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l'autre LIVRE

MUSIMOT ÉDITIONS

Les éditions Musimot sont nées en 2009 au sein de l’association culturelle Musimot. 

Dans un premier temps généraliste, notre maison d’édition indépendante s’est peu à peu spécialisée dans la publication de textes poétiques.

Attentives au style et à la musicalité, nous favorisons une écriture de l’intime en résonance avec les problématiques du monde. 

De plus, au fil des rencontres, le travail réalisé en collaboration avec des peintres, graphistes, photographes a pris forme, nous conduisant à l'élaboration de collections particulières (Coll. Textes Courts — Carnets poésie / Photographies — Coffrets / Poésie) avec ce désir toujours grandissant de contribuer au dialogue artistique essentiel à la création.

Musimot propose aussi des concerts, des expositions, des lectures musicales et des rencontres avec les différents auteurs. Nous pouvons intervenir dans les bibliothèques, médiathèques, cafés lecture, cafés culturels et associatifs, cafés littéraires, petites salles de spectacle, festivals de poésie, rencontres culturelles, salons et fêtes du livre, chez l'habitant et dans les collèges et lycées.

Adresse : 19 route d'Escurolles
03800 Le Mayet D'Ecole
Téléphone :0631995640
Site web :https://www.musimot.com/
Courriel :nous contacter
Diffusion :Nous même
Distribution :Nous même
Représentant légal :Marie-Pierre Forrat
Forme juridique :Association
Racine ISBN :979-10-90536
Nombre de titres au catalogue :58
Tirage moyen :200
Spécialités :Poésie

Le Tableau

de Irina DOPONT

Roman (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 02/10/2013 | 15,00 €

L’idée de ce roman est née du désir d’écrire l’émotion suscitée par les toiles de Vincent Van Gogh. Une première visite à Orsay il y a vingt ans, le bleu de Notre-Dame-d’Auvers-sur-Oise, cette évidence enfouie comme on étouffe un amour dévorant.

Dans un style tout en vivacité, où l’humour côtoie une poésie colorée, Irina Dopont nous entraîne dans l’histoire de deux personnages hors du commun.

Elle pense à Vincent son visage s’illumine, les yeux pétillent. La joie majuscule s’écrit, elle rayonne. Elle se mordille la lèvre pour se réveiller du songe, tourne la tête comme pour faire « non », hausse les épaules de dénégation ; elle-même a du mal à croire ce qui lui arrive. Mais le sourire triomphe ; du plus pur de l’âme le cœur exulte. Aimer comme cela et être aimée de la joie que l’autre apporte. Par-delà l’absence. Une fraction, elle retrouve tout. L’émotion de cette unique fois a marqué sa peau qu’un effleurement fait frissonner. Le velouté, enfin, la couleur son regard, la toile… Tout… Personne ne comprendrait qu’un tableau transporte si haut dans l’idéal.

Être et avoir l'été

de Charles SIMOND

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 28/09/2013 | 13,00 €

Être dans le bleu de l’été, dans la lumière éclatante, suffocante…

Pénétrer l’ombre de la nuit offerte aux illusions.

Le corps brûlé au soleil du désir.                         

Sensualité dévorante qui hurle aux mots d’une poésie solaire.
 

La poésie naît

Ce lointain été

Calciné d’oubli…

Corps é-crit

de Monique LUCCHINI, Marie-Pierre FORRAT

Carnets Poésie / Photographies (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 10/07/2013 | 12,00 €

Photographies©Marie-Pierre Forrat

 

Photographier pour dire. Pour dire le silence criant des femmes. Pour permettre de laisser le regard entendre la vibration des douleurs sculptées et de l’érosion des chocs. Pour écouter ce cri des femmes écrit dans l’écorce et ainsi pénétrer le végétal jusque dans l’éternité de leurs cicatrices. Enfin pour voir et écouter ce que les arbres ont à nous dire, témoins centenaires de ces violences-là. 

Marie-Pierre Forrat

Au regard de l’exposition Corps é-crit de Marie-Pierre Forrat j’ai immédiatement entendu les mots dans le cri de ces femmes. J’ai vu l’écorce des arbres, l’universalité des mots inscrits dans le bois vivant et mort. Alors le désir d’écrire était là comme une évidence, écrire pour toutes les femmes. Dire leurs cicatrices les plus intimes. Écrire sur leur force aussi, leur volonté de vie que rien ni personne ne pourra taire.

 

 Monique Lucchini

Assis sur une branche sans lune

de Didier TOURHEL

Dialogues poétiques (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 24/06/2013 | 14,00 €

Avec Assis sur une branche sans lune, Didier Tourhel offre un livre construit sous forme de dialogues où se mélangent avec harmonie les mots et les sons… La poésie de son écriture, pleine de fraicheur et de sensibilité, berce le lecteur, l’entraînant avec douceur et force dans une émouvante histoire d’amour intemporelle, de la même façon qu’un conte d’autrefois. Ne reste plus alors, qu’à se laisser envahir par la beauté des phrases, la mélodie subtile de leurs rythmes et la sagesse qu’elles génèrent.

Corps de Femme

de Sylvain GUILLAUMET

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 16/05/2013 | 10,00 €

Le corps comme une errance, une destination à atteindre.

Le corps sublimé, aimé.

La femme, cette inconnue, terre imaginée, rêvée.

