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l'autre LIVRE

Poésie

L'indolence divine face à l'insolence humaine

de Ghilanis GHILANIS

Poésie, Pamphlet, Réflexion (5 SENS) | Paru le 07/01/2017 | 17,10 €

L'indolence divine face à l'insolence humaine

…et si on était divin !

 « L’indolence divine », est une étude personnelle, un essai philosophico-religieux, quelque peu ironique, sur les aberrations de certaines religions, tout spécialement de la religion chrétienne que je connais le mieux, suivi d’une série de petits textes savoureux qui aideront à la réflexion personnelle. L’ouvrage se termine par une conception représentative, moniste assez innovante de ce que représente pour moi le Monde dans lequel nous évoluons et sa finalité que je dépeins comme une renaissance vers la véritable Existence.

Une interpénétration, sans aucun but prosélytiste, à la fois dans une époque reculée, pour ne pas dire éculée, et une époque contemporaine qui, malheureusement, est toujours en proie aux maux engendrés par ces « Fous de Dieu ».

Ghilanis

Je suis né le 14 décembre 1945 à Roncq (59 - Nord, France). J’ai vécu de novembre 1966 à mars 1968, en Suisse, à Neuchâtel, où j’ai fait mes premiers pas de ma vie professionnelle dans un Journal « La Feuille d’Avis de Neuchâtel ».

Je vis depuis 1962, en Belgique, où j’ai travaillé, en grande partie, dans la publicité écrite. Je consacre, depuis de nombreuses années, la plus grande partie de mon temps à la lecture d’oeuvres philosophiques et d’Histoire des Religions.

Les écrits qui en découlent ne sont dus qu’à l’aboutissement de mûres réflexions.

A l'aube de mon coeur

de Claie AVENTUR

Poésie (5 SENS) | Paru le 22/12/2016 | 9,00 €

A l'aube de mon coeur

Voici venu le temps de tout dire, de crier, de se révolter sans se cacher.

Quelques poésies pour ne rien jeter dans l’oubli.

Un grain de folie pour partager avec vous la vie.

Sans pudeur, c’est un partage en couleurs.

Mes écrits, ma vie !

Un parchemin qui accompagne vers des lendemains où tout va bien…

Claie Aventur

Claie AVENTUR est née à Paris en 1974, écrivaine, poétesse, coach en développement personnel.

Femme engagée et déterminée, elle écrit et proclame l’altérité, une vie dans la solidarité où chacun trouve la paix.

Résiliente, elle témoigne et partage son histoire afin de renforcer, d’encourager et de vivifier tout un chacun.

Fêlure

de Michel DIAZ

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 06/12/2016 | 13,00 €

Ce texte, d’une pureté poétique mise à nue, explore les chemins obscurs d’une vie parvenue à son mitan.

La pulsation du silence se fait entendre dans la beauté de l’hiver.

Le poète laisse alors entrevoir cette fêlure, qui au-delà de l’espoir, s’impose comme une délivrance.

 

Ces proses poétiques, rédigées sous forme de journal, sont aussi un récit. Celui d’un narrateur qui descend une à une les marches de l’hiver pour entrer dans ce qui sera son ultime silence. Confronté à ce qu’il appelle sa « douleur d’être », il explore ses zones d’ombre, interroge ses points de fracture et consulte ses souvenirs, mais demeure pourtant attentif aux premières neiges, aux lueurs du jour qui se lève et au mystère de la nuit qui tombe. Vivre est une expérience qui nous convoque à jouer notre rôle sur la scène du monde, une scène d’avance brûlée par le soleil noir de la tragédie. Car toujours, à la fin, retombe le rideau. Pourtant, écrit le narrateur, « Même dans le silence, le rythme continue à battre. Celui de l’univers et celui, sourd, du temps. » Et, plus loin : « Pour se sentir vivant, il faudrait  convoquer ce miracle : être là, sans paroles, pas trop avant de soi et pas trop arrière non plus, mais juste en équilibre sur la ligne de crête du souffle, accordé au balancement des secondes, au rythme de leur pouls. Libre de toute attente et de toute désespérance. » Mais cela est encore une autre manière de considérer ce que Cesare Pavese appelait justement « le métier de vivre ». Michel Diaz

Ô

de Irina DOPONT

Textes Courts (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 18/11/2016 | 5,00 €

Une musicienne sans instrument.

Une femme et un homme fantômes.

Ce texte évoque à la fois le miracle de la rencontre des corps et le vertige du vide. L’un et l’autre en écho, en silence aussi. En espoir peut-être.

Ô douleur, ô charnelle beauté…

Les silhouettes androgynes peintes par Marika Taoufiq, révèlent une force et une détermination, un mouvement de vie. Elles portent cette musique intérieure omniprésente dans l’écriture d’Irina Dopont.

Mythologie personnelle

de Christophe ESNAULT

Tinbad-poésie (TINBAD) | Paru le 02/11/2016 | 13,50 €

Choisir quatre des cinq questions posées à des écrivains par André Breton, parfois avec Paul Éluard, dans une série d’enquêtes surréalistes publiées dans trois revues?: Littérature (1919), La Révolution surréaliste (1925) et Minotaure (1933). Répondre, en incluant quarante huit textes visuels. Ce livre est un hommage à la dramaturge anglaise Sarah Kane et à son sublime 4.48 Psychose (L’Arche, 2001).

Cataracte de la douleur

de Christine DELCOURT

Poésie, Pamphlet, Réflexion (5 SENS) | Paru le 01/10/2016 | 14,40 €

Cataracte de la douleur est le récit d’un combat contre ce qui peut ronger l’intégrité d’un être à la dérive, lorsque le corps et l’esprit confrontent sans relâche leurs blessures. La lutte est âpre et la violence présente. 

