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l'autre LIVRE

Parutions récentes et à venir

Hors les murs, Accueil des familles de détenus

de Michèle VEILLON-COLIN

Points et contrepoints (EDITIONS DU PETIT PAVÉ) | 14,00 €

Un docu fiction retraçant à travers l'histoire de deux femmes le quotidien des familles de détenus, et des accompagnants de ces familles.

« A Angers, ma ville natale, la prison portait le nom étrangement bucolique de Pré-Pigeon, nom qu’elle porte encore de nos jours, je crois... Du premier étage de la maison de mes grands-parents, on apercevait quelques fenêtres de la prison, garnies de barreaux. Je restais longtemps à la fenêtre pour tenter d’apercevoir le visage des prisonniers et leurs mains cramponnées aux barreaux. »

Vingt ou trente ans auparavant, devant les maisons d’arrêt et centres de détention, de longues files d’attente se formaient : les familles et amis attendaient l’heure de leur parloir. Au fil des années, des associations se sont créées pour acquérir un local à proximité de la prison, où des bénévoles accueillent, aident, informent les familles souvent en grande détresse après l’incarcération d’un proche.

Ce récit est le témoignage d’une de ces bénévoles, accueillant des familles de détenus. Deux femmes sont au coeur de ce « docu-fiction », Maria et Christelle sont dans ce récit des personnages de fiction qui incarnent les difficultés, les souffrances, les illusions, le courage de ces femmes du parloir très nombreuses à « l’accueil des familles ».

Mais si les deux héroïnes de ce « docu-fiction » sont imaginaires, les autres personnages et incidents évoqués sont, eux, parfaitement authentiques.

Chair fraîche sur le pavé de Paname

de Maurice DRACK

Arkhaia (EDITIONS DU PETIT PAVÉ) | 22,00 €

Un roman policier écrit au début du XXe siècle par Maurice Drack (1834-1897), auteur méconnu, pourtant précurseur de Maurice Leblanc ou de Gaston Leroux, et qui nous offre ici un roman d’aventure imaginatif et généreux qui ravira tous les amateurs du genre. Une belle comtesse aveugle menacée par une marâtre sans scrupules, de mystérieux enlèvements, de « jeunes égarées » aussi sensuelles que dangereuses, une association de malfaiteurs, une confrérie de bienfaiteurs, des tziganes, des cartomanciennes, des comptables véreux ; mais aussi de l’amour, du poison, de l’érotisme, des bagarres au couteau, des prélats lubriques, des courtisanes au grand cœur, des masques, une visite gratuite des rues de Paris... Et ce n’est là qu’un bref et très incomplet aperçu de ce qui attend le lecteur qui aura la très bonne idée de se plonger dans ce livre !

Quelques jours en Palestine

de Pascal PRATZ

Quelques (EDITIONS DU PETIT PAVÉ) | 15,00 €

Si les voyages forment la jeunesse, un voyage en Palestine forme énormément. Pascal Pratz nous raconte son voyage en Palestine en Novembre 2006 et 2007. Un voyage plein de rencontre, de quotidien, d'engagement...

« Voyager forme. Particulièrement la jeunesse, paraît-il. Voyager en Palestine forme énormément.
Se retrouver tout à coup au beau milieu de l’occupation, des violences, des militaires, de ceux que l’on nomme ?terroristes?, du quotidien plus que difficile de ce peuple opprimé, cela forme, certainement, cela bouleverse, cela vous change. Même si l’on est un très ancien militant de la cause des Palestiniens. »
Pascal Pratz

« Je repense à l’élégance absolue de H., au c?ur gros comme ça de Y., à la rigueur de B., à tous ces enfants adorables, à tous les sourires, tous ces bras ouverts. A l’indignité politique et morale qui m’animait avant mon départ, j’ai ajouté une dimension émotionnelle. Je militerai maintenant non plus seulement pour faire respecter le droit mais aussi pour sauver des gens que j’aime. »

