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l'autre LIVRE

Poésie

L'Amour là où les nuits sont vertes

de Rienzi CRUSZ

Fonds Poésie (L'AMOURIER) | 16,00 €

Égrenés au fil d’une vie d’errance, expression à la fois sauvage et maîtrisée de bifurcations subies ou choisies, de passions comme d’amours domestiques, de récits de l’expérience quotidienne relevés par la magie de l’écriture, les poèmes de Rienzi Crusz, “Homme-Soleil” dans ses bottes de neige, donnent à entendre une musique fluide et syncopée de tonalités mêlées, à la fois simple et savante, grave, passionnée, riche en images syncrétiques, "tempérée" souvent par l’humour.
Dans la fusion des continents s’accomplit la création poétique, au cœur de variations saisonnières, sensorielles et exotiques.

Passerelle

de Erwann ROUGé

Fonds Poésie (L'AMOURIER) | 12,00 €

À bord d’un navire, au jour le jour et dans la solitude de la passerelle, l’auteur écrit son journal de veille où se mêlent écrits intimes et poésie.

Le récit, journal de bord, fait passerelle entre les départs et les retours, entre les doutes, les désirs et les manques. Il souligne la tendresse qui s’amarre en lui de l’être aimée, ce qui débarque en même temps à l’intérieur : une tension qui danse avec les extrêmes.
Le navire fatigue et le corps aussi. Dans le noir de la passerelle, il épaule la vague, les lignes tremblantes… Les coups de ballasts réduisent l’allure. L’état de mer le contraint à renoncer à l’accostage. Navire et corps n’en finissent pas de se confondre au silence muet qui s’écrit dans la marge et qui tente de préserver ce qui reste de tendresse.

Vers les riveraines

de Alain FREIXE

Fonds Poésie (L'AMOURIER) | 13,50 €

Après Avant la nuit (2003), Dans les ramas (2007), Vers les riveraines poursuit la marche entamée avec Comme des pas qui s’éloignent (1999).
Marche tâtonnante, les pas se touchant là où ils s’écartent, enjambées s’efforçant d’être attentives à ce qui vient au devant d’elles se découvrant, mot à mot. Où chemine l’écriture s’ouvrent les sentiers du temps : hier, aujourd’hui et demain s’y croisent, se perdent ici pour réapparaître plus loin. S’ouvrent les questions qui de l’homme sont le sol. Et le ciel.
Vers les riveraines est un livre dont la composition fait alterner textes en prose et textes en vers, donc des rythmes et des phrasés différents. Et tout cela pour que ça tienne : ponts, passerelles, passages.
Vers… l’idée est toujours celle d’un mouvement. Depuis Les Échappées réfractaires qui ouvrent l’ouvrage pour dire la résistance aux très hautes / fortes lumières, celles aveuglantes qui portent / trouent le monde vers ces Jours noirs qui le terminent sans le fermer, spirale de "parfum et musique", couleur noire de l’inattendu et de "l’impossible vivant" (René Char).
Ainsi les "riveraines" sont-elles un des noms possibles pour ce qui en manque. Un des noms pour ces choses qui ne se donnent pas à voir et se voient pourtant. Lueurs à entendre dans le tremblé des rives. Ces riens où trouve à se réancrer le vécu et le temps à se déplier à nouveau.

Alain Freixe

Vieillir est un jeu d'enfant

de Jacques FERLAY

Fonds Poésie (L'AMOURIER) | 11,50 €

Dans ce titre naïf, le mot important est “ enfant ”.
Vieillir est l’action, enfant celui qui agit.

Dans son jeu l’enfant fait semblant de croire que tout est possible et se soucie peu des aptitudes requises ni de la finitude des êtres.
Ses stratégies ont la souplesse foisonnante de l’imaginaire ; ses pouvoirs, que l’étymologie lui conteste, sont exercés divinement et tous ses sens y concourent sans calcul.
(…)
Ici, dans cet ouvrage, ne figurent que les trésors d’un enfant presque octogénaire dont la vie a vidé pour vous les poches.
N’y cherchez donc pas un savoir quantifié ni reproductible. L’échantillon représentatif est limité à un. Le taux de véracité ne dépasse pas celui de l’évidence du ressenti.
(…)
À vous, lecteur-acteur,
de faire que votre vie garde
le sérieux et la grâce du jeu d’enfant.

