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l'autre LIVRE

COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)

Le projet de La Coopérative est de publier des œuvres témoignant d’un désir d’améliorer notre monde à travers une analyse lucide et novatrice de l’expérience individuelle de l’homme sur la terre. Des textes appartenant à des genres littéraires différents peuvent illustrer cet effort pour construire une réalité habitable, dont la vie de la ruche constitue un symbole immémorial.

Les textes proposés s’inscriront dans une continuité. Continuité des auteurs, d’abord. Nous entendons donner leur chance à quelques œuvres auxquelles nous croyons, ce qui suppose un suivi sur plusieurs années. La poésie étant un élément essentiel de toute littérature, nous comptons lui accorder une place importante. La prose n’entre pas moins dans notre projet, sous la forme de romans et aussi de correspondances, de recueils d’aphorismes, d’essais et de textes autobiographiques.

Il nous semble urgent de rappeler que la littérature a pour vocation de jouer un rôle actif dans le destin terrestre. Le talent des écrivains leur confère une place à part, mais l’expérience qu’ils affrontent et élaborent est celle de tout être humain. En découvrant une œuvre littéraire, le lecteur modifie sa propre perception du monde. Le catalogue de La Coopérative vise à contribuer à cet enrichissement personnel en créant comme un microcosme, un ensemble d’ouvrages accessibles, liés par des liens secrets que nous voulons rendre manifestes.

Notre propos est ainsi de constituer peu à peu une bibliothèque idéale témoignant d'un état d'esprit nouveau nourri de notre expérience et de notre foi dans l'avenir. 

Adresse : 214, rue Saint-Maur
75010 PARIS
Téléphone :0142006092
Site web :http://www.editionsdelacooperative.com
Courriel :nous contacter
Diffusion :BLDD
Distribution :BLDD
Représentant légal :Jean-Yves Masson
Forme juridique :SARL
Racine ISBN :979-10-95066
Nombre de titres au catalogue :32
Tirage moyen :700
Spécialités :Roman, poésie, aphorismes, contes, traditions populaires, essais

PLAGES NON LOIN DE NANTES

de GERMONT

Éditions de la Coopérative (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 14/03/2017 | 19,50 €

« Je n’ai rencontré qu’une fois Jean Dervage, et je ne lui ai jamais parlé », écrit le narrateur à propos d’un jeune homme dont la beauté le fascine. Mais qui est Jean Dervage ? Tout ce roman est consacré à chercher la réponse à cette question. Celle-ci semble essentielle au narrateur, confronté à l’échec de sa propre vie sentimentale et pourtant rempli d’espoir, au nom d’un « idéalisme » qu’il s’applique à redéfinir.
La jeunesse et la beauté, les deux qualités qui expliquent la séduction qu’il exerce sur ceux qui le rencontrent, ne suffisent pas à définir Jean Dervage. Il en jouit, mais il en est aussi victime, dans sa quête d’un bonheur plus durable qu’elles. A travers deux histoires d’amour, l’une malheureuse, l’autre heureuse, on le voit dépasser peu à peu une conception décevante de la vie et de la réussite.
Dans ce deuxième roman, Germont semble faire le bilan de sa jeunesse à travers l’évocation d’un personnage entrevu au cours de ses propres années d’errances. Le livre apparaît ainsi comme un document sur la vie nocturne de la fin des années 1980. La vie reconstituée du héros, de son enfance à sa première jeunesse, dessine le portrait d’une génération.
La présentation sous l’aspect d’une société secrète du monde marginal des noctambules, et même de la jeunesse de cette époque en général, renouvelle la thématique du roman d’initiation. Nul ne se serait attendu à retrouver les tourments et les subtilités de la Princesse de Clèves dans les boîtes de nuit parisiennes.

L'ART DU THÉÂTRE

de Sarah BERNHARDT

Éditions de la Coopérative (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 24/01/2017 | 20,00 €

Et peu à peu je m’identifiais à mon personnage. Je l’habillais avec soin ; je reléguais ma Sarah Bernhardt dans un coin. Je la faisais spectatrice de mon nouveau « moi » ; et j’entrais en scène prête à souffrir, à pleurer, à rire, à aimer, ignorant ce que le « moi » de moi faisait là-haut dans ma loge.