Une avant-garde d'extrême droite

de Stéphane FRANÇOIS

LA LANTERNE (LA LANTERNE) | 17,00 €

Les études sur l’extrême droite portent le plus souvent sur ses idées ou ses discours. Elle est rarement abordée sous l’angle de ses productions culturelles. Pourtant, comme toute idéologie politique, elle a créé sa contre-culture, mais avec un aspect identitaire, raciste ou fascisant qui lui est propre. Cette contre-culture traduit la vision du monde de théoriciens et de militants se considérant comme une avant-garde en lutte contre le déclin de la civilisation occidentale. Elle accorde une place importante à l’ésotérisme, réinvente les religions païennes, idéalise certaines périodes de l’histoire ou s’essaie aux musiques « blanches » de black metal.
Ce livre propose une série d’études qui explorent les méandres de cette vision du monde. Il invite à mieux comprendre des idées qui sortent régulièrement des cercles idéologiques où elles sont formulées pour investir plus largement la société.

Le Patron

de Maxime GORKI

Eclairages (LA LANTERNE) | 16,00 €

« Après chaque conversation, je sentais avec une amertume et une netteté croissantes combien mes rêveries et mes pensées étaient incohérentes et fragiles. Le patron les déchirait en lambeaux, il me montrait les vides obscurs qui existaient entre elles et me remplissait l’âme d’une inquiétude douloureuse. Je savais, je sentais qu’il avait tort de nier tranquillement toutes les choses auxquelles je croyais déjà. (...) Il n’était pas question de réfuter les arguments de cet homme, il s’agissait de défendre ma cité intérieure, où s’infiltrait, comme un poison, la conscience de mon impuissance en face de son cynisme. »
Vers 1885, le jeune Maxime Gorki (1868-1936) est ouvrier dans une grande boulangerie de Kazan. Les conditions de travail sont éprouvantes et le patron, Vassili Séménof, est à l’antithèse des valeurs du jeune militant lettré. Se noue entre eux une relation entre aversion et fascination, qui ébranle profondément celui qui deviendra le maître d’œuvre de la littérature soviétique.
Édition illustrée
Cette nouvelle édition est accompagnée d’un cahier d’illustrations noir et blanc de 20 pages sur les travailleurs russes à la fin du XIXe siècle.

Poèmes du chagrin

de Philippe LEUCKX

LE COUDRIER (LE COUDRIER) | 18,00 €

On ne saurait sonder la tristesse de la perte, la désertification que produit un deuil.

Ce recueil semble s’inscrire par le ton à la suite du précédent, également paru aux éditions Le Coudrier, « Le mendiant sans tain ». C’est avec le même talent que Philippe Leuckx traitait l’esseulement de l’errant frappé d’invisibilité et qu’il aborde à présent son propre sentiment de disparition dans l’arrachement à l’autre.

Le vide laissé magnifie la présence perdue et la lumière même semble opposer un mur infranchissable, comme noir le Lac de Lamartine.

(Extrait de la préface de Jean-Michel Aubevert)

Pourquoi les choses ont-elles un nom ?

de Jean Paul MONGIN, Junko SHIBUYA

Les tout petits Platons (LES PETITS PLATONS) | 14,00 €

Pourquoi un cheval s’appelle-t-il un cheval? et pas une girafe ? ou une carabistouille ?

Avec Platon, découvre la philosophie !

