Connexion

l'autre LIVRE

Parutions récentes et à venir

Femmes funambules

de Clotilde DE BRITO

LES XÉROGRAPHES (XEROGRAPHES) | 13,00 €

Pour mieux résister aux rafales,pour aller contre,mieux vaut avancer penchéet cultiver les diagonales.Et que les gens disent en me voyant passer :« Qui est-ce là-bas ? »Et qu’on leur réponde :« C’est la fille qui penche,qui penchedu côté où le monde est trop lourd. »

Le mot qui claque, 16 ans de slam

de COLLECTIF

LES XÉROGRAPHES (XEROGRAPHES) | 13,00 €

« Sur toutes les scènes comme au Downtown,t’imagines pas ce que t’entends » L’ Azraël ?16 ans de scènes Slam dans les bars de la Taverne, au Onze Bar en passant par le Downtown, le Babel, La Base, le Panda Bar…

Couteau tranchant pour un coeur tendre

de Maria RYBAKOVA

Le Russe cosmopolite (VER À SOIE (LE)) | 18,00 €

Roman tango sur l'amour passion et la jalousie meurtrière, traduit du russe par Galia Ackerman avec le soutien de l'Institut de la traduction de Moscou.

Format : 14 x 20
ISBN : 979-10-92364-21-7
Prix : 18 euros
Disponible depuis le 28 janvier 2016

Cette histoire parle d’un fleuve, d’une femme tombée amoureuse de ce fleuve, et de leur fils devenu voleur avant de connaître une triste fin. Si on les juge, que diront-ils pour se justifier ? La femme balbutiera : j’ai aimé. Son fils dira : j’ai eu foi. Les eaux du fleuve garderont le silence, mais la loi n’a pas de prise sur elles. À la fin, le voleur voudra écouter le tic-tac d’une montre. La femme demandera la clémence pour son mari, mais oubliera complètement son fils. Le fleuve continuera de couler et pleurera ceux qui sombrèrent dans ses eaux. Ayant pleuré tout son soûl, il se desséchera et s’enlisera dans le sable, et les hommes marcheront dans son lit aride. Je crois aux mots, comme un voyageur fait confiance au fleuve quand il s’y engage en barque. Les mots me portent, et la forêt de la vie des autres se dresse des deux côtés. Où accosterai-je ? Où est celui qui me murmurait des mots d’amour la nuit ? Je ne me souviens ni de son nom ni de la ville où cela s’est passé. En se retournant, le voyageur remarque qu’il ne reconnaît plus le chemin qu’il a parcouru.

La Lettre de réclamation

de Christine SAGNIER

ZINEDI (ZINEDI) |

Contraint à un voyage en solitaire, Guézennec, retraité nouvellement divorcé, s’envole pour l’Inde avec, en poche, un guide touristique qu’il a la fâcheuse idée de prendre pour une bible. L’apprenti globe-trotter, mal préparé à ce choc culturel, s’en mordra les doigts. Trois mois après son retour en France, le temps de se refaire une santé mentale, le rescapé entreprend d’écrire une lettre de réclamation plus que circonstanciée à l’éditeur dudit guide. La rédaction de ce courrier lui permet de découvrir une nouvelle facette à ses tribulations. Car l’Inde, il le comprend alors, est un voyage sans retour. Un chemin vers l’autre, un chemin vers soi…

Par l’auteure de "Roméo à la folie". Un texte incisif, drôle et profond, au rythme soutenu.

Les derniers grecs, Corinthe, 146 av.J.C

de Jean ESPONDE

géopoétique (ATELIER DE L'AGNEAU ÉDITEUR) | 16,00 €

LES DERNIERS GRECS : Février 2016 : le narrateur séjourne dans une Grèce

à nouveau malmenée, et retrouve peu à peu les dernières journées de l’Hellade antique. L’un après l’autre vont alors s’avancer sur la scène de cette tragédie : le voyageur,

un vieux musicien, le Consul Mummius, des femmes,

un représentant des esclaves, l’historien Polybe présent durant ces journées, Diaïos  ­- le Marat de l’époque, etc.

Au milieu du IIe siècle avant J.C. la « machine » romaine étend son emprise sur la Méditerranée. Elle n’a pas d’égards pour un monde grec qui résiste pourtant, pathétique, avec des moyens dérisoires.

- 146 : Avril, chute de Carthage.

