Connexion

l'autre LIVRE

Poésie

HIVER SUR LES CONTINENTS CERNÉS - ARCHIVES OSSANG VOLUME I

de F.J. OSSANG

hors-collection (LE FEU SACRÉ ÉDITIONS) | Paru le 04/04/2012 | 13,00 €

« Et l’on fît une revue – la revue CEE, qui allait devenir une usine de textes. Où l’on apprit à écrire – ou mécrire, ou désécrire. Le temps de l’anti-poésie.
A quoi sert d’abord une revue ? A produire des frictions à défaut de fiction, comme dirait l’autre. Désincarcérer la parole figée dans le baratin analytico- critique des années 70 – la frotter aux théories des 2 William – Blake & Burroughs… Attaquer le virus-mot, produire du texte pour armer la distance parcourue à un âge où le temps ne se décompte qu’à mesure qu’on le tue…
34 ans plus tard, demeure cette collection de textes alignés à toute vitesse pour se défigurer… » F.J. Ossang  est en dédicace le samedi 27 novembre 2021 de 14h à 15h au salon de L'AUTRE LIVRE sur le stand C28 en compagnie de Michèle Collery, autrice d'une monographie consacrée au cinéma de Ossang.

La Passagère D'Apocalypse

de Charles SIMOND

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 28/03/2012 | 12,00 €

Il arrive un temps où les amis nous quittent, emportés par la finalité d’une vie somme toute commune. C’est de ça qu’il s’agit ici, de cette interrogation sur le sens de la vie. De ce regard du poète sur l’évidence, la simplicité des jours qui s’égrènent, la vie semblable à cette pâte que le boulanger tient dans ses mains, l’odeur du pain chaud, le goût aussi… Et puis l’espoir, l’amour qui illumine des jours nouveaux, qui donne encore un sens à l’avenir

La souffrance des autres ne nous appartient pas. Elle est une lame qui ne nous transperce que la tête.                                     L’esprit.

Alors qu’elle leur fouille les chairs. J’enlève mon chapeau. J’ai vu quelqu’un le faire. C’est plus correct. Ils disent pour le mort.

La souffrance est comme l’arête dans le poisson. En trop. Pas pour le poisson. D’être de chair le poisson meurt assassiné. Je suis végétarien. Nos chairs ne se rencontrent pas.

Orties

de Vénus KHOURY-GHATA

Poésie (AL MANAR) | Paru le 22/12/2011 | 16,00 €

 

 
Le Liban. La guerre ; la mère morte...
 
Vénus Khoury-Ghata au sommet de son art.
Un lyrisme flamboyant.
 
 
 
Accompagnement plastique : Diane de Bournazel.
 

Je Vois

de Monique LUCCHINI

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 07/06/2010 | 12,00 €

Je ne pensais pas pouvoir écrire ce livre. Pourtant il était en moi comme une évidence. J’y ai souvent pensé… j’y ai pensé plus que tout. Ce livre c’est l’histoire de cette écriture-là, l’écriture de l’amour qui se fait, qui est en train de se faire… l’écriture des corps qui se frôlent, se touchent… se donnent. C’est l’histoire de ce désir omniprésent qui donne la certitude d’être en vie. C’est un voyage dans l’univers du plaisir, de la possession des corps. C’est l’interrogation sur la liberté d’aimer sans entrave aucune…  sans promesse de lendemain. C'est la mer omniprésente. La musique de la mer, sa force aussi.  C'est l'écriture de la mer comme celle de l'amour.

Equation

de Irina DOPONT

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 07/05/2010 | 14,00 €

Les calligrammes de ce recueil tracent l’équation de la vie toujours irrésolue.

À la déploration et la violence de la mort du père fait écho l’attente de l’Autre

l’A-venir

l’Ami

l’Amour

Itinéraire de l'écrit

de Monique LUCCHINI, Marie-Pierre FORRAT

Carnets Poésie / Photographies (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 07/07/2009 | 12,00 €

Photographies©Marie-Pierre Forrat

 

Ce livre je l’ai souhaité comme un voyage, le voyage de l’écrit à travers l’image. Des clichés immédiats sur lesquels les mots, les phrases naissent de l’émotion de l’instant. La photographie m’est apparue comme un cahier de musique, une portée où peu à peu les notes s’inscrivent pour aboutir à l’harmonie d’une composition musicale, à sa tonalité, ses différents mouvements. La musique de l’écrit, la musique de la vie. C’est sur les murs de la cité qu’apparaît l’écriture primitive comme un cri, un témoignage, une trace de ce qui est. La trace d’une existence qui ne sait pas, pas encore, quel chemin emprunter pour entamer son voyage intérieur. Sur le béton de la ville en perpétuelle démolition et reconstruction, sur les haubans d’un pont noyé dans  un brouillard impénétrable le voyage se dessine. Il nous éloigne peu à peu de ce paysage artificiel.L’empreinte des pas du voyageur se forme sur la mouvance du sable pour disparaître, emportée par le temps qui s’écoule. Le corps retrouve sa nudité le regard se tourne vers la mer,vers cet infini à atteindre. Le voyage intérieur est en marche, l’écriture apparaît comme une évidence, dénudée de tout artifice. S’impose alors la simple volonté de partir, vers un autre paysage, vers le possible, à la rencontre de soi-même, plonger dans une solitude consciente, s’imprégner du dénuement complet de ce paysage, de sa beauté, de sa rudesse. Se nourrir de ça pour que l’écrit devienne réalité, pour qu’à l’aube du jour à venir l’écriture continue dans d’autres lieux, ailleurs comme autant d’amour à donner, à partager, à vivre. 

Haïku Gags

de Per SØRENSEN

Poésie (TOUBAB KALO) | Paru le 27/11/2008 | 5,00 €

Le bébé/reçoit une lettre/Sans savoir lire

 

Thym/Lapins sautillants/Le retour d'Ulysse

 

J'écris sur la neige/mon numéro de téléphone/pour l'ami absent

La Mamort

de Christophe MANON, Michel VALPRÉMY

ATELIER DE L'AGNEAU EDITEUR (ATELIER DE L'AGNEAU ÉDITEUR) | Paru le 19/02/2004 | 12,00 €

L'île précaire

de David JAUZION-GRAVEROLLES

LE COUDRIER (LE COUDRIER) | 20,00 €

le temps n'est que cela

ce qui passe malgré

en dépit de en vain et jamais l'air de rien

et qu'on le considère le mesure

il n'en fait pas moins

qu'à sa tête de mule et se tasse

dans les coins il s'étend il s'allonge

il se saoule sur la scène de son propre théâtre

tu crois le compter en songe

le tenir un instant en sa vive demeure

mais il n'est que cela et simultanément

n'est pas 

comme l'eau versée au sol te renvoie ton image

avant d'être bue sauvagement

par le sable complice

Icare, mon amour

de Jeanne T.

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | 12,00 €

La poésie chante et dit l’amour depuis des millénaires. Mais, ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, chaque amour est unique et universel. Jeanne T. nous livre la légèreté et le tragique, l’humour et la panique, la part d’enfance, l’absence déchirante, le plaisir et l’émerveillement de l’amour dans un recueil plein de fraicheur, éminemment personnel, à travers cent haïkus et treize poèmes plus longs, répartis en neuf chapitres : Aimer ; Ensemble ; Peur ; Doute ; Tendresse ; Absence ; Désaccords ; Temps qui passe ; Désir.

Le recueil est illustré avec les compositions graphiques de Marion Béclu