(L)ivresse

de COLLECTIF

ALTERLIBRIS (ALTERLIBRIS) | 4,00 €

Bière ambrée au malt 100% bio généreusement houblonnée style IPA
Houblons: BAVARIA MANDARINA, CASCADE, CITRA, COLOMBUS
Malt: PILS, PALE ALE, MUNICH, BLE
Malt 100%
1 Houblonnage à Cru de Citra et de Bavaria Mandarina

À la lisière du réel

de Nicolas GRIMALDI

Dialogues des petits Platons (LES PETITS PLATONS) | 18,00 €

Dialogue avec Anne-Claire Désesquelles

Le sens commun tient généralement pour réel ce qui est immédiatement donné. Aussi pense-t-il qu’il n’y a de réel que le présent. Nicolas Grimaldi, ancien Professeur d’histoire de la philosophie moderne puis de métaphysique à la Sorbonne, remarque cependant, à la suite de Pascal, que « nous ne nous tenons jamais au temps présent ». Sans cesse nous guettons l’imminence du possible. Telle est la dissidence qui tient constamment la conscience à distance du réel. Or qu’est-ce qui désunit la conscience du présent pour la lier à l’avenir, si ce n’est l’attente ? L’attente est à la conscience ce que la tendance est à la vie : son principe. Non seulement l’écart est leur être même, mais cet écart n’est autre que le temps. Qu’attendre, toutefois, sans imaginer ce qu’on attend ? En nous faisant mimer ce dont l’irréel nous envoûte, le propre du jeu est de nous faire vivre à l’interface du monde et de sa fiction, à la lisière du réel.

Anne-Claire Désesquelles, agrégée de philosophie, médaille d’or d’analyse musicale au Conservatoire de Lyon, est l’auteur d’une thèse sur L’Expression musicale dirigée par Nicolas Grimaldi. Professeur en khâgne, elle consacre ses recherches à la philosophie de Bergson, ainsi qu’au concept de rythme.

La joie nous portera

de Prescilla DURAND

Dépendances (ETT/ÉDITIONS TERRITOIRES TÉMOINS) | 16,00 €

Les Vosges de maman, les Vosges de mamie, Mes Vosges : trois générations d’adolescentes racontent
tour à tour la vie dans les années 50, 80 et 2000. L’école, les parents, le poids de l’autorité, les études,
les flirts, les copines, les garçons, l’alcool, les joints, les conscrits, le bal, la fête, les scoot’s, les histoires
de famille, les soirées en boîte, les beuveries, les embrouilles, les bagarres, les logements, la ferme puis
la ville, avec toujours l’énergie et l’enthousiasme quand même.
La joie nous portera ou avoir 20 ans dans les Vosges : une écriture vive pour une chronique cash de la
vie adolescente.

 

Phases

de Gilbert BOURSON

Chant (TINBAD) | 13,00 €

Ce texte fulgurant, viol de tous les instants connus, vus, passés, à venir est construit dans le lit du Scamandre, dieu-fleuve, métaphore, ce peut-il, de la couche d´Hélène de Troie qu´Achille aurait saillie ? « J´ai toujours été frappé par la charge érotique de l´Iliade. La bataille des mots entraîne souvent celle des images de nos joutes amoureuses. Le couple traverse cette guerre des sexes dont on nous parle souvent et que l´écriture met à jour. Elle ouvre le champ où les corps se rencontrent nus dans la scansion, dans le rythme du désir, s´infligeant la blessure de l´attente que vienne à son terme la petite mort. Mêlant les trois temps de la mythologie grecque (Aiôn, Chronos et Kairos), la joute érotique s´arme chair à chair, se fonçant dans la baie l´une l´autre, l´arme étant en même temps l´arme et le bouclier, le Kairos touffu et le sexe d´Aphrodite » (Gilbert Bourson).

Henri IV - Le temps de l'accomplissement

de Heinrich MANN

Voix d'ailleurs (PÉTRA) | 35,00 €

« J’ai fait un saut périlleux qui valait bien des coups de poignard. Mon sort se décida au même instant que j’abjurai la Religion. Cependant, ce fut ma façon de servir la France. Par-là, souvent nos reniements équivalent à des actes, et nos faiblesses peuvent nous tenir lieu de fermeté. La France m’est bien obligée, car j’ai bien travaillé pour elle. J’ai eu mes heures de grandeur. Mais qu’est-ce qu’être grand ? Avoir la modestie de servir ses semblables tout en les dépassant. J’ai été prince du sang et peuple. Ventre-saint-gris ! il faut être l’un et l’autre, sous peine de rester un médiocre amasseur d’inutiles deniers. »

