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l'autre LIVRE

Parutions récentes et à venir

Dürer. Le Burin du graveur

de Alain BORER

Studiolo (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | Paru le 05/02/2021 | 6,50 €

Il l’avait écrit à Heller : « Si vous tenez propre ce tableau, il restera cinq cents ans propre et frais… » Dürer donne rendez-vous en l’an 2000. À présent que nous sommes à l’échéance annoncée, que reste-t-il à écrire de Dürer ? Interroger ce reste : chacun peut y aller de sa compilation.
Il n’en fallait pas moins un cartographe habile pour resituer ainsi dans notre ciel le riche amas de la galaxie Dürer à cinq siècles de distance, et combiner sous nos yeux les lignes de sa constellation maîtresse : le Burin du graveur.

Avec Magritte

de Louis SCUTENAIRE

Studiolo (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | Paru le 05/02/2021 | 8,50 €

Avec Magritte ne pourrait mieux porter son titre. Réunissant en 1977, dix ans après la mort du peintre, les écrits qu’il lui avait consacrés entre les années 1940 et 1960, Louis Scutenaire immortalisait là une complicité de quarante ans, entre compagnonnage et « copinage ».

Désireux de rendre l’allure naturelle d’une telle amitié artistique, sans interpolation, l’auteur présente des textes rédigés « en accord avec Magritte » – monographies, préfaces de catalogues, tracts rageurs, articles – dans l’ordre strict des occasions qui les ont suscités ; seuls l’entrée en matière, les transitions et le mot de la fin, notes d’ambiance interstitielles, sont d’une venue plus tardive. La vision qui en résulte est celle d’une coupe à la fois transversale et longitudinale, dans l’œuvre et dans l’existence de Magritte.
Le moindre intérêt de l’ouvrage ne réside certes pas dans l’écriture de « Scut ». Tout truculence et pittoresque, le premier texte, de 1942, mêle la vigueur d’une bonne peinture de caractère, le lapidaire de l’aphorisme et le bonheur de l’aléatoire, en égrenant des anecdotes privées, des aventures mémorables, des traits d’esprit et de pures excentricités, sans oublier plusieurs analyses fulgurantes de l’art du peintre belge. Car Scutenaire croit au génie Magritte – « Magritte est un grand peintre, Magritte n’est pas un peintre » – et ne cesse de le proclamer, lyrique, épique dans ses préfaces et ses éloges, ou argot ordurier dans les textes d’attaque.
Cette défense et illustration est augmentée pour la présente édition de textes écrits postérieurement à l’édition première (1977), repris ici pour la première fois.

Géricault. Généalogie de la peinture

de Jérôme THÉLOT

Studiolo (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | Paru le 05/02/2021 | 9,50 €

On connaît Géricault pour ses peintures de chevaux transis par la foudre, pour ses portraits d’enfants les plus troublants de l’art français, pour ses têtes de fous qui n’ont aucun équivalent dans l’histoire de la peinture, et pour son immense tableau révolutionnaire et moderne, Le Radeau de la Méduse, chef-d’œuvre du Romantisme et protestation de la vie jusque dans la mort. On sait aussi que sa vie fut brève et fulgurante, son œuvre inachevée mais géniale, et que sa mémoire fut révérée par tous les artistes du XIXe siècle.
Mais on ne savait pas ce que Jérôme Thélot montre ici, que Géricault fut en outre un penseur, aussi grand qu’il fut grand artiste.

Hokusai ou l'horizon sensible

de Kenneth WHITE

Studiolo (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | Paru le 05/02/2021 | 8,50 €

Selon les anciens, pour faire un grand peintre, il fallait trois conditions : élévation de l’esprit, liberté du pinceau, connaissance des choses. Trouver un artiste qui remplit une de ces conditions est déjà rare. Or, dans la vieille ville d’Edo, vivait un artiste nommé Hokusai (« Atelier du Nord ») qui les remplissait toutes à merveille. Si Hokusai sait camper une scène de société avec vivacité, s’il saisit avec une rapidité fulgurante toutes sortes de phénomènes, s’il plonge avec humour dans les fantasmes, c’est peut-être dans les grands paysages qu’éclate son génie à la fois extravagant et serein.

