Sabbioneta (Italie) 26 février 1591, le duc Vespasien de Gonzague se meurt. Avant de recevoir les derniers sacrements, il songe à ce que fut sa vie. Enfant solitaire, oublié par une mère indifférente, il se souvient d’avoir puisé dans sa tristesse la force de se bâtir un destin hors du commun. Il fut le prince bâtisseur d’une ville utopique dédiée à Diane de Cardona, la femme aimée puis sacrifiée sur l’autel de la jalousie. Épris de l’Antiquité, il fut collectionneur et mécène. Esprit brillant mais tourmenté, oscillant entre l’ivresse de la puissance et la rage de la destruction, la postérité n’a souvent retenu de Vespasien que sa cruauté. Il mérite mieux. Sa vie fut une épopée tragique qu’il traversa jusqu’à la mort en refusant d’abdiquer devant sa quête d’absolu. Entrelaçant éléments historiques et épisodes romanesques, l’auteur fait de ce prince demeuré mystérieux, l’une des grandes figures de la mélancolie.

J’ai demandé à mon père de me trouver une planque pour mon service militaire.

Ce bon plan s’avère très vite un enterrement de première classe. Alors que plus rien ne va pour moi, un dialogue insolite s’établit avec Sid Ali, mon aide de camp. Nos échanges, bien souvent confrontants, sont loin de me laisser indifférent. Emprunts de sagesse, liant humour et pratique, ils me conduisent vers d’autres visions des choses de la vie au quotidien.

Un parcours professionnel atypique le mène de l’hôtellerie internationale à la création de sa propre marque de cosmétique. Stéphane Cador se qualifie d’ « Aventurier Explorateur». La vie est sa source d’inspiration. Les idées foisonnent. Son plus grand plaisir est de transformer ses rêves en réalité. Rien ne l’arrête, surtout quand on lui dit   que c’est  impossible.

Arto, un jeune écuyer, escorte Giane une princesse, vers le royaume d’Arcalis. Lors d’un guet-apens, la jeune fille sauve Arto en l’entrainant dans les territoires maudits des lutins et des goboldes. Parmi ces peuples vivent les trois derniers mages : Karane le sage, Millefeuilles l’étourdi et Mina la sorcière. Apprenant par les végétaux qu’Ordal l’empereur du royaume d’Elenbaal veut conquérir le monde, tout ce petit monde se mobilise pour contrer cet infâme personnage. Tandis que Giane reste sous la protection des deux mages un peu farfelus et cabotins et de Mina qui ne cesse de gronder les ARTO ET LES 3 ROYAUMES

deux grands gamins, Arto et Boldus un lutin ronchon monté sur un bouc puant du doux nom de Bouquet vont tenter de prévenir le roi d’Arcalis et qui sait peut-être sauver le monde de l’esclavage.

Olivier Lagneau a 63 ans et vit dans le Brabant Wallon en Belgique. Il est éducateur de profession. Il travaille dans le milieu scolaire depuis 1984 et s’occupe de jeunes depuis l’âge de ses 15 ans dans divers mouvements de jeunes. Papa de trois enfants d’origines lointaines, il est depuis peu l’heureux grand-père d’une adorable petite fille.

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Histoire d'une vie en morceaux, brisée par un choc précoce.

Six chapitres comme six fragments de la vie de Becky-Jane qui se débat, questionne et lutte pour s’extraire de la fabrique familiale de la mélancolie.

Les failles du monde et de la société contemporaine s’entrelacent avec le cheminement de cette femme qui consent finalement à son histoire car personne ne résiste à la possibilité enfin offerte de découvrir l'homme qui se cache derrière le père absent.

Avec Et les Beatles chantaient, Sarah Bell nous emmène des deux côtés de la Manche avec en bande son les musiques qui accompagnent une femme résolue à refuser le poids des mauvais départs.

Cet été-là, la Provence étouffe et s’embrase.

Au fond d’une malle oubliée dans un grenier, un manuscrit enflamme les passions : Stefan Zweig?! Incroyable ! Un authentique? ! Inédit !

Le vendre ? Le restituer? ? Oui, mais à qui??