La Possibilité d'un monde

de Jean-Luc NANCY

Dialogues des petits Platons (LES PETITS PLATONS) | 16,00 €

Dialogue avec Pierre-Philippe Jandin

Alors que les ressources de l’humanisme pour penser le sens, c’est-à-dire les grandes conceptions eschatologiques de l’histoire qui nourrissaient l’espérance pour l’homme de s’approprier son essence, semblent épuisées, les recherches de Jean- Luc Nancy, Professeur émérite à l’université Marc Bloch de Strasbourg, proposent une explication avec la tradition occidentale dans ses registres philosophique, théologique et politique. S’il n’y a plus de cosmos, s’il n’y a plus de mundus, ce mot latin qui voulait dire « pur », nous ne sommes plus dans l’unité, dans la beauté ; tout a pris une allure aventureuse, complexe, dispersée. Si les mots et les concepts nous manquent pour appréhender ce à quoi nous sommes exposés et qui vient, il reste à réévaluer, à déplacer, à déconstruire les idées dont nous disposons. La tâche est de tenter l’élaboration d’une nouvelle ontologie, rompant avec les catégories traditionnelles de l’Un et du multiple, de l’universel et du particulier pour envisager le rapport du pluriel et du singulier. Penser l’être pluriel, c’est chercher à comprendre ce que veut dire « être-ensemble », en commun, au monde, c’est ouvrir la totalité des possibilités de sens.

Pierre-Philippe Jandin est agrégé de philosophie et spécialiste de philosophie moderne et contemporaine. Il est l’auteur de Jean-Luc Nancy : retracer le politique (Michalon, 2012) et a dirigé, au Collège International de Philosophie, plusieurs séminaires ancrés dans la pensée de cet auteur.

Le Vitrail & l'Énigme

de Jean-François MARQUET

Dialogues des petits Platons (LES PETITS PLATONS) | 16,00 €

Dialogue avec Philippe Soual

Jean-François Marquet est Professeur de philosophie émérite à l’université de Paris- Sorbonne. Éminent historien de la métaphysique, de Parménide à Heidegger, il a aussi consacré ses recherches à la relation de la philosophie avec l’art et la littérature, la mystique et la gnose chrétienne. Il invite ici le lecteur à jouer le jeu de la parole, en considérant certaines questions décisives d’un cheminement dont le sens le plus profond est sans doute celui d’une méditation de la singularité, où se noue le dialogue des voix ou des personnes (Je-Tu-Il), triade constitutive de toute vie singulière. Si la pensée s’origine dans une parole en énigme et si l’achèvement de la philosophie la conduit à se déployer dans un espace où oeuvres et visions du monde se correspondent en étant contemporaines, comme en un vitrail, c’est à la récapitulation de cette histoire que l’interprète convie enfin son lecteur.

Professeur agrégé de philosophie en Première supérieure au lycée Pierre de Fermat à Toulouse, titulaire d’un doctorat conduit sous la direction de Jean-François Marquet et d’une habilitation à diriger des recherches, lui-même chercheur à l’université de Poitiers, Philippe Soual est spécialiste de philosophie allemande et de métaphysique. Il est l’auteur de plusieurs livres, dont Le Sens de l’État (Peeters, 2006), consacré à la pensée politique de Hegel.