Fugue à deux voix

de Alixe SYLVESTRE

Dépendances (ETT/ÉDITIONS TERRITOIRES TÉMOINS) | Paru le 02/02/2021 | 16,00 €

« Après avoir accordé à ta mère un regard noir... tu as démarré en trombe, tétons pointés dans le vent tiède. Sans un au revoir, sans un adieu. »

Camélia, 17 ans, a disparu. Jasmin, sa soeur jumelle, ne sait rien ou ne veut rien dire. Nine, la grand-mère, sur qui les filles brillantes, rebelles et intransigeantes, aiment se faire les griffes, s’investit pour retrouver sa trace. Ex-journaliste fait-diversière, non-conformiste, Nine revisite les liens familiaux, sa jeunesse en roue libre, ses désirs. Un jour, elle décide de prendre du recul. Elle part pour une île lointaine.

Alixe Sylvestre réussit ici un roman lucide et tendre sur le difficile dialogue entre générations.

Alixe Sylvestre a déjà publié La presqu’île aux Oisanges (prix du salon du Livre féminin 2018) et La femme au chien jaune, chez ETT. Elle vit à Épinal.

Lorsque la vie déraille

de Frank ANDRIAT

QUADRATURE (QUADRATURE) | Paru le 01/02/2021 | 16,00 €

Des voyages, des instantanés de vie surpris dans les trains. L’existence s’y conjugue, au fil des rencontres, à toutes les personnes du singulier et du pluriel. Des nouvelles comme des huis clos où l’être humain se retrouve face à ses fragilités, à ses drames mais aussi à sa faculté de résilience. Des nouvelles d’amour et de vie où chacun peut se reconnaitre.

 

Frank Andriat a vu ses recueils de nouvelles couronnés par plusieurs prix dont le Prix Sander Pierron de l’Académie royale de langue et de littérature françaises.

 

A l'aube des heures fertiles

de Gilles DEBARLE

LE COUDRIER (LE COUDRIER) | Paru le 30/01/2021 | 18,00 €

Comment sortir d'un traumatisme dans lequel l'être est confiné depuis plus longtemps qu'il ne le pense ? Peu à peu, il ressent la nécessité d'une évolution, compte sur des appuis possibles au fil des rencontres et se trace un chemin, à emprunter, à partager. Un chemin parsemé de mots, surgis seuls ou par phrases, comme des signes, des repères ou des énigmes, qui orientent, stimulent ou interrogent, dont une en particulier...
 

Ceux qui brûlent

de Cathy JURADO

Poésie (MUSIMOT ÉDITIONS) | Paru le 30/01/2021 | 15,00 €

Écrire, écrire ce si long chemin vers l’espoir… Donner voix à ceux qui par delà la Méditerranée entament un voyage d’infinie solitude. C’est cette odyssée que la poétesse nous révèle dans la pudeur du regard, la beauté et la force des mots. Elle porte ce chant comme un cri sourd honorant la mémoire de ceux qui brûlent dans l’errance. Ceux qui n’ont plus de nom mais perpétuent le souvenir d’une histoire ancestrale d’exil et de désir.

La Maison à claire-voie

de Brice TARVEL

Textures (ZINEDI) | Paru le 28/01/2021 | 17,90 €

Peut-on échapper à son destin ? Pas sûr que le sort qui nous attend soit plus enviable... Les personnages de ces nouvelles vont tenter leur chance. Suspense garanti !

La malédiction de Victoria

de Elodie STRONG

Jeune adulte (5 SENS) | Paru le 25/01/2021 | 21,20 €

Londres, 1900.

Victoria et son armada d’automates font régner une dictature dans laquelle la Reine cache un lourd secret. Pour Evangeline jeune fille de bonne famille, la vie est calme et toute tracée. Seule ombre au tableau : la guérilla entre les différentes classes sociales qui fait rage depuis des décennies.

Tout bascule le jour où Evangeline est sauvée d’un attentat par un mystérieux jeune homme masqué. Commence alors pour elle un voyage vers la vérité : que s’est-il réellement passé le jour où Victoria est devenue reine ? Pourquoi personne ne se souvient de ce jour-là ? Et d’où vient cette guérilla ?