            Automne, les Romains prennent Corinthe.

            La Grèce antique n’existe plus.

Roman-poème ? drame ? Le texte est tout cela, et ce fut

un drame en effet : Rome, qualifiée par Hegel d’infâme, détruit le dernier centre de la résistance grecque.  

Et Hölderlin :

Plus de couronnes, plus jamais, ornant les vaisseaux

de Corinthe ?

Pourquoi donc se taisent-ils, ô anciens, les théâtres sacrés ?

Resteront pour de nombreux siècles des provinces oubliées, et quelques noms dont on se souvient encore, comme Philopoemen, « le dernier des Grecs ».

Après la Corne d’Afrique et la Chine, Jean Esponde poursuit un voyage grec entamé avec Éphèse, l’exil d’Héraclite, et La Crète d’Ariane et Minos.

Retordre retordre les fibres du tissu ancestral

de RISTEN SOKKI

Traductions (TOUBAB KALO) | 17,00 €

L'histoire des Sâmes fait partie de l'histoire des peuples aborigènes du monde. C'est une histoire de répression, politique, sociale, spirituelle.

En Norvège, sous l'égide de l'église protestante, les tambours chamaniques étaient récupérés et brûlés.

En 1852, à Kautokeino, un des conflits entre Sâmes et l'administration dégénéra en affrontement violent. L'important épicier/cafetier et le bailli royal furent tués. Des Sâmes moururent de leurs blessures.

La majorité des rebelles subirent la prison à vie. Deux, la décapitation. Leurs crânes furent déposés à l'Institut d'Anatomie de l'Université d'Oslo, à des fins de recherches "raciales" ou "ethniques".

RISTEN SOKKI, arrière-petite-fille d'un de ces martyrs, tisse dans le poème Retordre retordre les fibres du tissu ancestral sa trame à la mémoire de ses ancêtres, des héros pour les uns, des "fous" pour les autres. Elle le fait à sa façon, émouvante, dépourvue de sensiblerie : en célébrant la beauté de la vie quotidienne.

Les fibres de ce tissu sont, à la fois, les tendons des rennes, indispensables pour l'économie domestique, et les liens familiaux.

Quand les tendons sont tranchés, les liens le sont aussi.

Grandir. 1973, Slovénie, Yougoslavie

de Miha MAZZINI

Romans slovènes (FRANCO-SLOVÈNES & CIE) | 19,00 €

Extrait :

Quand nous entendîmes la sirène de l'ambulance, nous écartâmes une nouvelle fois les mains de Nona et y déposâmes le paquet de café pour qu'elle le presse contre sa boule. Je me souvins in extremis de la Vie des saints et l'emportai. Les ambulanciers couchèrent Nona sur une civière et nous partîmes pour l'hôpital. Ma mère sanglota et beugla tout le long du trajet : « NONA ! MA PETITE NONA ! MA BIEN-AIMÉE ! »

Quant à Nona, elle priait, assez fort elle aussi.

Dans la salle d'attente des urgences, on laissa Nona allongée sur un brancard garé au beau milieu de la pièce, et ma mère et moi prîmes place sur un banc. Huit autres personnes patientaient et le camarade assis à côté de moi avait une plaie béante à la tête d'où suintait du sang, et tout au fond on voyait quelque chose de blanc, probablement l'os. Il tenait un bouquet de bananes dans les mains. Un couple plus âgé, installé en face de nous, avait aussi apporté ce fruit, et tous les autres caressaient un paquet de café dans leur giron. Malheur à ceux qui n'ont personne qui puisse leur procurer, en cas de maladie ou d'accident, des cadeaux à offrir aux médecins. Le livre posé sur mes genoux recueillit les regards assez surpris voire apitoyés de l'assemblée, signifiant : « Depuis quand les médecins s'intéressent-ils à la lecture ? »

Je pris conscience du fossé existant entre la vraie vie et les films : ceux-ci montrent des services de santé où tout le monde se dépêche, court, panique, mais en réalité tout se déroule au ralenti. Ma mère lia conversation avec le crâne fendu et nous apprîmes qu'il attendait depuis déjà trois heures. Par moments, il perdait connaissance et fléchissait légèrement, ou alors il s'endormait, je ne sais pas, peut-être trouvait-il ainsi le temps moins long.