Si les mémoires de Sarah Bernhardt (1844-1923) ont été souvent réédités, on ignore en général qu’à la fin de sa vie la grande comédienne avait entrepris d’écrire un ouvrage où elle transmettrait son expérience aux générations futures d’acteurs et d’amateurs de théâtre. Elle en dicta jusqu’à sa mort les chapitres, qui furent ensuite ordonnés et publiés par Marcel Berger, un des familiers de ses dernières années.
Le lecteur trouvera dans ces pages une mine inépuisable de conseils et d’observations sur le métier de comédien, depuis les impératifs de la voix jusqu’aux détails pratiques du maquillage. Sarah Bernhardt compléta et illustra ce véritable guide de l’art dramatique par une profusion d’anecdotes, où l’on retrouve la drôlerie et la vivacité qui rendirent célèbre sa conversation.
Les illustrations rares, issues d'une collection privée, qui accompagnent la présente édition, restituent à la fois la beauté incomparable de la comédienne et le monde où elle vécut, à travers une galerie de portraits des autres étoiles du théâtre de son époque qu’elle évoque tout au long de ce livre.

L'édition originale de cet ouvrage posthume comportait de nombreuses coquilles. Le texte a fait l'objet pour cette réédition d'un contrôle minutieux. Cette édition s'accompagne d'un répertoire des personnalités et d'un répertoire des oeuvres théâtrales citées qui en font un outil de travail précieux pour les historiens du théâtre et les étudiants en études théâtrales.

STANCES

de GERMONT

Poésie (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 08/11/2016 | 1,10 €

L’âge où les hommes se levaient avec le soleil

Est loin de nous, hélas, nous nous adonnons à d’autres instants.

Mais il faut nous pardonner : l’histoire ayant fini son règne

Nous seuls désormais portons l’immense fardeau du temps.

 

Nous devons nous aimer comme la ville où nous vivons

Car seuls nos regards croisés nous sauvent de l’absence.

Nous sommes le monde et son miroir, et sans cesse nous avançons

Vers le reflet qui seul nous comble – l’avenir est notre présent.

 

Dix poèmes de cent vers assonancés composent les Stances, livre d’amour et de deuil qui n’a, dans la poésie contemporaine, aucun équivalent, ni dans sa forme ni dans ses thèmes. Le jeune poète qui les a écrits en a fait un mémorial de la fin du vingtième siècle et un itinéraire où la souffrance et le désespoir sont victorieusement combattus par le pouvoir lumineux de la poésie. « Il y a de la beauté dans le paysage menacé / De notre amour, de notre pays en proie à l’adversité », écrit l’auteur qui arpente les rues de Paris avec au cœur « la nostalgie de demain ». Celui qui se veut « un regard sur le monde, une savante lumière » est un veilleur dont la fonction est aussi essentielle que cachée.

La poésie de Germont intrigue et retient l’attention par le ton très personnel d’une parole qui n’est nullement obscure et semble même souvent limpide, et qui pourtant, à une lecture attentive, s’avère d’une complexité et d’un raffinement très savants. 

BALLADES

de GERMONT

Poésie (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 08/11/2016 | 8,50 €

Le soir s’endort sur mon poème incertain

Mais dehors s’allument les lumières désirables.

La ville sourit aux contempteurs des matins

,Le tumulte berce les ombres qui s’embrassent.

Parmi les heures vivantes les foules passent,

Je crois entendre les respirations qui se confondent dans la nui

tComme le silence s’endort au murmure des vagues,

Paris est une ville pour vivre et mourir.

Les dix-sept Ballades baignent dans une « lumière amoureuse » et sont le mémorial d’une révélation qui embrasse toute la création : « Je suis tombé amoureux du monde entier / le jour où j’ai rencontré ton regard souriant », écrit le poète. La forme de la ballade, souvent illustrée au Moyen Âge et à la Renaissance, notamment par Villon, retrouve ici une nouvelle et surprenante jeunesse, à laquelle contribue l’usage des vers assonancés. L’amour apparaît dans ce livre comme la prémonition d’« un monde plus ouvert et moins désespéré ». Témoignage d’une expérience vécue autour de l’année 1985, les Ballades se révèlent étrangement intemporelles par leur forme comme par leur contenu.

LA FÉE AUX LARMES

de Jean-Yves MASSON

Éditions de la Coopérative (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 17/10/2016 | 14,00 €

La nuit était de plus en plus épaisse. De lourds oiseaux nocturnes passaient avec un froissement d’ailes dans le noir ; la lune avait commencé à baisser et sa clarté s’était voilée derrière des nuages. Aurore ne voyait plus bien où elle mettait les pieds. Elle trébucha à plusieurs reprises, poussant un cri chaque fois qu’une branche venait à lui griffer le visage. La nuit semblait interminable, le matin encore bien lointain. Aurore avait maintenant très soif et s’aperçut qu’elle n’avait même pas songé à emporter de quoi boire ; la gorge sèche, elle eut l’impression qu’elle allait mourir là, sans avoir découvert le secret des larmes.
— Hélas ! ma mère, mon père bien-aimés, s’écria Aurore, que n’êtes-vous auprès de moi pour me guider ? Où êtes-vous à présent ? Voyez-vous votre fille qui cherche sans la trouver la fée présidant à toute naissance ? Ne pouvez-vous me faire un signe pour me mettre sur le chemin ? Que ne donnerais-je pour pouvoir verser une larme ! Et comme j’ai soif !

