Nous avons tous un côté enfant et un côté animal, Un côté tendre et un côté diable, Un côté heureux et un côté coupable.
Chacun de nous peut se reconnaître dans l’un de ces portraits. Ou dans plusieurs, pourquoi pas ? Chacun peut trouver dans son histoire un peu plus que ce qui apparaît au premier regard. Ou pas.

Le chat du Théâtre Français est chez lui partout, de la scène à la salle, des cintres aux loges des jolies artistes.
Mais lorsqu’il découvre une porte dérobée et s’y glisse, que va-t-il lui arriver ?
L’aventure est-elle assez belle pour ce chat décidément très cabot ?

Le conte de Perrault fut aussi celui d’Andersen, et une tradition orale bien plus ancienne.
Il est ici l’histoire d’une jeune fille toute douce qui, bien sûr, aura le dessus. Car, comme dans toutes les belles histoires de chevaliers et de bonnes fées, la future princesse est belle, calme, soumise… elle est ici, aussi, ingénieuse, très adaptée à la presse « people »… et assez pragmatique quand il s’agit de ses belles-sœurs.

Et si toutes les légendes avaient pour point de départ une vérité historique ?
Et si tous les contes qu’on imaginait devenaient la réalité ?
Quentin, Arthur et Anne vont faire face cette fois à une histoire imaginaire qui va devenir plus réelle que le temps et l’espace. Un conte d’amour et de meurtres, entre tribus celtiques et Egypte des pharaons.
Ils devront s’en sortir par leurs propres moyens, face à un monde qui leur échappe.
Et ils découvriront que chacun vit le temps qui passe à sa propre vitesse.

Mais que vont bien faire Quentin, Arthur et leur nouvelle camarade de classe, Anne, au sous-sol de cette maison mal famée ?
Qu’en pensera leur professeur d’histoire, en cette dernière année de collège avant le lycée ?
Pourquoi certaines horloges tournent-elles à l’envers ?

Quand une historienne rêvant de cold cases et de fééries, s’associe à un informaticien pragmatique autant que désordonné, cela donne… Assassins’ Tour : une micro-entreprise organisant des escape games dans des lieux au lourd passé.

Deuxième enquête financière de Mikaël Le Bannec - un privé parisien spécialiste des coups fourrés en Bourse et des tripotages financiers, Persevere diabolicum est un whodunnit à la mode « The big short » - qui lorgne librement vers les enquêtes de Lemmy Caution et les thrillers de l’entre-deux-guerres.

Que fait-on quand la nostalgie nous submerge ? Ou pire : quand elle n'est pas là ? Nous avons tous eu une ou plusieurs anciennes adresses. Chaque page en raconte une histoire, avec tendresse, critique acerbe ou nostalgie.

Instantanés poétiques et étincelles de joie pris sur le vif comme autant d'images magiques. Est-ce un hasard si c'est une photographe qui trace ces lignes – qui sont autant de clins d'œil au bonheur qui s'arrête en un instant suspendu.

L'histoire commence par une question anodine : - « Si tu veux, tu viens avec moi à Perros-Guirec. » Ca aurait pu être une semaine en amoureux, au bord de la mer. Mais ça manque d'une phrase en plus. Alors, comment faire parler un Monsieur qui a toutes les caractéristiques classiques du Monsieur, justement : l'incapacité à confier ses sentiments ? Réponse en forme de poème très, très libre !

Vous attendiez-vous à la proposition ? Vous fait-elle plaisir ? Vient-elle de qui vous désiriez la chose ? Qu'elle tombe à plat ou qu'elle tombe du ciel, la demande est toujours intéressante… à moins que ce ne soit la réponse ?

Comment réagir ? Que lui répondre, à elle ou à lui, devant cette déclaration ? Chaque réponse de ce petit livre possède plusieurs sens, selon que l'on est optimiste ou pessimiste. Au lecteur à retrouver tous les cas de figure possibles, pour jouer à ce double jeu.

Voici un roman d'aventures écrit pour les petits yeux comme pour les grosses lunettes. Nous sommes sous François Ier, en un temps où les pirates infestaient la Manche. On y apprend la géographie (limitée aux connaissances du moment), l'histoire (plus riche que ce qu'on raconte en classe), et surtout, comment décider de sa vie. On y apprend aussi que New York fut découvert par un italo-français, que le plus grand port de France était Dieppe, et qu'être une fille, c'était un combat de tous les jours. Il est écrit à la première personne, avec les ignorances et les oublis que peut faire une jeune fille de 15 ans, entre combats farouches et mariages forcés. Enfin, et malgré nos recherches, près de 400 pages manquent dans l'ouvrage : déchirées par sa narratrice, ou perdues pour une autre raison ? Seule la fin nous est restée. La fin, et un espoir intact de reprendre la mer.

Un escape game dangereux sur une île perdue de Bretagne nord. Une île sur laquelle les morts se succèdent – et où les moyens de s'échapper s'envolent les uns après les autres… Chaque chapitre porte le titre d'un grand roman policier, comme si chaque meurtre se déroulait à nouveau.

Enquête financière se déroulant dans le Paris des beaux quartiers et des grandes fortunes. Notre détective, amateur de latin de cuisine et de calembours, devra batailler dans cette jungle peuplée de jaguars et de crocodiles, jusqu'à faire éclater une vérité pas forcément bonne à dire.

Venu aider sa mère, notre détective est embauché par l'un des riches propriétaires de villas balnéaires pour retrouver sa femme. Disparue, ou pire ? Lors du lancement du nouveau casino, les meurtres se multiplient. Un tueur en série abandonne ses victimes sur la plage la plus select de la région.

Quand une ex-star et sa sœur s'installent à demeure dans un trou perdu du Finistère, est-ce pour cacher un sombre secret ? Premier roman se déroulant dans le village fictif de Kerroc'h Penarmor, il nous fait découvrir le petit monde des locaux et des hors-venus.