Mimésis conflictuelle. Fiction littéraire et violence chez Cervantès et Caldéron

de Cesareo BANDERA

Cahiers de l'ARM (PÉTRA) | 16,00 €

En dépit des apparences, ce ne sont pas des différences entre les hommes que le désir engendre mais leur absolue égalité. Parce qu’il est mimétique, le désir débouche sur le même, et ce même est le différend. cesáreo Bandera piste ici le désir mimétique en divers épisodes du Don Quichotte de Cervantès et de La Vie est un songe de Calderón. Établissant le lien qui unit chacun à son oeuvre, il en élucide la grandeur.
Particulièrement éclairante est son analyse de la relation de Cervantès à son héros. Cervantès entend s’en moquer mais découvre que son anti-quichottisme est une espèce de quichottisme violemment dénié. Il lui arrive avec le Quichotte ce qui arrive souvent à ses personnages avec l’ingénieux et fol hidalgo, quand la moquerie se retourne contre eux. Le roman se convertit ainsi lui-même en une vaste et pénétrante réflexion sur l’acte de la création.
La vie est un songe : la comédie est un reflet de la vie, dans l’exacte mesure où la vie est un reflet de la comédie. L’art et la vie réagissent comme deux miroirs en vis-à-vis. Le désir mimétique est à l’origine de la fiction littéraire. Le roman et le théâtre ne font que refléter la discorde que le désir attise : la mimésis est conflictuelle. Si Cervantès et Calderón furent les premiers critiques de leurs oeuvres, Cesáreo Bandera nous livre la critique dans laquelle ils ont puisé.
Publié à Madrid en 1975, Mimesis conflictiva est enfin rendu accessible en France, précédé par un avant-propos de Paul Dumouchel et la préface originale de René Girard.

Les Judéo-Espagnols à Marseille dans la première moitié du XXe siècle

de Xavier ROTHÉA

Usages de la mémoire (PÉTRA) | 19,00 €

Sur la base de documents d’archives administratifs, de documents familiaux et de témoignages, cet ouvrage retrace le parcours des familles judéo-espagnoles à Marseille, de leur arrivée au début du XXe siècle, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, en s’attachant en particulier au sort de ceux, nombreux, qui furent déportés vers les camps nazis. Venus en France pétris d’espoir, ils y connurent finalement l’horreur de la Shoah.

Le sort des Juifs de Marseille pendant la Seconde Guerre mondiale a déjà fait l’objet de nombreuses recherches et parutions de grande qualité mais axées sur l’ensemble de la communauté juive. Il était dif?cile de mesurer, à travers elles, l’impact des persécutions et déportations sur une communauté singulière par ses origines et sa culture, celle des Judéo-Espagnols, originaires d’un Empire ottoman en pleine mutation et qui composaient un pilier important du judaïsme marseillais. Cet ouvrage tente d’apporter un éclairage à cette question. 

Le bruit du rêve contre la vitre

de Axel SÉNÉQUIER

QUADRATURE (QUADRATURE) | 16,00 €

« Sandra doit arriver d’une minute à l’autre. Il faut qu’elle se dépêche car derrière la vitre, il y a le soleil bleu, la mer jaune et les étoiles violettes qui s’impatientent, il y a cette vie bourdonnante qui attend qu’on la libère, il y a ces rêves qui frappent au carreau et craignent de mourir emprisonnés. Alors épuisé mais heureux, je désigne la fenêtre. L’infirmière comprend et me sourit. Lorsqu’elle tourne la poignée, le vent impatient s’engouffre dans cette chambre close et renverse les fleurs. Le vase explose sur le sol. Et dans les morceaux épars répandus aux quatre coins de la chambre, la lumière du soir se réfléchit et nous fait plisser les yeux. »

Douze nouvelles sur le confinement, le Covid-19 et cette époque trop sûre d’elle-même qu’un virus a balayée

Du 17 mars au 11 mai 2020, Axel Sénéquier est resté confiné dans son appartement parisien. Il a mis ce temps à profit pour faire la connaissance de ses trois enfants et écrire les 12 nouvelles qui composent ce recueil, le deuxième publié par les éditions Quadrature (après Les vrais héros ne portent pas de slip rouge).

Il est aussi auteur de théâtre. Son dernier test PCR s’est révélé négatif mais il continue de se désinfecter les mains plusieurs fois par jour.