Jean-Yves Masson, né en 1962, a publié des poèmes (Onzains de la nuit et du désir, Neuvains du sommeil et de la sagesse, Cheyne Éditeur ; Poèmes du festin céleste, L’Escampette), des romans (L’Isolement, L’Incendie du théâtre de Weimar, Verdier) et des nouvelles (Ultimes vérités sur la mort du nageur, Verdier, Goncourt de la Nouvelle 2007). Il s’est inspiré d’une légende alsacienne pour écrire ce conte qui s’adresse non seulement aux enfants, mais à l’enfant que tout adulte porte en lui.

Cette édition est illustrée de gravures et de lettrines rares du XIXe siècle qui cherchent moins à illustrer le récit qu'à prolonger la rêverie.

LE LIVRE DES AMIS

de Hugo VON HOFMANNSTHAL

Éditions de la Coopérative (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 17/10/2016 | 18,00 €

En 1922, Hofmannsthal publie de manière presque confidentielle Le Livre des Amis, un recueil d’aphorismes qui connaîtra rapidement une diffusion beaucoup plus large que son auteur lui-même ne l’imaginait, et peut-être ne le souhaitait. Dans ces pages, le poète autrichien mêle ses propres pensées, tirées de ses carnets intimes, à celles qu’il a rencontrées chez les auteurs qu’il aime le plus. Les "amis" que désigne le titre sont donc aussi bien ses propres lecteurs que les écrivains de tous les temps, qui forment autour de lui une sorte de « collège invisible ».

Le Livre des Amis est un livre magique, dont la profondeur ne se dévoile qu’avec le temps: ceux qui l’ont lu ne cessent d’y revenir. Il est peut-être aussi la meilleure initiation à l’œuvre de Hofmannsthal, grand esprit doublement attaché à sa patrie autrichienne et à la défense de la culture européenne au lendemain de la Première Guerre mondiale. 

Hugo von Hofmannsthal (1874-1929) devint célèbre dans les milieux littéraires viennois à dix-sept ans pour ses premiers poèmes et fut très tôt reconnu dans tous les pays de langue allemande comme l’un des plus grands poètes de son temps. Il cessa assez tôt d’écrire de la poésie pour se consacrer au théâtre, devenant notamment le librettiste des opéras de Richard Strauss, avec qui il fonda le Festival de Salzbourg. Il est également l’auteur de contes (La Femme sans ombre), de nouvelles, d’un roman (Andreas), et de très nombreux essais ou textes en prose inclassables dont le plus connu reste la Lettre de Lord Chandos.

Cette édition s'accompagne de notes indiquant les sources des citations ainsi que d'un index des auteurs cités.

UNE PETITE FENÊTRE D'OR

de Mireille GANSEL

Éditions de la Coopérative (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 21/09/2016 | 19,00 €

C’est un livre qui ne ressemble à aucun autre, gorgé d’images, de paroles glanées au fil des lectures, jalonné de rencontres. Un livre d’errance ou de transhumance, un livre d’émerveillement aussi, dont les quatre parties se composent de chapitres longs ou brefs, écrits dans une langue vibrante et passionnée, où viennent s’insérer tout naturellement quelques poèmes.
De Hanoï à Budapest, de Berlin à Jérusalem, de la guerre du Vietnam à la France d’aujourd’hui, Mireille Gansel a fait de chacun des textes de ce livre le mémorial d’un moment inoubliable, la trace d’une rencontre. On y croisera Yehudi Menuhin, Imre Kertész, Claude Vigée, Aharon Appelfeld, Blaga Dimitrova ou Reiner Kunze (dont elle est la traductrice), ses amis vietnamiens poètes, peintres ou philosophes, mais aussi un vieux berger, un facteur… et beaucoup d’enfants.
Ce ne sont pas des portraits qui les transformeraient en personnages, mais une série d’instantanés qui cernent au plus près le mystère de leur présence : magie du surgissement d’un visage, force d’un geste ou d’une parole qui sont bien souvent des actes de résistance. Du reste, pour Mirelle Gansel, du Baal Chem Tov à Kafka, de Rachi à Nelly Sachs, les grands esprits du passé sont eux aussi pleinement vivants. C’est pourquoi son livre est une admirable leçon de vie.

Traductrice de poètes vietnamiens et allemands (elle a notamment traduit tout l’œuvre poétique de Nelly Sachs ainsi que la correspondance entre Nelly Sachs et Paul Celan), Mireille Gansel a publié récemment aux éditions Calligrammes Larmes de neige (poèmes, 2006), Chronique de la rue Saint-Paul (2010) et Traduire comme transhumer (2012). Elle a longtemps collaboré à La Quinzaine littéraire.

