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l'autre LIVRE

Romans

Petit bouton de nacre

de Ella BALAERT

La Vie rêvée des choses (COURS TOUJOURS) | Paru le 02/03/2018 | 14,00 €

Hérémiti, Monique-Mohéa, Poéma…
Trois générations de femmes, de 1947 à nos jours.
Deux univers : celui des pêcheurs de coquillages dans le Pacifique
et celui des industries de Méru, « capitale de la nacre », dans l’Oise.
Le tout boutonné par un petit morceau de nacre qui va peser sur
le destin de ces femmes passionnées, avides d’amour, de vérité et de
liberté.
Avec sa plume subtile, malicieuse et sensuelle, Ella Balaert nous
entraîne dans une saga familiale bien cadencée, aussi ronde et
ciselée qu’un bouton de nacre.

LE DERNIER PORC

de Horace ENGDAHL

Serge Safran (SERGE SAFRAN ÉDITEUR) | Paru le 01/03/2018 | 14,00 €

Un homme dont le couple vient de voler en éclats, essaie de recoller les morceaux. Son long monologue est une méditation sur la vie, le fait de vieillir, les rapports entre les individus. Et plus particulièrement ceux entre l’homme et la femme dans une société où non seulement la mort, mais aussi l’amour sont à crédit Où l’homme, perpétuellement sur la défensive, essaie de comprendre et de faire comprendre un point de vue selon lequel tous les hommes ne sont pas des violeurs potentiels et toutes les femmes des victimes. Loin d’être un pamphlet antiféministe, ce petit livre est une réflexion sur l'abandon, sur les rapports modernes régis par le souci de rentabilité, y compris au niveau affectif... L’auteur, habitué à nager à contrecourant, manie avec virtuosité l’art d’être polémique sans jamais devenir agressif ni tomber dans les lieux communs. Il risque cependant de faire grincer des dents à beaucoup de monde !

Le Petit Bala. La légende de la solitude

de Ridvan DIBRA

100 000 signes (VER À SOIE (LE)) | Paru le 26/02/2018 | 15,00 €

Revisitant le sujet d’une ancienne chanson populaire balkanique, Ridvan Dibra nous livre ici un roman psychologique sur l’exclusion, la solitude et la vengeance aux accents parfois œdipiens. Dans un style épuré et très oral, il plonge le lecteur dans les pensées et la psychologie tourmentées du jeune Bala qui, depuis la mort inexpliquée et brutale de son père, semble s’être définitivement isolé d’un entourage non moins hostile. Convaincu qu’il s’agit d’un meurtre et qu’il ne connaît que trop bien l’identité de l’assassin de son père, le petit Bala consacre son temps à fantasmer sa vengeance :

Le trille du diable

de Dominique PRESCHEZ

Tinbad-roman (TINBAD) | Paru le 19/02/2018 | 18,00 €

Quel trille ? Quel diable ? Il suffit de voir. Il suffit d’écouter. Et des romans, oui. Au pluriel. Ceux de la vie, et ceux de la littérature – ou encore ceux de la musique. Dominique Preschez parcourt, reparcourt ses chemins. D’hier et de toujours. Et d’aujourd’hui. Et de demain.

La vie fait des cadeaux. Mais ne fait pas de quartier.

Alors, dans ce livre qui, d’une écriture qui s’étoile sans cesse, appelle, rappelle, fait signe, encore et toujours, il multiplie les plans et multiplie les écritures. Il fait d’un parcours de mémoire un parcours d’inventions. Danse du feu, et sacre du printemps. Du printemps perpétuel. Et du feu perpétuel. Incandescence. Cœur absolu.

 Jean Durançon

La Femme de dos

de Alice MOINE

Serge Safran (SERGE SAFRAN ÉDITEUR) | Paru le 15/02/2018 | 19,90 €

Jane, surnommée l’Œil, est directrice de casting à Paris. Un producteur célèbre lui confie de trouver la « perle rare » du prochain film de Telo Ruedigger, artiste génial dont les œuvres défient la chronique. Au même moment, elle est appelée dans le sud de la France au chevet de sa mère. De façon inattendue, Jane rencontre sur place Charline, jeune fille qui pour elle est cette perle rare.
Vingt-huit ans plus tôt, Les Vignettes, maison d’enfance de Jane, servait de décor au film Les Innocents de Téchiné. Elle découvrait le monde du cinéma et l'amour avec Tristan, photographe de plateau, disparu sans laisser signe de vie. La démarche, l’attitude de Telo, l'atmosphère de ses photos troublent Jane : et si Telo n'était autre que Tristan ? Dans l’espoir de le revoir et d’éclaircir ce mystère, Jane entreprend tout pour que Charline, si semblable à ce qu'elle fut autrefois, incarne l'héroîne de celui qu'elle pense être son premier amour. 