Entre trahison, complot et magie, Evangeline devra compter sur de fidèles alliés pour tenter de mener sa quête à bien, sans tomber dans les pièges de Victoria, déterminée à ce que le passé ne soit pas déterré.

Elodie Strong

Elodie Strong, conseillère de remise en forme, a fait des études d’Histoire et des métiers du Livre. L’écriture et la lecture font partie de ses passions depuis son adolescence. Aujourd’hui âgée de 27 ans, elle signe ici son 2e roman.

Tout est paysage

de Stéphane LAMBERT

Essais sur l'art (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | Paru le 21/01/2021 | 20,00 €

« Tout est paysage, affirmait Dubuffet, en ce sens que tout est composition, tout est quête d’une unité perdue, tout est signes assemblés, tout est matière à être embrassé du regard, à interroger le vivant au-delà de soi-même. Que vaudrait sans ça le monde si on le laissait entre les seules mains de la dévastation, si l’essence poétique qui nous y attache envers et contre tout ne l’ouvrait pas à des entendements insoupçonnés qui nous font voir dans la noirceur d’autres nuances que pure noirceur ? »
Champs de bataille labourés par les obus pendant la première guerre mondiale ; régions soufflées et rayées de la carte par la bombe atomique ; villes sinistrées hier par les catastrophes nucléaires et, aujourd’hui, par les changements climatiques… Notre regard a engrangé assez d’images de destruction pour que s’impose à l’art l’angoisse de l’après-paysage.
Recueil de textes épars unis dès le départ par cette question unique, Tout est paysage examine l’une après l’autre, partant des Nymphéas de Monet, les œuvres de Twombly, Klee, Tàpies, Muši?, Mondrian et Morandi, comme autant de réponses possibles : de quelle façon la peinture de paysage et la trop bien-nommée nature-morte se sont-elles réinventées au fil du XXe siècle, face au spectacle inouï de la destruction de leur motif ?

Retours d'échos

de Daniel PAYOT

Essais sur l'art (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | Paru le 21/01/2021 | 20,00 €

« Comment ne pas écrire sur l’art et les artistes » : avec ce sous-titre négatif, simple facétie en apparence, Daniel Payot installe en fait son essai dans une distance scrupuleuse qu’il estime seule féconde lorsqu’il s’agit de disserter sur l’art. Son refus d’énoncer de manière positive ce qui devrait être n’est pas la marque d’une timidité théorique : c’est un parti-pris de méthode, dérivé avec conséquence de sa certitude que rien n’est plus fatal que l’univocité dans notre face-à-face avec les œuvres.

Partant du constat d’une inadéquation naturelle entre la « langue privée de mots » des arts plastiques – lignes, ombres et couleurs, au sens inassignable – et l’ordre du discours, qui tend à figer dans des structures sans ambiguïté les choses et les rapports entre elles, l’auteur ébauche une autre approche, visant à permettre au langage de présenter l’œuvre dans sa différence intacte, sans entamer son équivoque. « On fait souvent comme s’il y avait des choses et des sujets et ensuite seulement des espaces entre eux. […] Et s’il y avait d’abord le ‘entre’ et ensuite les choses et les sujets s’y posant, à la fois consistants et éphémères ? »

Soucieux de cohérence, Daniel Payot n’affirme pas de façon tranchée. Procédant tel le mosaïste qui laisse à l’œil du spectateur le soin de fondre en une image des pièces juxtaposées, il cite, commente et développe l’une après l’autre, par brefs chapitres, les pistes de réflexion ouvertes par ses devanciers, théoriciens et patriciens d’une écriture avec et non aux dépens de l’art. Adorno, Benjamin, Michaux, Bonnefoy, Picon, Ponge, Arasse, Georges Didi-Hubermann sont quelques-uns seulement des interlocuteurs de cette méthode dialogique, où la voie à emprunter passe par l’entre-deux de l’échange.

Éloge de l’« intervalle », d’une réserve respectueuse de part et d’autre de laquelle art et écriture se serviraient réciproquement sans s’asservir et converseraient par « retours d’échos », cet ouvrage parlera à quiconque voit le discours savant comme un voile jeté sur les œuvres.