MAM'ZELLE GNAFRON

de ALBERT CHANAY, HIPPOLYTE POLINARD, TONI TARDY, PÉLISSIER, PIERRE ROUSSET, MANCARDI, THOMAS BAZU, CATHERIN BUGNIARD, JOSEPH DES VERRIÈRES, GEORGES MAZUYER, P. FOURNIER, BISTANCLAQUE

Éditions de la Coopérative (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 19/04/2016 | 21,00 €

Gnafron. – T’as donc pas vu dans les journaux de Paris qu’y paraît que le lyonnais c’est pas du français ?
Guignol. – Et t’as cru ça, grande bête ! Y sont jaloux pasque c’est nous que le parlons le mieux, le français, le plus vieux. Te sais donc pas que nous étions capitale avant eusses ; que nous faisions de vin quand y buvaient pas seulement du râpé ; qu’y avait déjà chez nous une Compagnie des Eaux avec ses tuyaux sur des arqueducs grands comme de cathédrales, que leur Paris était encore qu’un village en bois au bord d’un gaillot si peu conséquent qu’on le traverserait en quatre brassées. Ils ont la langue de tout le monde, ces faiseurs de fufus ; nous, nous parlons comme nos anciens, et le gone qu’en aurait honte, ça serait qu’un mauvais gone, un mauvais Français, un Barrabas, un Judas. T’entends ? Faut pas plus renier son parler que son vin.

Créé au tout début du XIXe siècle par le marionnettiste Laurent Mourguet (1769-1844), Guignol fut pendant plus d’un siècle le porte-parole du petit peuple de Lyon, et surtout des « canuts », les  ouvriers de la soierie. Au plus fort de leur popularité, jusque dans les années 1950-60, Guignol et son inséparable ami Gnafron furent au cœur d’une intense production théâtrale, due à de très nombreux auteurs.
En 1925, la société des Amis de Guignol édita à Lyon, à tirage très limité, un choix des meilleures pièces écrites au cours des soixante années précédentes, pour compléter le premier répertoire « classique » rassemblé par Jean-Baptiste Onofrio en 1865. C’est ce recueil rarissime, plein d’inventions savoureuses, que nous rééditons aujourd’hui.

LA PART DE FRAGILITÉ

de GERMONT

Éditions de la Coopérative (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 22/02/2016 | 18,00 €

« Par moments je le regardais, silencieux et figé, et j’aurais cru pour un peu qu’il ne faisait pas partie de la compagnie tapageuse qui l’entourait, qu’il était une simple image, une projection, qui sait, de quelque messager d’une galaxie lointaine apparaissant en trois dimensions. »

La vie de Marc, un homme d’affaires rationnel et conventionnel, semble placée sous le signe du succès, ce qui n’empêche pas une profonde insatisfaction intérieure. Sa rencontre avec Damien le met soudain face au bonheur, mais aussi à sa fragilité. Confronté à l’injustice du destin, saura-t-il défendre son amour ? Il faudra l’intervention d’une femme pour lui ouvrir la possibilité d’une vie meilleure.

Ce roman, où l’émotion et la beauté affleurent à chaque page, peut être lu aussi comme une fable sur les carences et le défaut d’harmonie du monde contemporain, et sur la manière dont il est possible à chacun d’y porter remède en changeant sa vision de la réalité. Explorer l’entrespace, cette dimension essentielle de l’existence humaine, telle est l’aventure qui s’offre ici au lecteur


Germont est né en 1961. Les éditions de la Coopérative ont entrepris la publication de son œuvre en 2015 avec ses Sonnets.

SONNETS

de GERMONT

Poésie (COOPÉRATIVE (ÉD. DE LA)) | Paru le 14/10/2015 | 9,00 €

Tu me souris comme le jour se lève
Et tes paroles mystérieuses m’emplissent de joie.
A ces heures ensoleillées je dédie ton souvenir,
J’ai participé à ce moment de ta vie mémorable.


Ce livre a été écrit à l’aube des années 1980, par un jeune homme de vingt et un et vingt-deux ans. Les Sonnets de Germont inaugurent la publication aux éditions de la Coopérative d’une œuvre qui a pris au fil du temps une ampleur considérable, touchant à des genres très divers – poésie, roman, théâtre.

Ce recueil de sonnets en vers libres assonancés constitue un itinéraire en trois étapes : initiation de la jeunesse à la beauté, à l’amour et à la mort. Le poète qui découvre le monde dans sa nouveauté et part à la recherche de son double amoureux est aussi une âme ancienne, où revivent des figures immémoriales dans l’attente et la certitude de la résurrection.

Germont est né en 1961.

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