Tout le monde se taisait, seule Nona récitait à voix haute des notre-père, son rosaire et des je-vous-salue-marie, ce qui sonnait bizarrement dans un lieu public. Prier n'était certes pas interdit, mais je n'avais jamais entendu de prières en dehors de l'église. À la sortie de la messe de minuit, une voiture portant l'inscription POLICE stationnait, et à l'intérieur se trouvaient deux policiers avec le plafonnier allumé pour que nous puissions bien les voir nous observer et prendre des notes. Je me préparai à une longue attente et commençai à regarder la photo de Tito, quand le cabinet de consultation s'ouvrit et qu'on y fit rouler le brancard de Nona. D'abord je fus surpris, puis je me dis que c'était probablement grâce à ses prières.

Sortir du trou

de Odile MASSE

Littérature (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | 15,00 €

Parfois, on se dit qu’on est au fond du trou. 
Et si c’était vrai ? 
Si on se trouvait soudain au fond d’un trou opaque et noir, dans une absolue solitude ? Un trou bien réel mais tout à fait inexistant, un trou comme une grotte originelle, une matrice sans forme, une oubliette ? Comment alors s’orienter, respirer, désirer, comment penser, comment se retrouver ? Et comment, avec pour seuls outils cervelle et corps, comment faire pour en sortir ?

 

Dessins de JEAN-CLAUDE TERRIER,

Lecture d’EMMANUEL LAUGIER.

Notes discontinues

de Pierre BURAGLIO

Écrits d'artistes (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | 25,00 €

Écrits 2007-2017
Avec des textes retrouvés, moins ceux momentanément égarés…

 

PIERRE WAT (extrait de la préface) : Écrire c’est voir plus. C’est cela que mettent au jour ses écrits : que la confrontation aux œuvres exige un exercice conjoint du regard et de la pensée. Et ici c’est bien le et qui compte comme affirmation du lien indéfectible de l’un et de l’autre. On comprend dès lors qu’il pratique l’écriture conjointement à la peinture et au dessin, tant ces médiums participent, en même temps, au même projet de vision.
Notes : ce terme revient sans cesse dans les écrits de Pierre Buraglio, désignant avec justesse l’élément central de sa syntaxe. Parce qu’il pointe le caractère réactif de son écriture, naissant souvent comme une prise de note sur, entre mémorisation et réaction. Mais aussi parce que ce mot, écrit au pluriel, dit bien la nature de ce matériau qui, telle une collecte de fragments, conserve même quand on l’assemble une trace de son hétérogénéité originelle.

Au fil des jours - Agendas 1927-1946

de Pierre BONNARD

Monographies (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | 35,00 €

Datés des années 1927 à 1946, les vingt agendas de Pierre Bonnard qui nous sont parvenus couvrent presque, au jour le jour, les vingt dernières années de sa vie. Ils offrent donc un éclairage jusqu’à présent inédit sur la recherche quotidienne d’un peintre en sa dernière maturité. En regard du relevé bref et assidu du temps qu’il fait, de la qualité de la lumière et des lieux visités, Bonnard, inlassablement, dessine au crayon de papier ce qu’il voit, silhouettes, visages, gestes, objets, paysages. Autant d’esquisses qui préfigurent les motifs et la composition de certaines grandes peintures.
Le dessin c’est la sensation. La couleur c’est le raisonnement. Si cette observation de l’artiste nous renseigne sur une méthode qui s’alimente aussi bien aux visions les plus soudaines qu’au lent travail de l’atelier, le présent livre constitue bien une révélation.

Bacco di Nervi

de Farhad OSTOVANI

Monographies (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | 35,00 €

 

En 2008 le peintre Farhad Ostovani découvre une sculpture de Bacchus dans un jardin à Nervi — bien que fort endommagée, c’est un émerveillement pour l’artiste qui réalisera une suite de plus de 40 œuvres : des portraits de ce jeune homme peints et dessinés sur une base photographique.
Cet ouvrage réunit l’ensemble des œuvres réalisées, ainsi que, en sus d’un texte de l’artiste contant son rapport à ce Bacchus, deux essais d’Alain Lévêque et Madeleine-Perdrillat.