Ciel de traîne

de Gilles VIDAL

ZINEDI (ZINEDI) | Paru le 15/02/2018 | 17,90 €

Un cadavre est retrouvé en lisière de forêt, un os d’oiseau dans une main. La victime a visiblement été torturée pendant plusieurs jours avant d’être égorgée. Mais qui est-elle ? aucune disparition n’a été signalée récemment.
Une jeune femme disparaît du jour au lendemain laissant son compagnon désespéré. Est-elle prisonnière de cet homme qui prétend la détenir et le harcèle au téléphone ?
Un scénariste revient dans la maison de son enfance dont il a hérité. Ce n’est pas sans réticence qu’il entreprend ce retour aux sources. Que vient-il y chercher ?
Quel est le lien, et y en a-t-il un, entre ces personnages ? Le lieutenant Kamensky saura-t-il assembler les pièces du puzzle ?

Un jour j'ai dû marcher dans l'herbe tendre

de Carolina SCHUTTI

Les Germanophonies (VER À SOIE (LE)) | Paru le 09/02/2018 | 15,00 €

Un village dans l'ombre et une tante qui ne parle pas du passé: c'est dans ce monde que, du jour au lendemain, Maïa se retrouve plongée. Avec la mort prématurée de sa mère biélorussienne, c'est aussi sa langue qui se perd. Maïa ne comprend pas la tante qui désormais s'occupe d'elle. Dans la maison isolée, il n'y a pas beaucoup de distractions pour cette petite fille introvertie. Marek, un ancien travailleur forcé polonais, est le seul chez qui elle trouve chaleur et affection. La musique de la langue qu'il parle réveille en elle les souvenirs de ses propres racines oubliées, de la langue perdue de sa petite enfance : « Je ne suis pas revenue, je n’ai pas pu, on m’a donné une matriochka qui ressemble beaucoup à la vieille, à celle que ma tante peut-être avait cachée ou jetée. Je l’ai ouverte et j’ai posé toutes les poupées les unes à côté des autres. Des scènes de conte sont peintes sur leurs ventres, mais maintenant, lorsque ces histoires me reviennent en mémoire, cela me rend triste. En même temps que ma mère, j’ai perdu ma langue, les phrases pour souhaiter bonne nuit et les phrases pour consoler, ces paroles qui berçaient comme une douce vague, cette langue comme une île qui n’existait que pour nous deux et sur laquelle nous voguions à travers la ville, de la boulangerie au terrain de jeux. Un seau, une pelle, un petit pain, je ne me souviens plus avec quels mots allemands je suis arrivée chez ma tante. Et à présent : des phrases pour consoler qui viennent du dictionnaire, des phrases pour consoler enregistrées sur magnétophone, mais le bercement n’est plus là, les phrases restent oubliées. »

Pour que l'honneur soit sauf

de Alexis RUSET

ZINEDI (ZINEDI) | Paru le 25/01/2018 | 20,00 €

À la veille de la Seconde Guerre mondiale, nous suivons, dans ce hameau reculé des Vosges, les enfants de Gaston et Léa, Pierre et Jean, que tout oppose. Pierre, l’insoumis, défie l’autorité en braconnant sur les terres d’un fermier parvenu, débauché et naufrageur de petits paysans endettés. Arrêté, emprisonné, il est envoyé au camp disciplinaire de Tataouine. Jean, le conformiste, aime l’ordre et la discipline. Après la débâcle de 40, chacun choisit son camp, l’un celui de la Résistance, l’autre celui du Maréchal Pétain. Tous deux s’éprendront de Sandrine, jeune fille droite et pure… mais l’est-elle vraiment ?

Ce roman s’inscrit dans une saga familiale, initiée avec "Pour que la mort ne crie pas victoire", paru le 16 mars 2017, lauréat du prix des postiers écrivains 2018 et prix du jury premier roman de la ville de Mennecy.

Brune platine

de Séverine DANFLOUS

Littérature (MAREST ÉDITEUR) | Paru le 23/01/2018 | 19,00 €

Paris, la Cinémathèque. Camille, une actrice en devenir, rencontre Paul qui se rêve réalisateur. Ensemble, ils tentent de tourner une version ultra-moderne de L’Odyssée.

Brune Platine est le portrait d’un monde, à l’ère du numérique, où la quête de l’autre se conjugue avec les désirs d’écran. Mais ce roman relève aussi d’un voyage mental étonnant : c’est une escapade dans un musée vivant, vaste chambre de résonances animée d’œuvres éternelles.

Dankala

de Isabelle SIVAN

Serge Safran (SERGE SAFRAN ÉDITEUR) | Paru le 11/01/2018 | 19,90 €

Dankala est un petit pays d’Afrique noire écrasé par le soleil, où les ressortissants français, les expatriés, essaient de tuer le temps chacun à leur façon.
Le meurtre isolé d’un jeune soldat français vient soudain perturber cette société blanche et désœuvrée. Et lorsque d’autres meurtres sauvages viennent s’ajouter, ils perturbent la communauté française de la capitale, les discussions s’enflamment, ragots et rumeurs vont bon train, et certains cœurs s’émoustillent.
Richemont, le consul, dégote de la matière pour le roman dont il rêve, les commerçants profitent du tourisme que l’affaire amène, le colonel Patte avance ses hypothèses sur le tueur, tandis que Marie-Claire Richemont, la femme du consul, se trouve de nouveaux amis pour meubler sa solitude…
Chacun semble avoir un intérêt dans les crimes, qui font surgir, pour un temps au moins, ce pays des ténèbres de l’oubli et de l’indifférence.

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