protéiforme d'une pensée magique... MCDEM, La Cause Littéraire

 

Pythie au verbe noir et flamboyant, elle pousse les mots à leur paroxysme pour nous faire basculer de l'autre côté, du côté du grand rire salvateur, où rien n'est sérieux, tout est primordial. Cathy Garcia, La Cause Littéraire


Une femme qui entre en poésie ne possède-t-elle pas dès lors "Une langue de feu" qui "s'élance sur la terre" ? F. Urban-Menninger, Exigence : littérature


La poésie a cela de fascinant qu'elle peut être à la fois ouverte à toutes les interprétations et à la fois terriblement précise dans ce qu'elle veut transmettre. E. Kempenaer, Le Suricate

 

Délire, transe, poésie exorcisante ou exutoire théâtral, Catherine Gil Alcala revient à la source même du cri qui génère toutes les béances jusqu'à faire parler ou hurler les bouches d'ombre qui hantent nos nuits. F. Urban-Menninger, Exigence : littérature

 

... Oui, nous sommes bien dans un théâtre de chair, dans une création organique dont la langue est le mouvement de macération, qui se trouve en phase avec des forces dionysiaques, ivres, Ménades qui courent et se défont, dans une sorte de tragédie eschylienne... D. Ayres, La Cause Littéraire

 

... la poésie de Catherine Gil Alcala s'apparente à une généalogie matriarcale. Son écriture ciselée est marquée des malheurs de l'être féminin abandonné à son sort dans un univers qui le surpasse, le détermine en le violentant... D. Sahyouni, Le Pan poétique des muses


...livre d'oracles. L'expression d'une autorité des mots et des idées... vous serez happé par du plus grand, du plus fort... E. Palmer, Luxsure


... de l'Apocalypse johannique aux figures d'Apollinaire, ... une poésie verte et capiteuse, où coulent les semences et les sécrétions, qui versent une sorte le lait brûlant du désir au milieu des pages... D. Ayres, La Cause Littéraire

 

... Son texte traverse à la fois le monde des bêtes et celui des hommes... Et tous sont sur le devant de la scène tragique intemporelle, née de la Grèce. C'est le destin, le fatum qui tisse les lignes de forces... Les spectres des victimes comme dans Hamlet taraudent leurs meurtriers... M. du Crest, La Cause Littéraire

 

...un travail du langage, comme un travail de forge, mais aussi avec finesse, comme un théâtre de souffleur de verre... D. Ayres, Reflets du Temps


... l'enjeu d'une telle création autour de la question du langage où nous passons derrière le miroir...  Où la question du sens et du non-sens se pose corrélativement à celles sur la relation entre théâtre et poésie, philosophie et littérature... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire


Parce que la vie ressemble parfois à du Shakespeare, Catherine Gil Alcala revendique une écriture pulsionnelle... J.-P. Gavard-Perret, lelitteraire.com


On n'a probablement pas lu quelque chose d'aussi fantaisiste depuis Novarina, on n'a pas lu quelque chose d'aussi éclaté depuis Heiner Müller. C'est radical, un peu dans l'esprit d'Artaud, on a quelque part Artaud aussi dans le titre. Ça défie l'imagination. Thomas Hahn, Émission Tempête sur les planches

... un texte tour à tour hanté par la brutalité sommaire qui nous vient d'Eschyle, et la modernité d'un Ionesco. Tension entre la bouffonnerie et le poème violent... D. Ayres, Reflets du Temps

 

Revue de presse Catherine Gil Alcala : www.lamaisonbrulee.fr/presse

Catalogue des livres de Catherine Gil Alcala : www.editionslamaisonbrulee.fr

Festival Quartier du Livre : www.facebook.com/quartierdulivre/