Tractatus Solitarius

de Pierre CENDORS

Littérature (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | 20,00 €

Écrit en résonance au Loup des steppes d’Hermann Hesse, ce traité de solitude donne voix aux confins sauvages, aux régions souterraines, à la part non-humaine de l’homme. Celui qui parle ici en disant Je cherche à se perdre, non dans l’étourdissement du monde, mais dans un silence primordial. Faisant retour sur lui-même, il s’engage sur une voie qui se perd en chemin et aboutit nulle part, antipode antérieur au moi, zone ignorée de l’être, point absolu, degré zéro – paysage intérieur où nous attendent des forces inusitées.

Pour personne

de Cédric DEMANGEOT

Littérature (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | 20,00 €

Écrit par Cédric Demangeot dans un sentiment de déroute successif à la composition de ses deux premiers recueils de poèmes, ce livre, ne serait-ce que par sa forme, occupe dans son œuvre une place à part, qui est toutefois moins celle d’un écart que d’une matrice. L’auteur, encore jeune, quoique déjà rompu, dans tous les sens du terme, au métier poétique, résout ici expressément de se distancier du poème pour explorer une voie contraire – celle du récit, ou plutôt de l’anti-récit. Anti-poésie, anti-récit : choix d’une passe étroite, d’un goulot d’étranglement dans lequel se distingue déjà l’exigence acharnée qui marque toute l’écriture du poète.

Eva Gonzalès - Rencontre avec une jeune femme moderne

de Elisabeth JACQUET

Monographies (L'ATELIER CONTEMPORAIN) | 25,00 €

« Cédant au narcissisme contemporain et tapant un jour son nom sur un moteur de recherche, mon héroïne aurait vu son existence virtuelle supplantée par celle d’une femme du temps passé, mieux référencée sur les pages web. » Cette femme, c’est Eva Gonzalès (1847-1883), peintre et unique élève d’Édouard Manet, auteure d’une œuvre trop tôt interrompue par la mort et, sinon héroïne contemporaine, du moins jeune femme moderne. Bien digne de cette étrange genèse, l’ouvrage adopte une forme singulière où se mêlent monographie, enquête biographique, récit et notes autobiographiques.

 

PRÉSENTATION PAR L’AUTEUR :

Impressionnisme et Internet
Peu de gens connaissent aujourd’hui Eva Gonzalès, et pourtant :
elle était une peintre remarquable — troisième du trio avec Berthe Morisot et Mary Cassatt.
Elle choisit de travailler dans l’atelier d’Édouard Manet dont elle fut l’unique élève.
Elle sut tracer son chemin dans la société corsetée et redingotée du XIXe siècle, hostile aux femmes et plus encore à leur accession au statut d’artiste.
Son mari Henri Guérard, grand artiste lui-même, fut sans doute le seul mari de son époque à se présenter comme « l’élève » de son épouse.
J’ai rencontré Eva Gonzalès sur Internet à travers son portrait effectué par Manet.
Je me suis demandé qui était cette femme peignant dans cette tenue et cette pose invraisemblables.
J’ai découvert son œuvre essentiellement par Internet, ensuite dans un catalogue raisonné, puis j’ai vu quelques toiles au musée.
Ce livre relate cette rencontre, évoque notre relation à l’art, à l’effet que produit sur nous la découverte d’une artiste et d’une œuvre, les prolongements que nous y trouvons dans notre propre vie, même à l’époque d’Internet. Il s’interroge aussi sur la spécificité de l’image peinte à l’ère du tout image.

Un livre d’art littéraire ou un livre de littérature illustré
Par un cheminement poétique et thématique intégrant les éléments d’une biographie non linéaire d’Eva Gonzalès (1847-1883), j’ai voulu rendre sensible la qualité de son travail, la vigueur de sa touche, la modernité de cette jeune femme qui choisit sa voie, s’y maintient sans bruit, persévère dans sa relation profonde et formidable avec Manet.
Son amour pour son mari Henri Guérard et leur complicité créative, comme sa vie avec sa sœur Jeanne, son modèle essentiel, leur aventure si singulière à tous trois, forment encore aujourd’hui une variation sur le couple émouvante et peu banale.
Ce portrait kaléidoscopique d’une jeune femme artiste du XIXe est aussi celui où nous reconnaissons notre visage et nos aspirations. Il appartient à notre présent et à notre histoire : celle de l’émancipation des femmes.