Le trait, le taillis, les aguêts - Louis Pons : le dessin de 1946 à 1970

de Frédéric VALABREGUE

Monographies (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | Paru le 21/01/2021 | 25,00 €

Dessinateur instinctif et autodidacte, Louis Pons a développé seul sa technique au fil d’une vie d’errance relative dans la campagne provençale, entre 1945 et 1970. Partant de la caricature, passant par le travail sur le motif, il est parvenu à ces pages saturées par lesquelles il s’est fait connaître : ratures encrées d’où se dégagent des figures fantastiques et organiques, mi-hommes mi-animaux, parfois érotisées et toujours empêchées, « drolatiques comédiens du dérisoire ».
« Singulier » est une des entrées du dictionnaire déréglé que Frédéric Valabrègue consacre ici à l’œuvre du dessinateur. « Le singulier est un artiste minoré dans la mesure où son œuvre ne se prête pas à un discours d’ensemble. » D’où la nécessité d’un discours de détail. Épousant donc au plus près la biographie de l’artiste, reliant entre eux ses thèmes et ses caractères distinctifs, démontant les assimilations forcées qui ont affecté son travail, réactivant un corpus d’œuvres trop mal connues, l’écrivain fait apparaître, au milieu de leur opacité apparente, comme la constellation du dessein qui les guide. Méthode bien digne de la pratique de Louis Pons : « Dessiner, pour lui, cela veut dire donner un coup de sonde dans une poche nocturne grossie par toutes les terreurs innommables. »

Jonas ou l'extinction de l'attente

de Jean-Louis POITEVIN

Tinbad-roman (TINBAD) | Paru le 19/01/2021 | 18,00 €

« Pourquoi écrire un “Jonas” aujourd’hui??

L’histoire de Jonas occupe dans notre imaginaire une place importante. On y dit comment un homme qui craint d’être porteur d’une parole de mort essaye d’échapper à sa mission mais se retrouve confronté à son destin. Jonas semble incapable de croire qu'une parole dont il doit être le messager puisse être une voix salvatrice, la voix du bonheur. C'est pourquoi Jonas est une parabole universelle, la parabole des paraboles, écrit même à son sujet Henri Meschonnic.

Ce texte est plus qu’une histoire, c’est un conte. Jonas, croyant pouvoir échapper à l’ordre que Dieu lui a transmis d’être un de ses messagers auprès des habitants de Ninive, prend la mer dans la direction opposée. Il est jeté à l’eau par des marins convaincus qu’il est la cause de la tempête qui menace leur bateau. Puis il est avalé par un grand poisson et survit dans son ventre avant d’être rejeté sur une plage. Alors, il comprend qu’il ne peut échapper à sa mission et se rend dans la ville de Ninive afin d’annoncer aux habitants… 

C’est pour explorer cet ébranlement de la psyché humaine par la voix que j’ai fini par tenter de revivre plume à la main le parcours d’un Jonas appelé à délivrer aujourd’hui son message dans la ville de Mossoul sise sur les ruines de la grande Ninive. »

J.-L. P.

Lectrices et cætera

de Michéa JACOBI

Les Billets (LA BIBLIOTHÈQUE) | Paru le 16/01/2021 | 17,00 €

Existe-t-il une lecture masculine, tout en critique et en sérieux, et une lecture féminine, plus souple, plus légère, plus « en dehors », comme le disait Louise Schweitzer, la grand-mère de Jean-Paul Sartre ?

Michéa Jacobi y répond à sa façon en contant des vies de lectrices et de lecteurs connues ou inconnues, sans jamais conclure et en laissant le dernier mot aux lecteurs.

 

Septième ouvrage de cette entreprise aussi loufoque que profonde d’une encyclopédie du genre humain en vingt-six volumes et vingt-six lettres.

TuNicie

de Patrick CHERBÉ

Fiction (5 SENS) | Paru le 15/01/2021 | 13,60 €

Une famille franco-tunisienne subit malgré elle un confinement obligatoire au cours d’un de ses déplacements en Tunisie. Ce séjour forcé donne lieu à une introspection à laquelle se livrent involontairement les membres de cette famille. À la faveur de ce temps libre ils redécouvrent leur double identité. Mais outre la menace angoissante de l’épidémie, d’autres éléments aussi imprévisibles que la covid 19, viennent compliquer leur situation.