Écrit sous forme d’un journal de maladie, en prose poétique, cette histoire de vie qui flirte avec la mort déroule sa spirale au rythme de douleurs intimes, ponctuée par la succession des jours et des nuits. Et le lecteur, qui ne saura plus à quel saint du calendrier se vouer, ne sortira pas indemne de ce voyage initiatique. 

Mais survient la parole pour porter haut le cri. Et c’est au bord de la rupture que déferlent les mots en coups de poings pour mieux régler les comptes. Ils redonnent souffle aussi, construisent des garde-fous et permettent la traversée vers des rives plus clémentes où se tenir droit debout. Mots rédempteurs qui viennent à bout de la souffrance à force de la nommer, mots exorcistes qui bannissent l’appel souterrain pour ouvrir la porte sur le désir qui veillait au seuil et… 

Résider en soi, 

pour être soi, enfin, tout simplement, 

et juste comme un commencement. 

Christine Delcourt est née sous le signe des Poissons, dans la ville du Grand Jeu. Elle a publié une vingtaine de recueils de poésie et de nombreux textes dans tout autant de revues et anthologies.

Lilith et moi

de Dom TERRIEN

Poésie, Pamphlet, Réflexion (5 SENS) | Paru le 15/08/2016 | 12,00 €

Lilith et moi

 « Lilith » première femme d’Adam, chassée du paradis pour avoir osé résister à l’autorité et « La femme sauvage » définie ainsi par Clarissa Pinkola Estés dans « Femmes qui courent avec les loups » ont donné l’inspiration à ce recueil. 

C’est une plongée dans la psyché où l’auteure revisite l’intime, l’enfance, la dualité, où elle dialogue avec l’homme intérieur( l’Ange).

C’est une poésie en désordre, instinctive, un constat lucide et douloureux, la recherche d’une authenticité dont « Lilith » fit les frais puisqu’elle fut bannie. 

 

Dom Terrien

Née à Paris, exilée volontaire, Dom Terrien vit au sud de la Corrèze où elle partage sa vie entre son jardin, la lecture et depuis quelques années l’écriture.

La philosophie jungienne, la musique et l’art graphique sont les passions qu’elle explore avec ses trois enfants auxquels elle rend hommage à la fin de ce recueil.

Depuis 60 ans, l'Afrique s'est trompée

de Emett LEGRAND

Poésie, Pamphlet, Réflexion (5 SENS) | Paru le 15/08/2016 | 12,00 €

Depuis 60 ans l’Afrique s’est trompée

Les indépendances des pays africains n’ont pas réussi à être le symbole d’une nouvelle ère. Car, dans les années qui ont suivi, les dirigeants chargés de remplacer les colons n’ont pas été à la hauteur des attentes pesant sur eux. Leurs manières de diriger se sont caractérisées par de nombreux écarts : dictature, népotisme, corruption et détournements de fonds. Ainsi que par des incitations à la division entre membres des différentes tribus, clans, ethnies et régions.

Face à ce drame continental, les révoltes ayant fini par lasser les populations africaines, et vu les pertes humaines et l’inefficacité à long terme des soulèvements, la solution finale pour les habitants du « Berceau de l’humanité » a souvent été de se résigner à la fatalité comme si être Africain était synonyme de souffrance, de privation et d’humiliation ; ou d’émigrer vers des pays où le bien-être des citoyens est mieux considéré. 

Il est vrai que la communauté internationale a sa part de responsabilités dans les problèmes de l’Afrique et des Africains. Par contre, dire qu’elle est la seule responsable de cette tragédie humaine relèverait d’une extrême malhonnêteté intellectuelle. Si, dès les indépendances des pays africains, il y avait eu au pouvoir des gens intègres et consciencieux, il n’y aurait pas autant de souffrances dans chacun des pays africains, et ainsi, bien moins d’émigrations.

 

Emett Legrand

Je m’appelle Donnet Sisa Nzenzo. Je suis né le 25 mai 1990 à Lubumbashi en République Démocratique du Congo. Écrivain depuis maintenant plus de dix ans, j’ai déjà publié plusieurs ouvrages auprès de différentes maisons d’édition. Sans compter que parallèlement à mes activités en rapport avec l’écriture, je suis étudiant en France à l’Université Toulouse I Capitole en Administration Économique et Sociale (AES) – visant au final une Licence 3.

Carnet de montagne

de Claire DESTHOMAS-DEMANGE

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 28/05/2016 | 13,00 €

Il n’y a qu’elle… cette poésie omniprésente qui marche aux côtés de celle en quête d’absolu. Celle qui épouse la montagne dans la pureté du jour à venir. Il n’y a alors plus qu’un espace où la nature seule sait les mots à écrire.

Les Admirés

de Daniel BERGHEZAN

Coffret Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 29/02/2016 | 10,00 €

Alberto Giacometti, Léopold Sédar Senghor, Vincent Van Gogh ou Albert Camus… Quoi de commun entre tous ces artistes incomparables ? Ce qui les unit assurément, c’est la joie que la seule évocation de leur nom suffit à me procurer. Je ferme les yeux. Et aussitôt une mer immense se déploie devant moi, qui délivre vague après vague les soubresauts de son corps tout empourpré de soleil. Grandeur et éclat. Oserai-je l’avouer ? J’ai eu quelques scrupules à désigner si clairement les destinataires de ces hommages. C’est que toute forme d’idolâtrie m’est suspecte. Mais au bout de leur passion, de leur souffrance, c’est à l’Homme même que ces créateurs de génie m’ont conduit. L’Homme fragile et singulier. Poète s’il discerne la beauté dans la poussière de ses apparences. Sublime s’il accueille comme une grâce l’émotion qui si charnellement le renvoie à sa substance sacrée…