Une quête fiévreuse commence pour Daniel, l’éternel étudiant à la recherche de ses racines, et pour Martine, dont l’existence s’enfonce dans l’ennui, c’est une occasion de renouer les fils de sa vie.

Un  voyage parmi  les mots  de Stefán  Zweig, ô combien actuels !

Quand le Président confie à Ray une mission délicate, celui-ci ne s’imagine pas jusqu’où ses investigations vont le conduire.                        

Les instances internationales ont interdit au Wandabé d’exécuter son hymne national tant qu’il n’en détiendra pas les droits.

 Par tous les moyens il faut obtenir d’un oiseleur australien l’autorisation de jouer cette musique !

Mais, tout le monde ne l’entend pas de cette oreille : le chef de la police, le quai d’Orsay, les défenseurs de la nature… Ray part avec une mission, mais une fois sur place, il change d’avis et revient avec une autre 

Voici l’histoire d’une famille landaise, à laquelle j’ai la fierté d’appartenir, qui retrace depuis 1566, le chemin parcouru par mes ancêtres dont le dernier maillon est mon arrière-grand-père maternel, Joseph dit Justin Ferrier. En cette deuxième moitié du XVIème siècle, ils apparaissent à Saint-Sever, leur existence coule le long de l’Adour. Les familles avec qui ils s’unissent, les Coussau et les Despouys notamment, sont dans le Marensin. Eux sont des pionniers de l’exploitation forestière. Pins et Landais vivent sur cette terre depuis des millénaires. A cette époque, les Landes de Gascogne sont sous la domination des
Albret. Les guerres de religion font rage, la violence ajoute sa part sombre à la misère, aux épidémies, à la folie des hommes. Pourtant la vie continue, au rythme du cœur des braves gens. Les uns mènent leurs gabarres sur le fleuve landais, les autres soignent leurs pins au pays des sables. Les familles s’unissent, se déchirent, en croisent d’autres, qui les aiment ou les détestent et qui, presque toujours, leur ressemblent.

L’histoire commence à la fin de l’épidémie de Covid-19. Juliette Maroy, archéologue spécialisée dans les anciennes civilisations arctiques, apprend la bonne nouvelle : dans sa région, le confinement est levé.
Enfin, la liberté et le bonheur retrouvés !
Vraiment ?

Pendant le confinement lié à la pandémie de Covid-19, dix auteurs des éditions Zinédi ont écrit chacun librement un épisode de cette histoire avec pour seule contrainte de ne pas faire disparaître le personnage principal. Ce jeu littéraire est devenu un livre, dont les droits sont reversés au Secours Populaire.

En juillet 2013, parmi les ruines industrielles de Charleroi, s’égare un homme. Face à un mur de béton,
une inscription poétique l’éprend : « j’écris le temps d’écrire j’écris » S’ensuit une investigation frénétique pour retrouver son auteur. Serait-ce Albert, évoqué par le tenancier d’un sombre tripot ?

Entre street art, linguistique et enquête obsessionnelle, ce court récit très dense emporte dans un univers tout aussi sombre que lumineux, au milieu des terrils belges et de la beauté de la littérature et du geste d’écriture.

Un légionnaire allemand mort sous une fausse identité, la belle affaire. Sauf qu’en pleine guerre d’Algérie la Légion n’a pas besoin de mauvaise publicité et décide de faire vérifier par Jacques, un civil pour la discrétion, si elle n’hébergeait pas à son insu un criminel de guerre trop voyant. Un seul indice, l’identité qu’il a, peut-être, empruntée : Rodolphe Schmitt, un alsacien engagé de force dans la Wehrmacht, qui a déserté le Mur de l’Atlantique la veille du jour du Débarquement.

En repartant des plages de Normandie, Jacques suit les étapes de sa fuite jusqu’au presbytère d’un petit village au fin fond du Perche où la Bataille de Normandie l’arrête. Rodolphe, surnommé le Goupillon, n’a pas un passé d’enfant de cœur et son intrusion dans le huis clos de la cure va provoquer le chaos. Mais, la veille de la percée d’Avranches qui déclenche la débandade de l’armée allemande, l’arrivée
au bourg d’une unité de Feldgendarmes à la recherche de déserteurs va précipiter le drame.