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l'autre LIVRE

Littérature

Dans l'attente d'un autre ciel

de Damien MURITH

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/11/2021 | 12,00 €

Dans ce nouveau roman, Damien Murith nous livre avec pudeur son texte le plus intime et le plus maîtrisé à ce jour, en revenant sur les épisodes les plus poignants de sa propre enfance. Le récit d’une jeunesse douloureuse qui se lit le souffle court et les sens en alerte. Son écriture terriblement juste et incisive nous plonge dans l’atmosphère étouffante et poisseuse dans laquelle est contraint de vivre Léo. Victime du manque d’amour, de l’angoisse et de la solitude auxquels la folie de sa mère le confronte. Une mère abandonnée par son mari qui à son tour délaisse son enfant. Une femme démunie face à la réalité de l’échec de son mariage qui s’emmure dans un syndrome de Diogène, naviguant entre la dépression, le déni et des phases maniaques (voyage à l’étranger, nettoyages). Figure maternelle qui s’empare ponctuellement de la narration et nous éclaire sur à sa propre souffrance psychique. Les lueurs, bien que fugaces, laissent entrevoir un réel espoir.

Auteur

Damien Murith est né en 1970.
Il est l’auteur de plusieurs romans ainsi que d’un récit.
Ses livres ont reçu de nombreux prix littéraires, dont le Prix de la Fondation Claude Blancpain, en février 2021, pour l’ensemble de ses ouvrages…

Alcool mon amour

de Andréas BECKER

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/08/2021 | 20,00 €

Provocation ? Non, véritable aveu. Émotion pure. Cette immense difficulté de gérer nos émotions. Une histoire d’amour singulière se noue entre deux êtres vulnérables, alcooliques, trop sensibles. La dépendance et la maladie les empêchent d’assumer leurs sentiments et les jettent dans des aventures terribles. Pourtant, leur amour renaît, se montre fort, beau et vivant. Est-ce que ce sera suffisant pour vaincre la maladie ? Andréas Becker, accompagné d’un groupe de personnes anciennement dépendantes, donne dans ce livre une belle réponse. C’est un texte qui dit vrai, sans être larmoyant, c’est du direct sans être brutal, c’est toujours humain, même dans les moments les plus durs et les plus difficiles, ou peut-être, surtout dans ces moments de souffrance où naît l’espoir.Ce livre est écrit à partir du vécu de personnes anciennement dépendantes. Rien n’est inventé, rien n’est gratuit, mais tout est toujours empreint d’une grande tolérance. Il ne s’agit pas d’un déballage écœurant d’un destin individuel, mais d’une recomposition dans la nécessaire tension d’un récit littéraire.

Auteur

L’AUTEUR
Andréas Becker, né en 1962, est un écrivain français d’origine allemande. Il est entré en littérature en 2012 avec le très remarqué « L’Effrayable ». Depuis il a publié plusieurs romans et récits, dans une langue inventive et à chaque fois renouvelée.  

La légende du merle

de Jean-Pierre ROCHAT

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/05/2021 | 12,00 €

« Le plaisir de vous recevoir dans l’unique de chacun de nous, dans les
nuits ou même en plein jour. »

« La Légende du merle » est un roman diariste, intimiste, porté par le chant d’un merle du premier printemps de février au coeur de l’été, à la moitié d’août où l’oiseau s’est tu.
Dans la félicité du paysan retraité, aujourd’hui confiné, l’écrivain prend des notes, les réécrit quinze fois, évoque tour à tour avec mélancolie l’absence de ses petits-enfants, puis avec sensualité les femmes de sa vie. Les carnets de l’écrivain-paysan se lisent d’une traite comme un long poème qui vient interroger son processus d’écriture : « (…) il y avait les prés si appréciés, si vivants, si percutants, comment les ramener sur la page blanche, étaler les surfaces, la mue des surfaces en images satellites, je commence les foins ici (…) » Au fil de cette « rétrospective anarchique » il ne se trouve pas plus malin, mais ça le rend heureux, il est rempli de paysages locaux, on le dit écrivain régional, « le merle n’est pas un oiseau migrateur, il a ses limites ».

Auteur

Jean-Pierre Rochat affectionne la forme brève teintée d’oralité. Sa prose, malicieusement créative, âpre et charnelle offre un souffle unique à des personnages qui ont fait le choix du vivant. Non sans lucidité et sarcasme, l’oeuvre généreuse de l’écrivain embrasse avec bienveillance les difficultés de la réalité paysanne contemporaine et en désamorce la déliquescence en un bouleversant hymne à la terre.