Extrait de la préface de Jacques Ferlay

LE BLUES DU 21? SIÈCLE & AUTRES POÈMES

de Tom BURON

Poésie (MAELSTRÖM) | 3,00 €

sur tous les chemins je vous vois vous tordre avec la 
psyché éther sur des bords de vie juteux à la recherche
d’un temps à gagner d’une perle à ramener aux nerfs
dansant comme des indigènes centenaires [ ... ]

où tu vois des failles bleues tachetées dans le ciel et t’y
engouffres pour mettre tous les lampadaires de cette
putain de cité dans un mot cru à en repeindre le tout

et puis je m’en fous royalement puisque je marcherai
sur ce siècle comme un funambule nerveux

inondant les ruelles de larmes acides

bruyantes comme les locomotives du soir

NOSTALJUKEBOX

de Tom BURON

Poésie (MAELSTRÖM) | 3,00 €

Nostaljukebox 
fumant de fulgurances,
allons jaser sur les variations
Nostaljukebox
Sanctuaire des profanes pour quelques pièces de cristal,
du cèdre d’Ôgygia pour les assoiffés qui ne
manquent jamais de s’engouffrer dans les bouquets,
brumes orgues,
les ravins des veilleurs du miroir aux souvenirs
effluves irréversibles —
Vois les pendules aux griffes embarquées,
Voilà qu’ils arrivent,
Ils viennent pour nous prendre.
Nostaljukebox
fumant de fulgurances,
allons jaser sur les variations

« Buron représente la contemporanéité de demain, ce qui
nous agrippera tous dans les jours à venir de la poésie. »
Jack Hirschman

Ode aux errants

de Fadéla CHAIM-ALLAMI

Poésie des voyages (XEROGRAPHES) | 10,00 €

Née à Alger, Fadéla Chaïm-Allami s’est frottée à la difficile profession de journaliste et s’est partagée entre divers univers. Curieuse, cherchant le « secret » de la vie, elle met sur blanc ses émotions, ses colères et sa tristesse. Elle aime écrire, comme elle dit : écrire « Je », écrire « Eux », écrire « Nous » et cela donne une Ode aux errants, des Fragmentaires où elle dépèce les émotions d’un peuple à travers les siècles et son Moi tourmenté.

Les derniers grecs, Corinthe, 146 av.J.C

de Jean ESPONDE

géopoétique (ATELIER DE L'AGNEAU ÉDITEUR) | 16,00 €

LES DERNIERS GRECS : Février 2016 : le narrateur séjourne dans une Grèce

à nouveau malmenée, et retrouve peu à peu les dernières journées de l’Hellade antique. L’un après l’autre vont alors s’avancer sur la scène de cette tragédie : le voyageur,

un vieux musicien, le Consul Mummius, des femmes,

un représentant des esclaves, l’historien Polybe présent durant ces journées, Diaïos  ­- le Marat de l’époque, etc.

Au milieu du IIe siècle avant J.C. la « machine » romaine étend son emprise sur la Méditerranée. Elle n’a pas d’égards pour un monde grec qui résiste pourtant, pathétique, avec des moyens dérisoires.

- 146 : Avril, chute de Carthage.

            Automne, les Romains prennent Corinthe.

            La Grèce antique n’existe plus.

Roman-poème ? drame ? Le texte est tout cela, et ce fut

un drame en effet : Rome, qualifiée par Hegel d’infâme, détruit le dernier centre de la résistance grecque.  

Et Hölderlin :

Plus de couronnes, plus jamais, ornant les vaisseaux

de Corinthe ?

Pourquoi donc se taisent-ils, ô anciens, les théâtres sacrés ?

Resteront pour de nombreux siècles des provinces oubliées, et quelques noms dont on se souvient encore, comme Philopoemen, « le dernier des Grecs ».

Après la Corne d’Afrique et la Chine, Jean Esponde poursuit un voyage grec entamé avec Éphèse, l’exil d’Héraclite, et La Crète d’Ariane et Minos.

GEYSERS

de Günther VANSEVEREN

ebook (ANNICKJUBIEN) | 9,99 €

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