Ozu-san
Pasolini, parlant de son travail de metteur en scène et de théoricien, disait qu’il faisait un Cinéma de Poésie. À sa suite, en modestie mais avec assurance, je soutiens que j’écris une Poésie de Cinéma (de – et non pas du). Ce poème pour en faire image : La poésie de cinéma est une plainte Cette plainte est absolue À savoir qu’elle n’a adresse ni fondement. La forme de la plainte est le cœur brisé La particularité de cette brisure est que le cœur la veut.
Fiche technique
Prix éditeur : 11,50 €
Collection : La diagonale de l'écrivain
Éditeur : Z4 EDITIONS
EAN : 9782490595600
ISBN : 978-2-490595-60-0
Parution :
Façonnage : broché
Poids : 130g
Pagination : 110 pages