Les Trois maisons

de Perrine LE QUERREC

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/03/2021 | 17,00 €

« Derrière les grilles du zoo humain, le sauvage sert à enseigner la civilisation.
Derrière les murs de la Salpêtrière, les folles servent à enseigner la raison.
Dans les chambres aux miroirs multiples, les filles servent à enseigner l’ordre. »

Paris, seconde moitié du XIXe siècle, la ville de tous les excès où se déploient les scandales de l’art, les prouesses de la science, les grands travaux d’urbanisme, les brutales politiques hygiénistes.
Paris, 1856, naissance de Jeanne L’Étang. Enfermée de maison en maison, des combles de la maison mère aux pavillons de la Salpêtrière jusqu’aux salons des maisons closes, Jeanne L’Étang apprendra à vivre et à s’orienter entre ces mondes d’exils.

L’auteure s’est immergée dans les archives de l’Assistance Publique, de la Bibliothèque universitaire Pierre et Marie Curie et de la Bibliothèque historique de la ville de Paris, pour y rencontrer Charcot, Freud, Degas, les clients des bordels et les folles de la Salpêtrière, les bourgeois et les mendiants, la ville et ses ombres, jusqu’à construire autour de son héroïne la langue la plus précise et la plus puissante possible.

Auteure

Perrine Le Querrec est née en 1968 à Paris. Elle publie de la poésie, des romans, des pamphlets. Elle écrit par chocs, construit une langue et un regard à la poursuite des mots réticents, des silences résistants. L’image comme l’archive sont des matériaux essentiels à sa recherche poétique, tout comme son engagement auprès de ceux dont la parole est systématiquement bafouée. Roman chorégraphique, écriture iconographique, poésie accompagnée d’improvisations musicales, travaux d’écritures avec des photographes, des plasticiens, les champs d’expérimentation de Perrine Le Querrec s’enrichissent de tous les vocabulaires de création.

Silences d'exils

de Marina SKALOVA

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/06/2020 | 25,00 €

« Silences d’exils » est une expérience humaine et poétique. De 2016 à 2019, Nadège Abadie et Marina Skalova proposent des ateliers d’écriture et de photographie à des hommes et femmes exilés en Suisse. Une recherche autour de la langue et sa perte, la parole et son absence, le mutisme et la disparition. Dans ce tissage subtil, les éclats de voix plurilingues convoquent les souvenirs de l’auteure et le regard de la photographe. Leurs gestes artistiques se rencontrent pour garder trace des passages, dire le manque. Tout en posant la question : qu’est-ce qui reste ?

Auteures

Marina Skalova est écrivaine. Née à Moscou, elle a grandi en France et en Allemagne, et vit aujourd’hui à Genève. Elle est l’auteure de plusieurs œuvres autour de l’exil : le recueil bilingue « Atemnot » (« Souffle court ») (Cheyne éditeur, Prix de la Vocation, 2016), « Amarres » (L’Âge d’Homme, 2017), « Exploration du flux » (Seuil, Fiction & Cie, 2018) et la pièce de théâtre « La chute des comètes et des cosmonautes » (L’Arche, 2019). Elle est également traductrice littéraire de l’allemand et du russe.

Nadège Abadie est photographe et réalisatrice. Née à Paris, elle s’attache à raconter des vies, des parcours, des trajectoires humaines. Ses travaux photographiques « La loge », « Le choix à Sébastien », « Il suffira d’une crise » ont été exposés en galeries, centres d’art, festivals et publiés aux Éditions La Martinière. Elle a réalisé les documentaires « 32 boulevard de Magenta » (2013), « Le point de rosée » (coproduction De Films en Aiguille et France Télévisions, 2017), « Des mots à la figure » (2018) et « Dans mon cœur, la pluie » (2020). Elle est membre de l’agence Signatures.

Gueules

de Andréas BECKER

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/01/2020 | 10,00 €

« Gueules » est un récit composé de photos d’origine (faites en 1916 et miraculeusement préservées) et de textes (les dessins de l’auteur se trouvent dans la version grand format). L’une des gueules, Charles de Blanchemarie, présente ses « colocataires » d’un hôpital où ces grands blessés sont soignés par une infirmière qui prend les soins très à corps. Naissent alors, au-delà de la solidarité de blessés, amitié, amour et tendresse dans un endroit où l’on ne s’attend qu’à abrutissement. Puisqu’avec des gueules abîmées il n’est plus possible de s’exprimer dans un français « correct », on fait comme on peut, avec des mots inventés, abrégés ou rallongés selon les facultés physiques de chacun. Mais l’incapacité de prononciation traduit aussi la perte de la dignité qu’ont vécue ces blessés de la face, que ce soit des mutilés de la guerre ou des accidentés d’aujourd’hui. Elles font peur ces gueules, alors que dans Gueules, ces êtres qu’on a érigés en héros pour les éloigner le plus loin possible de la réalité (pour d’évidentes raisons de propagande en préparation de guerres futures) se montrent telles qu’elles sont, aimables parfois, espiègles, joueurs… tout simplement humaines.

