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l'autre LIVRE

Recueil COLLECTIF

Du feu que nous sommes

de Recueil COLLECTIF

hors série (ABORDO) | Paru le 16/09/2019 | 25,00 €

Comme toute langue, toute réalité est vivante, organique ; tout poème est alors par évidence une conquête essentielle étroitement liée à l'époque où il voit le jour. Comme toute création, il demeure une écriture nouvelle en son temps.
Cette anthologie poétique réunit 65 auteurs contemporains venant de divers horizons. Et les textes regroupés ici ressemblent chacun à un appel marqué par une force criant à l'avenir ; une force qui est celle permettant au poète de ressentir ce qu’il est quand il écrit ; un avenir à travers lequel perpétuer le souvenir Du feu que nous sommes.

Les chiens aboient, la caravane passe

de Recueil COLLECTIF

Garder au sec (LA MARGE) | Paru le 01/11/2017 | 6,00 €

Une tasse de café froid, des coups de feu dans la nuit, une balafre impossible à cicatriser, un dérapage sur la route côtière. Avec ou sans attaches, un naufrage est si vite arrivé. Le temps de cuisson d'un gigot ou d'une danse enjôleuse peut suffire à vous faire basculer dans la déraison. A moins que vous ne préfériez céder à l'appel de la meute ?

La Velociraptora Histrionica

de Recueil COLLECTIF

Manipuler avec précaution (LA MARGE) | Paru le 01/07/2017 | 10,00 €

Animal post-préhistorique, la Velociraptora Histriónica se nourrit exclusivement de poésie, de frites et de caramel au beurre salé. Ses pattes puissantes lui permettent d’enjamber les continents et son système digestif prodigieux est capable d'assimiler l’essence de toutes les langues du monde. Baptiser de son nom cette magnifique revue de poésie bilingue allait donc de soi.

On a trouvé la belle-mère

de Recueil COLLECTIF

Garder au sec (LA MARGE) | Paru le 01/10/2016 | 6,00 €

Où il est question de Jeanine qui n’est toujours pas rentrée, de l’invention du feu, des méandres de la DDASS colombienne, des joies révolues du Québec libre, d’un macchabée familier mais pas trop et du redoutable algorithme du vide !...

Faut pas mépriser le quidam !

de Recueil COLLECTIF

Garder au sec (LA MARGE) | Paru le 01/10/2015 | 6,00 €

Un inconnu patibulaire qui s’invite au club de patchwork, un licencié licencieux, un sous-locataire peu scrupuleux : pas de doute, nous sommes cernés par les autres. Ces quidams que nous pensons connaître mais dont les agissements se dérobent sans cesse à nos prévisions...

Le bourreau devait être un artiste

de Recueil COLLECTIF

Garder au sec (LA MARGE) | Paru le 01/10/2014 | 6,00 €

Nouvelles saignantes de France et de Navarre. Où l’on dissèque, sur le billot, les plaisirs et vicissitudes de la mise à mort – réelle ou symbolique – de la cruauté et de son mystérieux corollaire, la sujétion.

Le Saule aux dix mille rameaux

de Recueil COLLECTIF

Les bilingues (L'ASIATHÈQUE) | Paru le 16/05/2005 | 30,00 €

Ces poèmes, dus aux plus grands poètes coréens du XIIIe au XIXe siècle, se caractérisent par un très vif sentiment de la nature et par une qualité d'émotion marquée par la nostalgie et par une méditation sur l'impermanence, souvent empreinte de philosophie bouddhique. Quelques titres évocateurs : Le petit ermitage au coin du rocher, À l'écoute de la pluie, Tandis que la source s'écoule, L'offrande du pin, Un lambeau de nuage, Le cannelier de la lune...

Toutes les formes sont abordées, des poèmes très courts, tels que les sijo, jusqu'aux longs poèmes narratifs (kasa). Les linguistes et les connaisseurs s'intéresseront aux textes originaux, souvent en caractères chinois et objets d'un gros travail de vérification et de collationnement ; les autres découvriront une littérature encore largement ignorée.

Le Rire de la terre

de Recueil COLLECTIF

Les bilingues (L'ASIATHÈQUE) | Paru le 30/03/2003 | 16,00 €

Les sept nouvelles de ce recueil, écrites au cours de la décennie 1950-1960, témoignent de l'explosion littéraire extraordinaire qui a suivi l'indépendance (1948). Ce surgissement n'est brusque qu'en apparence; il correspond à l'éveil progressif de tendances en gestation depuis trente ou quarante ans du fait de la découverte des littératures étrangères. De traductions en adaptations, puis en transpositions libres et enfin en œuvres originales, une nouvelle littérature se développa et les problèmes de l'époque trouvèrent un moyen d'expression adéquat et moderne.
Par le choix des textes, par la vivacité de la traduction, par son introduction et ses commentaires, Denise Bernot nous met en situation de saisir l'esprit et de goûter la saveur de ces récits sensibles et originaux.