Un ouvrage impressionniste contemporain
La reproduction de plusieurs œuvres d’Eva Gonzalès et les images liées à mon enquête personnelle ponctuent, rythment, complètent le texte, nourrissent un dialogue entre la peinture et la littérature, faisant résonner le XIXe siècle dans le XXIe, l’œuvre et la vie d’une femme peintre de cette époque dans celles d’une femme auteure contemporaine, sa sensibilité dans celle du lecteur.
Chacun de mes livres possède sa propre forme : ici se lient l’impressionnisme et la littérature contemporaine pour créer un ouvrage impressionniste contemporain qui offre une place au regard du lecteur, à ses propres perceptions et interrogations.

Littératures calédoniennes, la littérature océanienne francophone est-elle une littérature française

de Hamid MOKADDEM

Kanaky-Calédonie (COURTE ÉCHELLE.TRANSIT (LA)) | 7,00 €

Hamid Mokaddem
Littératures calédoniennes
la littérature océanienne francophone est-elle une littérature française ?

Presque trop souvent, on ne parle de la Nouvelle-Calédonie qu’en termes politiques. Mais que sait-on vraiment de cet archipel mélanésien ? A-t-on idée des formes culturelles originales et variées qui naissent et se développent dans cet espace océanien auquel elle appartient? Connaît-on les littératures kanak et calédoniennes contemporaines ?
« L’Océanie, affirmait dans les années quatre-vingt Jean-Marie Tjibaou, homme politique kanak, ce n’est pas que le soleil et les cocotiers ». A sa suite, Epeli Hau’ofa, écrivain tongien, parlait d’« Océanie d’îles » pour évoquer les civilisations et les histoires de cet espace. Ce petit livre invite à connaître une partie de la littérature océanienne francophone en posant une question en apparence futile : la littérature océanienne francophone est-elle une littérature française ? La seconde partie propose un abécédaire dont l’objectif est de faire connaître et reconnaître les noms des auteurs kanak et calédoniens et d’expliquer les principaux concepts employés dans l’analyse.

Hamid Mokaddem est professeur agrégé de philosophie, en poste à l’Institut de formation des maîtres de la Nouvelle-Calédonie, il réside, vit, travaille et œuvre en Nouvelle-Calédonie depuis mars 1989. Auteur d’ouvrages et d’articles scientifiques sur l’Océanie, il est également éditeur.

Tours détours pourtours d'un jardin solidaire

de Anne-Marie LALLEMENT

Hors collection (COURTE ÉCHELLE.TRANSIT (LA)) | 5,00 €

Tours détours pourtours d'un jardin solidaire

Chronique d'un jardin disparu

Passage Satan Paris XXème

 

 

Présentation

 

Ce livre accompagne  le journal filmé par Anne Marie Lallement sur plusieurs années au rythme de la vie d'un quartier de l'est parisien.

Au départ il y a un terrain hésitant entre décharge publicque et friche, au fond du passage Satan dans le XX° arrondissement.

Un plasticien paysagiste, Olivier, créé un jardin sur cette friche avec "Babacar" dont l'association sénégalaise "yaccar" jouxte le jardin.

Des bénévoles très investis dans ce défi vont transformer cette friche en eden de verdure et en faire une babel d'échanges pour les habitants du quartier.

Peu à peu le jardin devient un immense terrain de jeux et d'activités pour les enfants et adolescents, mais c'est aussi un lieu où l'on se rencontre pour agir ensemble contre l'injustice faite aux plus faibles ; car si l'on parle beaucoup de métissage dans les bureaux des notables, on ne voit guère ces derniers sur le terrain.

En 2003 la maison de l'association sénégalaise est évacuée de façon brutale par les forces de l'ordre. La même année une charte "main verte" vient réguler la vie au jardin : grilles, horaires stricts, interdiction absolue d'alcool.

Malgré le combat de tous ceux qui luttent pour sa préservation, la décision tombe comme un couperet.

En mai 2005, le jardin doit disparaître, un gymnase remplacera ce lieu de toutes les utopies.

18 poèmes

de Rana EL-KHATIB

Poésie (COURTE ÉCHELLE.TRANSIT (LA)) | 8,00 €

Moi... et mon enfance

de Raba HANA

Hors collection (COURTE ÉCHELLE.TRANSIT (LA)) | 5,00 €

"Moi... et mon enfance" a été écrit et illustré par Raba Hana, élève de 3ème année de l'école des sœurs Marie-Joseph à Bethléem à l'âge de neuf ans.

Pulié dans la collection "Mon premier livre" par l'Institut Tamer en 1998 à Ramallah.

Traduit par Ramzi Tadros

  1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186