« Ce texte d’Andréas Becker surprend, désarçonne, effraie même, avant d’engendrer la sidération et de démontrer à quel point cet auteur est un très rare inventeur de langage. » Hugues Robert – Blog de Charybde

« J’ai rencontré une musique, de nouvelles résonances, une langue singulière et plastique dans son renouvellement, dans sa râclosité intranquille. Du grand Art. » Philippe Bouret – La règle du Jeu

« Un ouvrage saisissant qui interroge : où sont les gueules cassées des guerres d’aujourd’hui ? » – Nils Anderson – Le Monde Diplomatique

« ‘Gueules’ est un livre qui saisit. Pour donner une voix aux jeunes anonymes défigurés dans les tranchées en 1916, le romancier Andréas Becker a inventé une langue aux syllabes malaxées, triturées, une langue en lambeaux. » Jean-Bernard Vuillème – Le Temps

« Becker apporte un souci multiple à la recréation des mots, à la refonte des syntaxes, travaillant sur plusieurs fronts, s’emparant du langage populaire, voire vernaculaire, de la prose du début du siècle, mais à l’aune d’une poétique qui concasse le lexique ou l’agglutine, insufflant une verve tantôt rabelaisienne, tantôt célinienne à ces portraits. » Claro – Le Clavier Cannibale

Auteur

Andréas Becker, né en 1962 à Hambourg en Allemagne, vit et travaille aujourd’hui à Paris. Après une carrière commerciale dans différents domaines, il se consacre à l’écriture et au dessin. Il a publié aux Editions de la Différence trois romans: « L’Effrayable », « Nébuleuses » et « Les Invécus », tous 3 réédités aux éditions d’en bas (2019) et « Ulla ou l’effacement », en bas (2019).

Françoise Hoffmann, artiste, qui vit à Lyon, a hérité ces photos de gueules cassées allemandes de son grand-père (via son oncle), Joseph, qui a été blessé en 1916 sur le front Russe et a été soigné dans un hô- pital à Dresde. Joseph s’est installé à Saint-Etienne en 1919 avec trois camarades. Ce récit est donc une fiction historique où ces gueules sont françaises dans le texte et allemandes dans les photos, et franco-allemandes dans les dessins!

Tu es la sœur que je choisis

de COLLECTIF

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/10/2019 | 18,00 €

Alors que les discriminations sociales que subissent les femmes ont été dénoncées le 14 juin 2019 lors d’une grève féministe dans toute la Suisse, des écrivaines et illustratrices de Suisse romande se sont emparées du sujet sous forme littéraire et artistique. Récits, poèmes, théâtre, elles livrent des textes où s’expriment des sensibilités différentes. Jusqu’en juin, Le Courrier publiera une fois par mois une sélection de ces contributions. Toutes seront réunies dans le recueil Tu es la soeur que je choisis, auxquelles seront ajoutées des inédits à paraître cet automne en coédition avec les éditions d’en bas.

Autrices de Suisse romande : Albertine, Heike Fiedler, Marina Salzmann, Fanny Wobmann, Céline Cerny, Odile Cornuz, Claire Genoux, Aude Seigne, Mélanie Richoz, Chloé Falcy, Marie-Claire Gross, Annik Mahaim, Silvia Ricci Lempen, Ursula Gaillard, Marianne Enckell, Anne Brécart, Anne Bottani-Zuber, Antoinette Rychner, Anne Pitteloud, Carole Dubuis, Lolvé Tillmanns, Mélanie Chappuis, Sylvie Blondel, Mary Anna Barbey, Isabelle Sbrissa, Yvette Théraulaz, Rachel Zufferey, Marie-Christine Horn, Nadine Mabille, Amélie Plume, Laurence Verrey, Laurence Boissier, Sabine Dormond, Stag.

Ulla ou l’effacement

de Andréas BECKER

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/05/2019 | 8,00 €

Ce qu’elle aura encore en plus se comptait en jours, en semaines encore, mais plus en années.
Lentement, une femme s’efface devant le monde. Autour d’elle, les silences, les absences, une clarté presque insoutenable, les paysages vides du Nord de l’Allemagne. Elle s’allonge sur un canapé, chez elle, dans son salon ; seuls l’alcool et les médicaments la font encore bouger. Le médecin est formel, la mort approche par cirrhose du foie. Andréas Becker accompagne la malade d’une langue ciselée et tendre, d’une langue qui cherche constamment à dire ce qui est encore exprimable quand la vie s’en va, mais quand l’amour se tisse. Malgré la tristesse de la mort se crée ainsi une espérance dans ce qui restera et que Becker nomme alors ça. Ça, c’est Ulla.