La force de ce désir, improbable, inaccessible…

Chaque partie de ton corps fut escale et départ

à présent voici mon carnet écrit à la cendre des bagages

« Tout est dit, ou presque. Mais partager cette joie totale, mêlée de douceur et de violence, est une île impossible à atteindre. A défaut, j’ai donc tracé un voyage par des détours sinueux et des chemins incongrus. Non pas un carnet de bord, ce poème est avant tout une lettre d’amour. »

Sylvain Guillaumet

Marie M…

de Colette THÉVENET

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 10/12/2012 | 14,00 €

Marie M…, c’est la parole d’un corps déchiré, sa fragilité, sa force aussi. C’est le courage de la différence. Un cri de liberté et de lutte contre cette soumission ancestrale qui détermine la femme face à l’homme tout puissant. C’est l’instinct animal qui l’habite, qui la guide vers sa propre destinée, l’amour aussi. L’amour absolu jusqu’à la souffrance, la douleur. Une sensualité sauvage qui parle à la lune et à l’olivier, un écho porté par le vent du désert.

Le Choix de Clotilde

de Monique LUCCHINI

Textes Courts (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 03/10/2012 | 5,00 €

Ce court récit relève le problème des choix que nous sommes tous amenés à faire un jour ou l’autre dans notre vie. Un choix qui ouvre les portes d’une nouvelle existence. Un choix que l’on fait dans l’immédiat sans vraiment réfléchir, comme un acte évident. Le choix d’une liberté à venir.

La Passagère D'Apocalypse

de Charles SIMOND

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 28/03/2012 | 12,00 €

Il arrive un temps où les amis nous quittent, emportés par la finalité d’une vie somme toute commune. C’est de ça qu’il s’agit ici, de cette interrogation sur le sens de la vie. De ce regard du poète sur l’évidence, la simplicité des jours qui s’égrènent, la vie semblable à cette pâte que le boulanger tient dans ses mains, l’odeur du pain chaud, le goût aussi… Et puis l’espoir, l’amour qui illumine des jours nouveaux, qui donne encore un sens à l’avenir

La souffrance des autres ne nous appartient pas. Elle est une lame qui ne nous transperce que la tête.                                     L’esprit.

Alors qu’elle leur fouille les chairs. J’enlève mon chapeau. J’ai vu quelqu’un le faire. C’est plus correct. Ils disent pour le mort.

La souffrance est comme l’arête dans le poisson. En trop. Pas pour le poisson. D’être de chair le poisson meurt assassiné. Je suis végétarien. Nos chairs ne se rencontrent pas.

Gabriel Jardin

de AHAZ

Récit (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 04/10/2011 | 15,00 €

Le caractère archétipal des douze personnages de ce récit en fait les représentants d’une communauté toute entière. Gabriel Jardin joue le rôle d’observateur d’un monde habité par des êtres plongés dans la problématique de la recherche du bonheur. Chacun d’eux ressentant ici alors l’insatisfaction, la frustration, la quête inaboutie d’un idéal. La construction de cette histoire révèle peu à peu l’interdépendance inévitable des personnages entre eux, symbole du fonctionnement relationnel de notre société. On comprend alors que ce récit s’apparente ici au conte philosophique.

Je Vois

de Monique LUCCHINI

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 07/06/2010 | 12,00 €

Je ne pensais pas pouvoir écrire ce livre. Pourtant il était en moi comme une évidence. J’y ai souvent pensé… j’y ai pensé plus que tout. Ce livre c’est l’histoire de cette écriture-là, l’écriture de l’amour qui se fait, qui est en train de se faire… l’écriture des corps qui se frôlent, se touchent… se donnent. C’est l’histoire de ce désir omniprésent qui donne la certitude d’être en vie. C’est un voyage dans l’univers du plaisir, de la possession des corps. C’est l’interrogation sur la liberté d’aimer sans entrave aucune…  sans promesse de lendemain. C'est la mer omniprésente. La musique de la mer, sa force aussi.  C'est l'écriture de la mer comme celle de l'amour.

Equation

de Irina DOPONT

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 07/05/2010 | 14,00 €

Les calligrammes de ce recueil tracent l’équation de la vie toujours irrésolue.

À la déploration et la violence de la mort du père fait écho l’attente de l’Autre

l’A-venir

l’Ami

l’Amour

Itinéraire de l'écrit

de Monique LUCCHINI, Marie-Pierre FORRAT

Carnets Poésie / Photographies (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 07/07/2009 | 12,00 €

Photographies©Marie-Pierre Forrat

 

Ce livre je l’ai souhaité comme un voyage, le voyage de l’écrit à travers l’image. Des clichés immédiats sur lesquels les mots, les phrases naissent de l’émotion de l’instant. La photographie m’est apparue comme un cahier de musique, une portée où peu à peu les notes s’inscrivent pour aboutir à l’harmonie d’une composition musicale, à sa tonalité, ses différents mouvements. La musique de l’écrit, la musique de la vie. C’est sur les murs de la cité qu’apparaît l’écriture primitive comme un cri, un témoignage, une trace de ce qui est. La trace d’une existence qui ne sait pas, pas encore, quel chemin emprunter pour entamer son voyage intérieur. Sur le béton de la ville en perpétuelle démolition et reconstruction, sur les haubans d’un pont noyé dans  un brouillard impénétrable le voyage se dessine. Il nous éloigne peu à peu de ce paysage artificiel.L’empreinte des pas du voyageur se forme sur la mouvance du sable pour disparaître, emportée par le temps qui s’écoule. Le corps retrouve sa nudité le regard se tourne vers la mer,vers cet infini à atteindre. Le voyage intérieur est en marche, l’écriture apparaît comme une évidence, dénudée de tout artifice. S’impose alors la simple volonté de partir, vers un autre paysage, vers le possible, à la rencontre de soi-même, plonger dans une solitude consciente, s’imprégner du dénuement complet de ce paysage, de sa beauté, de sa rudesse. Se nourrir de ça pour que l’écrit devienne réalité, pour qu’à l’aube du jour à venir l’écriture continue dans d’autres lieux, ailleurs comme autant d’amour à donner, à partager, à vivre. 

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