Patrick Cherbé

Chef d’entreprise retraité après une carrière en France et à l’étranger dans le domaine de la parfumerie. A la suite de ses trois premiers romans, Patrick Cherbé signe ici son nouvel ouvrage traitant du thème de la binationalité, de la double culture et du bilinguisme. Gageons que de nombreuses familles mixtes tuniso-françaises et franco-tunisiennes y reconnaîtront la singularité et la richesse de leur double identité.

C'est tout pour aujourd'hui

de Cécile GUIVARCH

POESIE (LA TÊTE À L'ENVERS) | Paru le 15/01/2021 | 16,00 €

Cécile Guivarch poursuit sa recherche autour de la mémoire et, cette fois, c’est la lecture de lettres et cartes postales venues du 20è siècle qui sert de passerelle.

À travers elles, se concrétise la vie des grands-parents, leurs joies, leurs souffrances, une vie quotidienne banale sans doute mais à laquelle la poète accorde une grande attention. L’écriture, simple, qui semble labourer la phrase, évoque avec justesse ces vers de Verlaine : « La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles/est une œuvre de choix qui veut beaucoup d’amour ».

Au fur et à mesure, une tendresse naît à travers la distance temporelle, et le dialogue se noue entre les générations, ce qui rend ce livre si attachant.

 

Dernières répliques avant la sieste

de Jean-Pierre BOBILLOT

Tinbad-poésie (TINBAD) | Paru le 12/01/2021 | 14,00 €

Ce recueil rassemble un certain nombre de textes plus ou moins brefs (d'une ligne à deux pages), écrits sur une période d'un peu plus de 30 ans, parallèlement ou comme contrepoint à des travaux plus longs et continus, sans véritable intention - du moins, jusqu'à une période récente - de les regrouper en volume. Certains, cependant, l'ont été de façon ponctuelle (à titre d'essais), en revue et dans quelques-uns de mes recueils précédents, où ils faisaient contraste avec des poèmes plus complexes et architecturés.

Il s'agit donc pour moi de donner enfin à lire, cette fois de manière autonome, une série d'écrits assez différents de ce que l'on peut connaître « du même auteur » - et qui peuvent, ainsi présentés, éclairer l'ensemble d'une coloration nouvelle ; comme un recueil de vanités...

 

La confession

de Guy de MAUPASSANT

Vu par (AUX CAILLOUX DES CHEMINS) | Paru le 11/01/2021 | 10,00 €

La Vouivre de Loire

de Jean-Pierre SIMON

Corsaire (CORSAIRE) | Paru le 04/01/2021 | 18,00 €

Une femme étrange, un diamant enchâssé dans le nombril, semble vivre dans le lit de la Loire en amont d’Orléans, tel un avatar ligérien de la vouivre.

Bee book

de Marianne GUILLOU

Les Chemins de la Gravure (ARTFOLAGE) | Paru le 01/01/2021 | 14,00 €

Les slogans poétiques et les personnages en taille douce se mêlent dans un va-et-vient entre le réel et l’intime. Ce recueil est une déclaration d’amour destinée aux abeilles et à tous ceux qui s’engagent à les préserver.

Quand j'étais bidasse

de Michel DUPUY

Fiction (5 SENS) | Paru le 31/12/2020 | 11,90 €

Après un engagement de deux ans par devancement d’appel, un jeune homme va effectuer son service militaire. Très vite, en dépit de l’ob­tention du grade de sous-officier et de postes relativement attrayants, il va constater qu’il a fait une erreur. Un capitaine pervers s’acharne à lui rendre la vie impossible. Il ne pense qu’aux permissions et à s’éva­der du milieu soldatesque. Après sa libération, il sera rappelé pour partir en Algérie, ce à quoi il échappera et il découvrira alors ce qu’est devenu le capitaine qui lui en voulait tant.

Michel Dupuy

Retraité des travaux publics, né en 1933, l’auteur a parcouru l’hexagone de long en large et il a vécu aux Antilles et en Guyane. Il a déjà publié plusieurs ouvrages, notamment “Sur les traces de Jean Galmot” et “La guerre de cent ans en Périgord”.