Auteur

Andréas Becker, né en 1962 à Hambourg en Allemagne, vit et travaille aujourd’hui à Paris. Après une carrière commerciale dans différents domaines, il se consacre à l’écriture et au dessin. Il a publié aux Editions de la Différence trois romans: « L’Effrayable » (2012), « Nébuleuses » (2013) et « Les Invécus » (2016); les éditions d’en bas rééditent ces 3 romans en 2018. En 2015 les éditions d’en bas ont publié « Gueules ».

Les rêves d'Anna

de Silvia RICCI LEMPEN

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/04/2019 | 20,00 €

Les protagonistes de ce roman sont cinq jeunes femmes – certaines d’entre elles très jeunes – vivant à des époques différentes, sur la durée d’un siècle. Mais la flèche du temps file à l’envers, le roman recule de 2012 aux années de la Grande Guerre. Les cinq protagonistes n’ont pas de liens de parenté, et pourtant elles s’inscrivent dans une généalogie ; elles sont unies par le fil rouge de la transmission, parce que chacune passe à une autre quelque chose d’important : de la force, du désespoir, ou les deux à la fois. Et dans leur inconscient à toutes revient une même image, créée par une artiste folle : une femme au port de reine, scintillante de bijoux, aux épaules puissantes et aux seins généreux – mais à la place des yeux elle a deux amandes bleues, pour ne pas voir la douleur du monde.

Les cinq histoires se déroulent dans différents pays – Italie, Écosse, Suisse romande, France. Dans chacune des histoires, aux côtés de la protagoniste, apparaît une autre femme, plus âgée, qui sera la protagoniste de l’histoire suivante, c’est-à-dire celle qui vient après dans la lecture, mais qui la précède dans l’ordre du temps.

Silvia Ricci Lempen, née en 1951 à Rome et vivant à Lausanne, est une écrivaine italo-suisse élevée dans la culture française. Elle est bilingue et écrit dans les deux langues.

« Les Rêves d’Anna », dont les protagonistes sont tantôt francophones tantôt italophones, est issu d’un projet sans précédent, qui a été primé par une bourse d’écriture de la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia : écrire parallèlement le même roman dans les deux langues, de sorte à aboutir à deux versions originales, semblables mais pas identiques, chacune marquée par son propre contexte linguistique, aucune des deux n’étant donc la traduction de l’autre. La version italienne paraîtra courant 2019.

Auteure

Le parcours littéraire de Silvia Ricci Lempen a commencé par l’écriture et la publication, en français, d’un roman autobiographique consacré à son père, Un Homme tragique (L’Aire, 1991, Prix Michel-Dentan), qui a été par la suite traduit en italien. Ses autres romans en français sont Le Sentier des Éléphants (L’Aire, 1996, Prix Schiller), Avant (L’Aire, 2000, Prix Paul-Budry), Une Croisière sur le lac Nasser, L’Aire, 2012) et Ne neige-t-il pas aussi blanc chaque hiver ? (en bas, 2013). Elle a publié un essai sur le féminisme avec Martine Chaponnière Tu vois le genre? Débats féministes contemporains (en bas, 2012).

Vers Odessa

de GOLOVINE, Valérie FREY

Littérature (EN BAS) | Paru le 01/10/2017 | 35,00 €

Dans ce livre, Valérie Golovine (nom de plume de Valérie Frey) raconte et montre, par l’écriture et par l’image, ses périples « vers Odessa », tant au sens propre qu’au sens figuré.
Vers Odessa tisse plusieurs voyages, de l’occident vers l’orient de l’Europe (et au-delà, jusqu’à New York et au Japon), ainsi qu’une enquête biographique, historique et artistique, dans un ensemble en deux parties, sur quinze années d’élaboration. Il réunit un texte et 109 photographies argentiques, dont 7 en couleurs. Au terme du voyage, un secret nous reviendra, qui éclaire le choix du nom de Valérie Golovine pour signer ce livre, et qui nous rend familières, au-delà des conflits, au-delà des crimes subis ou perpétrés hier et aujourd’hui, la langue et la culture russes – dont sa grand-mère fut dépossédée à la naissance, mais qu’elle transmit pourtant…

Auteure

Valérie Frey a déjà publié trois importants ouvrages de photos et textes mêlés : « Les Dépossédés » (Éditions Stock, Paris, 2001, en collaboration avec Yves Laplace), « Face your fears : Au défi de la guerre » (Éditions La Baconnière/Arts, Genève, 2007) et « Archipel des passants » (Éditions Infolio, Gollion, 2014, en collaboration avec Yves Laplace). Elle a fait l’objet, depuis 1998, d’une douzaine d’expositions, en Suisse, en France et en Bosnie. « Valérie Frey, depuis bientôt dix ans, établit un état des choses et des gens, un constat (…) où figure toujours une valeur de rappel, donc le filigrane historique et symbolique », écrivit en 2007 Charles-Henri Favrod, fondateur du Musée de l’Élysée. « Vers Odessa » en témoigne, plus que jamais, avec force.

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